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Je ne voulais pas tromper ma femme avec ma voisine

Chapitre 1

Divers
Je ne veux pas tromper ma femme avec ma voisine
«  Voilà, je suis très ennuyé. J’aime ma femme et je ne l’ai jamais trompée.
Depuis 1 mois, nous avons des nouveaux voisins et surtout une nouvelle voisine. Elle n’arrête pas de me dire bonjour à chaque fois que je vais dans le jardin, même plusieurs fois par jour, elle me propose son aide pour les courses plusieurs fois par semaine et depuis la semaine dernière, elle n’hésite pas à se faire bronzer presque nue dans son jardin qui est mitoyen du mien, alors qu’aucun autre jardin de l’entourage peut bénéficier d’une telle situation. Je suis le seul à pouvoir avoir cet accès visuel. Ce qui me gêne, c’est que cela se passe même si je suis déjà dans mon jardin et j’ai l’impression qu’elle le fait presque exprès. Comme je travaille de nuit, je suis à la maison le jour et souvent après avoir dormi, je m’occupe du jardin l’après-midi. Pendant cette période, son mari travaille, ma femme travaille, les enfants sont à l’école, nous sommes seuls.
Tout cela irait bien quand même, mais depuis qu’elle se déshabille l’après-midi pour bronzer, pratiquement devant moi et qu’elle est très belle, je suis complètement retourné. Je perds la tête en la voyant. J’ai peur de craquer. En plus, hier, elle était en train de bronzer, pratiquement nue et elle m’a interpellé dans mon jardin pour me demander si je voulais boire quelque chose. En la voyant comme cela, me proposer cela, je n’ai pas réussi à lui parler tellement j’étais gêné de la situation et à la fois, je crois que j’avais envie d’elle. »
j’ai lu sur un site de discussion avec ce complément d’information un peu plus loin après de nombreux conseils plus ou moins foireux.
« Je dois partir travailler, avant je voulais vous dire que comme notre quartier a eu des problèmes de sécurité, ma femme a fait installer une caméra  de surveillance à notre entrée avec des bandes d’enregistrement qui tournent sur une semaine. Je lui ai tout dit, absolument tout.Elle est allée directement chercher les bandes vidéo de la caméra, elle les a regardées, a vérifié, que la voisine est bien venue vendredi matin à la maison pour m’inviter, comme je lui ai dit. Elle a appelé le voisin pour lui expliquer la vérité et qu’il regarde la bande vidéo. Il a regardé, il est devenu blême, il est sorti de chez nous sans rien dire mais tout blanc, il était tout blanc. On a entendu une scène de ménage qui vient de se terminer. Le voisin vient de partir de chez lui avec sa voiture après avoir démarré en trombe. Je crois que cette histoire est en train de tourner vinaigre. c’est dommage, ce sont nos voisins et je n’avais pas l’habitude d’avoir de mauvaises relations avec les anciens, bien au contraire. Pas simple la vie  »
Le voisin que j’appellerai Jean, étant parti comme un fou, a fait la gueule pendant une semaine puis est revenu discuter avec l’auteur « profil supprimé » que j’assimilerai à Enrico. Il lui a avoué que son couple était difficile, car madame Jane voulait un enfant et que malgré leurs efforts, ils n’y parvenaient pas.
Cela a rassuré l’auteur des lignes précédentes et peu après, les deux femmes ont eu une discussion où la détresse de la « fautive » a touché le cœur de la « lésée » Martine, Je n’ai pas été plus loin dans la lecture, mais je me suis permis d’imaginer une suite qui pourrait être croustillante.
Suite à cette rencontre, les deux familles se sont rapprochées et ont organisé des rencontres « tout bien tout honneur » quelques barbes cul et autres activités ludiques.
À l’approche de l’hiver, les liens se sont resserrés entre les deux femmes Jane et Martine qui partageaient beaucoup d’activités et surtout Jane a demandé à Martine si elle pouvait s’occuper des enfants, cela lui manquait vraiment. Évidemment, Martine a sauté sur l’occasion et a vraiment commencé à apprécier de plus en plus sa voisine.
