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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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Voisins

Chapitre 1

Orgie / Partouze
Cela fait trois jours que nous avons emménagé dans ce lotissement. Emménagement sous la chaleur étouffante de ce début août qui a accompagné nos premiers jours ici. Ce soir, après une nouvelle journée de rangement, nous profitons de la relative tiédeur de la nuit tombante en dégustant une coupe de champagne sur la terrasse. Je suis en slip et, surprenant, Catherine a elle aussi laissé tomber tee-shirt et soutien-gorge et, comme moi, seul un léger slip la vêt. Tout est calme, Catherine me dit son bonheur d’avoir retrouvé ce département qu’elle aime tant après deux années, longues, insiste t-elle, au beau milieu des champs. Soudain, la lumière de la terrasse de nos voisins s’allume.    - ’Ils ont envie de prendre un peu l’air, eux aussi...    - Oui, on dirait. Tu les as vus ?    - Aperçus seulement. Ils ont à peu près notre âge.’    Catherine allume deux cigarettes et m’en tend une. Assis côte à côte, ma main se promène sur sa cuisse. De chez nos voisins parvient une conversation étouffée puis, après quelques minutes de silence, de légers gémissements se font entendre. Catherine se tourne vers moi :    - ’Tu entends ?    - Euh, oui... tu penses à la même chose que moi ?    - On dirait bien, non ?    - Chut !’    Plus de doute sur la nature des bruits que nous entendons ! Un moment même, la voix de la voisine est un peu plus forte et nous comprenons très distinctement :    - ’Pince-les un peu plus fort !’    Paroles suivies d’un soupir qui ne laisse plus aucun doute sur les activités de protagonistes.     - ’Tu crois qu’ils se croient seuls ?    - Je ne sais pas. Notre terrasse est pourtant éclairée.    - En tout cas, notre présence ne semble pas les gêner...    - Choquée ?    - Ce n’est pas le mot que je choisirais, répond-elle avec un large sourire.’    Ma main remonte vers son unique vêtement que je découvre quelque peu humide.    - ’Tu as raison, ce n’est pas le mot correct...    - On peut voir chez eux, tu crois ?    - Je ne sais pas. Attends, je vais voir...’    En silence, je me lève et m’approche de la haie. Un espace providentiel m’offre une vue chez eux et je les découvre, elle allongée sur le dos sur une serviette, lui, de côté, les mains lui caressant la poitrine. Je me retourne et fait signe à Catherine de me rejoindre. Comme moi, elle observe la scène avec attention. J’en profite et baisse doucement son slip sans qu’elle ne s’y oppose. Il atterrit sur ses chevilles et, sans quitter des yeux nos voisins, elle l’enjambe, s’en débarrassant complètement. Je recule un peu et profite du spectacle de ses fesses, rondes et fermes dont, depuis la vingtaine d’années que nous sommes ensemble, je ne me suis jamais lassé et que je caresse furtivement, lui donnant la chair de poule. Ma main descend et je trouve sa fente déjà trempée. Elle écarte les jambes, m’offrant son intimité puis, d’un signe, m’indique de regarder à côté. Notre voisine est maintenant à genoux, le membre de son mari allant et venant dans sa bouche. Leur position, de profil par rapport à nous, nous permet de ne rien perdre de leurs ébats. Le font-ils exprès ? Ce qui est sûr, c’est qu’ils ne font rien pour passer inaperçus. L’homme commente même la fellation de sa femme sans prendre soin de parler bas :    - ’Oui... comme ça... avale-la toute... hum... c’est bon...’    Catherine tourne le visage vers moi et, tout naturellement, nos lèvres se soudent pour un profond baiser. Nous dévisageons ensuite plus attentivement le couple. Lui, mince sans être maigre, la poitrine couverte par d’épais poils noirs, le ventre plat, un membre plus fin que le mien mais plus long, les cuisses musclées. Elle, la poitrine assez imposante mais ferme, le ventre plat également, des cuisses rondes mais musclées. Nous n’avons pas encore eu la chance de découvrir ni son sexe, ni ses fesses.     Je caresse toujours les fesses de ma femme et appuie un doigt sur sa rondelle dont l’accès ne m’est que très, trop à mon goût, rarement autorisé. Catherine n’est pas une fervente de la sodomie et je n’ai pu qu’en de rares occasions, découvrir la douceur et l’étroitesse de son cul. Néanmoins, elle n’est pas contre une feuille de rose ni l’exploration par un doigt curieux, à condition de l’introduire en douceur. Ce soir, elle se cambre, m’invitant à lui caresser l’oeillet, ce dont je ne me prive pas.