Une fois par semaine, les deux couples organisaient quand les enfants au lit une petite soirée entre eux et souvent se terminait par une petite danse qui au début se faisait entre conjoints, puis petit à petit les danseurs se sont mélangés et les couples se sont échangés au niveau de la danse. Jean étant un très bel homme, Martine n’était pas insensible à son charme elle aimait beaucoup danser avec lui, elle se sentait vraiment bien dans ses bras. Enrico était plus réservé, refoulant toute l’excitation qui l’avait animé et avait beaucoup de peine à danser avec sa voisine naturellement, souvent la petite tête voulait dire à la grande ce qu’il devait faire, ne tenant pas compte de la situation familiale.
Les soirs où il y avait la danse, Martine était très chaude et Enrico se rendait compte que sa femme avait un faible pour le beau mec qui dansait avec elle et ne savait que faire. D’un côté, il aurait bien aimé séduire la voisine et arriver à ses fins, mais comment faire avec la famille, d’un autre côté, il sentait la disponibilité de sa femme avec Jean, bien que celui-ci soit toujours très correct. Son martyre qu’il croyait passé ne faisait qu’amplifier. Il voyait sa femme lui planter des cornes de cerf royal sur la tête et que lui allait se ramasser un râteau.
Pendant le mois de décembre, il se décide d’éclaircir lentement la situation avec sa femme en lui demandant son avis sur la question.
— Martine, j’ai un problème qui me tarabuste avec mes voisins, je remarque que quand on a des danses avec eux, la nuit est particulièrement chaude, de cela, je ne m’en plains pas, mais j’aimerais bien savoir quels sont tes sentiments et fantasmes, car c’est sûr, que tu dois avoir des fantasmes aussi, tout comme moi j’en ai eu et il me chatouille aussi un peu.
— Mon chéri, c’est vrai que j’ai beaucoup de plaisir avec Jean et Jane, indifféremment, ils sont les deux très cultivés et un peu malheureux. J’aimerai bien que Jane puisse avoir un enfant, mais il semble qu’avec son mari, cela ne fonctionne pas. Il devrait demander à un donneur et faire l’insémination artificielle, si le problème vient de Jean.
— Mais c’est vraiment pas drôle de faire un enfant à travers des éprouvettes, cela doit le marquer à la fin.
— Non, je ne le pense pas, la relation avec la mère se crée beaucoup plus tard et sous forme de spermatozoïdes, il ne garde aucun souvenir, sinon il aurait un terrible sentiment de culpabilité en sachant qu’il est la cause de la mort de millions d’autres puisqu’il est arrivé le premier au détriment des autres.
— Tu plaisantes j’espère.
— Un peu, mais il y a du vrai là-dedans. Mais pour en revenir à notre discussion, je sens que Jean n’est pas indifférent à moi quand on danse, j’ai souvent senti quelque chose de dur qui frappait mon ventre et qui m’excitait passablement.
— Dis-moi franchement, tu irais jusqu’à plus loin si j’étais d’accord ?
— Je ne sais pas, c’est agréable de se sentir désirée, mais est-ce que j’oserai aller plus loin, mais toi, qu’en est-il, sa femme est vraiment très belle et je sens qu’elle a envie de trouver de quoi combler ses besoins.
— J’ai hésité pendant un moment quand elle m’aguichait, partagé entre l’envie et les responsabilités, enfin pas si longtemps que cela. C’était comme toi aussi très agréable de se sentir draguer, mais très frustrant de ne pouvoir y répondre.
— Que penserais-tu de pousser un peu plus loin notre intimité avec eux ? De flirter un peu et de refaire le point, mais en plus il faudrait d’abord explorer le terrain doucement, si tu es d’accord, je vais discuter de ce sujet avec Jane pour voir ce qu’elle ou ils en pensent ?
— Cela pourrait être intéressant, mais je me souviendrai toujours que c’est toi la mère de mes enfants.
— Pour moi aussi, je me souviendrai toujours que c’est toi le père de mes enfants et cela est indissociable.
— Ceci m’a un peu excité en pensant au développement possible, viens, on va se payer un peu de bon temps ensemble.