    Nos voisins ont une nouvelle fois changer de position. Allongé sur le dos, il lèche la fente de sa femme qui, sur lui en 69, a repris ses caresses buccales sur son membre. Les bruits de succion nous parviennent distinctement et, il faut bien l’avouer, entretiennent notre excitation.     La main de Catherine me masse le sexe à travers le slip puis descend celui-ci.    Nous sommes nus tous les deux, nous caressant mutuellement en contemplant nos voisins faire l’amour.     À côté, notre voisine est maintenant à quatre pattes et son mari présente son sexe à l’entrée de sa grotte.     - ’Vas-y ! Bien à fond !’    Sans hésiter, il la pénètre d’une poussée énergique et elle ne peut contenir un petit cri. Un instant, il me semble qu’ils regardent dans notre direction.     Catherine s’agenouille alors et je sens son souffle sur ma verge tendue puis ses lèvres se referment sur moi et elle me fait aller et venir dans sa bouche. Je remarque qu’elle ne fait rien non plus pour étouffer les bruits de succion et même qu’elle en rajoute. Tournant la tête, je vois alors que les voisins regardent cette fois franchement dans notre direction. C’est l’heure de vérité : ou ils se croyaient seuls et vont rentrer poursuivre leur séance à l’intérieur, ou ils connaissaient notre présence et...    Pour l’instant, ils gardent la même position et l’homme poursuit ses va et vient comme si de rien n’était.    Je suis de plus en plus excité, à la fois par la situation et la fellation de ma chérie. Ne désirant pas jouir trop rapidement, je la fais se relever et, m’agenouillant à son tour, me régale de sa fente pratiquement inondée, cette soirée semble l’exciter autant que moi. Ses mains sur ma tête me plaquent contre elle et ma langue explore son intimité, du bouton saillant à l’anus. Sa position, face à la haie, lui permet de contempler nos voisins et, rapidement, ses gémissements se joignent aux leurs.     La connaissant parfaitement, je devine le moment où elle atteint le point de non retour et accentue mes caresses. Ses mains me maintiennent fermement, je sens ses jambes trembler et soudain, un flot de mouille arrose ma bouche tandis qu’elle pousse un long feulement. Je m’abreuve avec toujours le même plaisir à sa source, dégustant le fruit de son plaisir et entends la voix de notre voisine dire :    - ’Hum... vous avez bien joui semble t-il ?    - Oui, répond simplement Catherine.    - À mon tour maintenant...’    Quelques secondes plus tard, elle pousse un long feulement, jouissant à son tour sous les coups de boutoir de son mari.    Ainsi donc, comme je le pensais, ils n’ignoraient rien de notre présence. Quelles autres surprises nous réserve cette soirée ?    Nos voisins se désunissent et approchent de la haie. Ils semblent connaître la position de l’espace permettant la vue entre les deux jardins car ils s’y dirigent sans hésiter. Nous pouvons alors découvrir l’intimité totalement glabre de notre voisine.     - ’Bonsoir. Stéphane et Muriel.    - Enchantés. Didier et Catherine.’    Un court instant, un silence presque gêné s’installe, personne se semblant comment poursuivre la conversation.     - ’Vous êtes... ravissants, ajoute Stéphane.    - Merci. Vous êtes mignons tous les deux également, répond Catherine.    - Il nous reste un peu de champagne, cela vous tente ?    - Avec joie ! Nous vous rejoignons.’    Je n’en reviens pas ! C’est Catherine qui, faisant le premier pas, propose à nos voisins de se joindre à nous. Nous n’avons que très rarement évoqué nos fantasmes et jamais elle ne m’a parlé de l’amour en groupe. Elle me regarde alors, une lueur d’inquiétude dans les yeux et demande :    - ’Euh... j’aurais du te demander si tu étais d’accord...    - Ne t’inquiète pas. Ce que tu veux, je le veux. Et, je ne te l’ai jamais dit, mais te voir avec un autre homme ne serait pas pour me déplaire.    - Et avec une femme ?    - ... Tu es sérieuse ?    - Pourquoi pas ? Alors ?    - À ton avis ?’    Nos voisins arrivent. Tout en parlant, nous avons totalement oublié de nous rhabiller et c’est nus que nous les accueillons. Ils sourient et, rapidement, se débarrassent à leur tour de leurs vêtements.     Nous dégustons ensemble notre verre en faisant connaissance. Stéphane s’est assis à côté de Catherine et, très vite, sa main se pose sur la cuisse de ma femme sans qu’elle ne fasse un geste pour l’ôter. Je regarde les doigts courir sur sa peau, remontant lentement vers la fourche.     - ’Ta peau est très douce...écarte un peu les jambes !’    Ma chérie obéit et ouvre le compas de ses cuisses, autorisant ainsi l’accès à sa fente. C’est maintenant son Mont de Vénus qu’il caresse, le massant lentement, tirant de légers soupirs à Catherine. Muriel, comme moi regarde le couple en souriant, se main posée sur son propre sexe. Elle se lève alors et s’agenouille face à Catherine, le visage à quelques centimètres de sa fente.    - ’Je meurs d’envie de te goûter... tu es d’accord ?    - Si tu veux...’    Doucement, Muriel approche la bouche et sa langue dardée se pose sur le sexe de ma chérie, lui tirant un gémissement. Catherine tourne la tête vers moi, un sourire éclairant son visage, et me lance un clin d’oeil coquin. Je lui réponds avec un sourire et regarde Muriel qui s’applique à explorer son intimité dans les moindres recoins, allant même jusqu’à déposer de légers bisous sur son oeillet. Stéphane, comme moi, regarde les deux femmes puis me demande :    - ’C’est la première fois que tu la vois avec une autre femme ?    - Oui. C’est même la première que je la vois nue devant d’autre gens.    - Pas trop jaloux ?     - Pas du tout ! Plutôt excité...    - ?a, pas besoin de le dire, répond-il en baissant les yeux vers mon sexe en érection. Et toi ?    - Quoi moi ?    - Tu t’es déjà fait sucé par un homme ?    - Non, jamais !    - ?a te tenterait d’essayer ?    - Euh... je ne sais pas...    - Si ça ne te plaît pas, j’arrête immédiatement et on n’en parle plus, d’accord ?    - Pourquoi pas !’    Comme sa femme, il s’agenouille face à moi, la tête entre mes cuisses et je sens son souffle sur mon sexe. Tournant les yeux, je remarque Catherine, qui semble avoir entendu notre dialogue, nous regarde et, au moment où Stéphane m’avale, qui me lance un nouveau clin d’oeil.     Je baisse les yeux et regarde mon membre aller et venir, pour la première fois dans la bouche d’un homme. Je dois reconnaître que Stéphane est très doué et que sa pipe est magistrale. Sa langue virevolte autour de ma hampe et ses mains, loin de rester inactives, me flattent les bourses, s’aventurant même parfois plus bas, me procurant des sensations aussi agréables qu’inédites. Mes yeux vont de lui à nos épouses et je remarque que Catherine flatte maintenant la poitrine de Muriel, pinçant légèrement les tétons et les étirant, encouragée par les gémissements de notre voisine.     Qui aurait cru, à peine une heure plus tôt, que nous serions, Catherine et moi, en train de se faire sucer par nos voisins, qui plus est par la personne du même sexe ? La vie est décidément pleine de surprises et celle-ci n’est pas la plus désagréable !    Je me surprends à caresser les cheveux de Stéphane, le faisant relever la tête :    - ’Tu aimes ?    - Hum... tu suces divinement bien...    - Allonge-toi par terre !’    Je me retrouve sur le dos et il me reprend vite en bouche. Notre nouvelle position, tête bêche, lui à côté de moi, me fait comprendre ce qu’il attend de moi. J’hésite un peu, n’ayant, à part le mien, jamais caresser un sexe masculin puis, timidement, j’avance la main et mes doigts caressent le long bâton de chair, le faisant tressauter. Je m’enhardis et referme la main avant d’entamer de lents va et vient qui, à en juger par les gémissements étouffés par mon propre sexe, sont appréciés. Je le masturbe longuement et, peu à peu, son corps se rapproche du mien et donc, son sexe de mes lèvres.    