Mettant la main au paquet de son épouse, il s’aperçoit que celle-ci a comme lui, une excitation déjà bien avancée.
— Je vois que je ne suis pas le seul que ce sujet passionne et excite.
— Oui, je dois le reconnaître, viens calmer mon minou, il a besoin de s’éclater, même si au fond de moi, j’aurai une petite pensée à Jean pendant le coït.
— Pour pas que tu te sentes dépassée, il se pourrait aussi que la vision de Jane vienne augmenter mon orgasme.
— Je vois qu’on est parti dans une direction un peu inattendue, mais ne mettons pas la charrue avant les bœufs.
Le lendemain, alors que les maris sont en train de parler des prochaines élections ou de politique et que normalement, elles devraient parler de chiffons, Martine annonce la couleur:
— Jane, hier, avant de nous coucher, on a eu une drôle de discussion avec Enrico, où vous étiez impliqué avec Jean.
— Ah oui et de quoi était-il question ?
— Jean a remarqué qu’à la suite de nos soirées dansantes, j’étais plus chaude ou disponible qu’autrement et il a commencé à me questionner si je n’avais pas des fantasmes inavouables après les danses et que lui en avait eu et en avait encore, mais qu’il luttait fort contre.
... J’ai avoué que c’était vrai que j’avais beaucoup de plaisir à danser avec lui et que lui me montrait sur mon ventre également un intérêt indiscutable.
— Comment, mon mari vous a fait des propositions.
— Non, il a toujours été très correct, mais je pense que cela doit être un réflexe conditionné qu’il n’arrive pas à maîtriser.
— Cela me plaît déjà plus.
«  aïe, cela doit être un peu comme la fourmi, elle n’est pas prêteuse, mais enfin essayons peut-être, cela ne peut pas faire de mal.  » pense Martine.
— C’est tout comme moi, de sentir cette barre qui touche parfois mon bas ventre, cela me trouble beaucoup et surtout, j’ai avoué à mon mari que j’appréciais beaucoup de me sentir désirée. Ce à quoi, ce fut pareil pour lui, bien qu’il n’y ait eu aucune marque extérieure, il a fantasmé que tu l’aguichais et en était tout remué et touché. Mais son sens des réalités et responsabilités a pris le dessus.
— Tu m’en diras plus, c’est vrai que quand je le voyais dans le jardin, j’avais des pensées un peu perverses, avant que je te connaisse.
— Suite à cela, il m’a demandé si cela me gênerait beaucoup si on flirtait un peu entre couple et de voir après comment cela se présenterait et il m’a déclaré que c’était toujours moi son amour et qu’il n’oublierait jamais que c’est lui le père de nos enfants. Je lui ai assuré que pour moi, c’était idem.
— Intéressant, dit Jane en pensant « finalement peut-être qu’en passant par là, même si Jean prend du bon temps avec elle, j’arriverai à concrétiser mon rêve d’être mère avant que ce soit trop tard, j’ai vraiment pas envie de passer par les bébés-éprouvette. ». Je ne sais ce qu’en pense Jean, mais je pourrais aborder la question avant notre prochain rendez-vous dansant.
— Top-là, j’espère et suis presque sûr si nous trois on agit en adulte, cela va marcher. Jusqu’où penses-tu qu’on ira ?— Je ne sais pas, mais je ne vois pas de limite, même toi tu me plais quand tu n’es pas une furie m’insultant.— Excuse-moi, mais comprends-moi, Enrico, c’est ma vie, mais je comprends aussi ton besoin de maternité et finalement je te prêterai bien mon mari pour réaliser ton bonheur, si c’est Jean qui n’est pas assez productif, mais prêter n’est pas donner.— Non, ce n’est pas cela, on est simplement incompatible.— Aïe, heureusement qu’après le troisième enfant, j’ai l’impression d’en avoir assez et j’ai pas envie de recevoir la médaille de mère de la patrie. Je fais très attention. Mais encore, si tu tombes enceinte des œuvres d’Enrico, comment cela se passera-t-il avec ton mari ?— Je suppose que bien si lui-même passe par les mêmes étapes que moi, mais j’aime mieux lui demander à l’avance.
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