À nos côtés, Catherine est en train de jouir sous les coups de langue de Muriel. Celle-ci s’exclame :    - ’C’est dingue ! Jamais je n’ai vu quelqu’un mouiller autant... on dirait qu’elle éjacule ! Et quel goût délicieux !’    Moi aussi, je suis proche de l’orgasme. Stéphane, aux soubresauts de ma verge, doit s’en rendre compte car ses mouvements de succion s’accélèrent. Très vite, je le préviens que je vais venir. Il sort mon sexe, le masturbe et, en trois aller et retour, me fait jouir. Mes jets s’écrasent sur sa poitrine, la zébrant de traînées blanchâtres. Les yeux fermés, je reste quelques instants, le souffle court, reprenant mes esprits. Puis, tournant la tête, je me retrouve la bouche à quelques millimètres de sa queue raide. Sans plus réfléchir, mes lèvres s’ouvrent et j’avale lentement son gland, goûtant pour la première fois une queue. Un long ’hum’ accueille mon initiative et m’encourage. Je le fais aller et venir en moi comme j’aime que Catherine me le fasse, sans oublier de flatter les bourses qu’aucun poil ne recouvre. Concentré sur ma fellation, j’entends comme dans un brouillard la voix de Catherine :    - ’Vas-y mon chéri ! Pompe-le bien...’    Je n’en reviens pas ! Ma propre femme m’encourage à sucer la bitte d’un autre homme ! Cette soirée semble avoir un effet des plus inattendu chez elle ! Toujours est-il que je m’applique à sucer du mieux que je peux cette verge au goût il est vrai très agréable.     Je sens bientôt que Stéphane parvient au nirvana. Gentiment, il me prévient et, comme lui tout à l’heure, je sors son sexe de ma bouche et le caresse. Rapidement, il jouit et son sperme épais arrose ma poitrine. Je ne cesse mes caresses que lorsque sa queue est molle et il me félicite alors :    - ’Pour quelqu’un dont c’est la première fois... tu es réellement doué...    - Merci... je dois avouer que j’y ai pris un certain plaisir.’    Muriel, la seule à ne pas avoir encore pris son pied, s’approche alors de moi et s’exclame :    - ’?a vous dérange si je m’occupe un peu de moi ?’    Sans autre forme de procès, elle me prend entre ses lèvres et me suce avec appétit. Il ne me faut guère de temps pour afficher à nouveau une érection digne de ce nom. Elle lâche mon sexe maintenant tendu et le maintenant à la verticale, le présente à l’entrée de sa grotte. Elle descend lentement, mon sexe étant plus épais que celui de son mari. Avec quelques minutes, nos deux ventres se touchent enfin. Elle commence alors à monter et descendre sur moi, s’empalant chaque fois jusqu’à la garde en poussant de légers gémissements. Je tourne la tête et vois Catherine qui nous regarde, souriante, la main négligemment posée sur sa fente. Stéphane la regarde également à ce moment et, voyant qu’elle semble bien esseulée, s’approche d’elle. Presque naturellement, Catherine pose la main sur la verge encore au repos et la caresse lentement, la faisant petit à petit se redresser. Je n’aurais jamais imaginé que voir ma femme caresser un autre homme puisse autant m’exciter ! J’entends Stéphane lui dire :    - ’Mets-toi à quatre pattes !’    Je tourne à nouveau la tête et le regarde s’enfoncer dans la chatte de ma chérie, qui l’accueille d’un long soupir.     Muriel continue ses va et vient sur moi, ses gémissements s’amplifiant au fil des minutes. Soudain, elle s’affale contre mon torse, s’empare de ma bouche et, m’embrassant voracement, jouis. Je sens ses muscles se contracter sur ma verge et sa liqueur couler le long de ma hampe. Assez vite, elle se relève, me laissant quelque peu frustré et, s’allongeant face à Catherine, tend sa chatte vers son visage. Après quelques secondes, la bouche de ma femme se pose, d’abord timidement, sur la fente offerte puis les coups de langue se font plus francs et elle suce le sexe de Muriel avec application, la faisant gémir.     Je regarde le trio ainsi formé, le sexe toujours tendu. M’approchant, j’admire la verge de Stéphane qui va et vient profondément dans le vagin de ma femme. Ses mains, fermement agrippées aux hanches, écartent les fesses, dévoilant son petit oeillet sombre. Je ne résiste pas au plaisir de le caresser, parvenant même à y enfoncer une phalange que je fais aller et venir, d’abord lentement puis de plus en plus rapidement. Contre toute attente, Catherine, non seulement gémit, par m’incite à poursuivre la caresse :    - ’Hum... mon chéri... c’est bon ton doigt dans mon cul...’    Je lui masturbe le cul quelques minutes puis Stéphane demande :    - ’Catherine, tu ne préfèrerais pas quelque chose de plus consistant ?    - Si tu veux... mais doucement, je n’ai pas l’habitude...    - Sois sans crainte !’    Je retire mon doigt et empoigne moi-même la verge de notre voisin. Je présente le gland contre la rondelle et il pousse doucement. Je regarde le gland écarteler le muscle pour s’enfoncer dans l’étroit écrin. Il faut quelques minutes pour qu’enfin ses bourses butent contre Catherine qui, en nage, semble supporter cette délicate pénétration. Je me penche vers elle et, lui caressant les seins, lui demande si elle ne souffre pas trop :    - ’Non... c’est moins pire que je ne le craignais... ça me donne de drôles de sensations... assez agréables... tu ne m’en veux pas ?    - Tu es folle ! Depuis le temps que je rêvais de te regarder te faire prendre par un autre homme... je suis ravi !’    Elle me tend ses lèvres et m’offre un baiser.     Stéphane commence à aller et venir en elle plus franchement, s’enfonçant à fond entre ses fesses et, après quelques temps, lui arrachant des soupirs d’aise.     À côté de moi, Muriel regarde elle aussi son mari sodomiser, maintenant vigoureusement, ma femme et me propose de lui offrir le même traitement. Comment lui refuser cela ?    Elle s’installe face à ma femme, le visage à quelques centimètres du sien et, se cambrant, me lance :    - ’Vas-y ! Prends-moi le cul ! Et n’aie pas peur, Stéphane m’encule souvent.’    Effectivement, mon sexe la pénètre sans aucun problème et je la pilonne avec ardeur, sous les yeux de son mari qui, très volubile, ne peut s’empêcher de dire :    - ’Elles sont bonnes du cul nos deux chéries, pas vrai ?    - Oh que oui...    - Catherine est toute serrée et j’adore cela... et moi ma chérie, tu aimes la bitte de Didier dans tes fesses ?    - Oh oui... il est un peu plus gros que toi et me remplis bien...’    Notre séance dure de longues minutes puis Stéphane, le premier, parvient à l’orgasme. Dans un râle, il se fiche au fond de Catherine et se déverse en elle, le corps tendu. Son éjaculation provoque le plaisir de ma femme qui crie à son tour et jouit bruyamment avant de s’affaler, presque inerte, sur le ventre, faisant sortir le sexe de son amant de son derrière.     Muriel, elle aussi, sent monter une vague de plaisir :    - ’Vas-y Didier ! Bourre-moi bien à fond ! Je vais venir ! Oh oui !!! ?a y est... je jouis !!’    Sous l’effet le l’orgasme, son cul serre ma verge et déclenche mon éjaculation. Je me vide à longs jets en elle, lui provoquant, c’est la première fois que je vis cela, un second orgasme. Je fais encore quelques va et vient puis sors, admirant son anus d’où coulent des filets de sperme.     Une pause s’impose et Stéphane file chez eux, revenant bien vite avec une bouteille :    - ’Je crois que cette soirée mérite d’être arrosée !!    En effet, en l’espace de deux heures, nous avons, ma femme et moi découvert bien des choses ! Nul doute que nous n’en resterons pas là !!!

E-mail: jorennes@caramail.com
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