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Je ne voulais pas tromper ma femme avec ma voisine

Chapitre 2

Orgie / Partouze
Chapitre 2
les protagonistes :
Enrico, la cinquantaine, un peu sujet au démon des 50 ans, marié à
Martine, la quarantaine, mère de famille avec 3 enfants, Hector, Cassandre et Hellène, tous adultes au sens de la loi.
Jean, 45 ans, cadre dans une entreprise dans la ville proche, marié à
Jane, sa femme 35 ans, une vraie pin-up, traumatisée de ne pas avoir de famille.   
Résumé du chapitre 1.
Après avoir allumé Enrico sans succès, Jane, imitant Zouleïkha, la femme de Potiphar en criant au viol, mais dû à des enregistrements de la caméra de surveillance, ces accusations sont démenties. Il s’en suit une crise assez violente entre voisins qui finalement après explications se traduit par des rapprochements et des soirées dansantes, de plus en plus intimes. Vient une discussion entre Enrico et Martine sa femme sur leurs appréciations de la situation et de l’excitation que finalement découlent de ces rencontres. Ils constatent que leurs fantasmes sont assez semblables et que de mettre un peu de sel dans leurs vies conjugales, tout en restant amoureux ne serait pas une mauvaise idée. Il s’en suit une discussion entre Martine et Jane ouvrant la porte à toutes les possibilités, moyennant l’acceptation de Jan, l’époux de Jane.
Suite de l’histoire.
Le soir dansant arrivant, les deux couples se forment sur des slows, avec les nouvelles dispositions qu’elles ont prises, évidement certaines libertés arrivent et on peut voir les deux couples flirter ouvertement, se coller des patins, des mains qui s’égarent, mais si d’un côté il y a un grand plaisir dans le changement de partenaires, une pointe de jalousie ne manque pas de surgir.
Enrico, voyant sa femme qu’il n’a jamais trompé se faire palper les nichons et surtout le plaisir qu’elle semble y avoir, ne peut se retenir d’avoir une érection, érection qui ne trompe pas sa partenaire du moment, qui si pour elle cela ne se pose pas de problème avec son mari, mais elle aimerait bien se faire ensemencer les ovaires par un pistil bien pollinisateur.
— Si je sens ce que je sens qui palpite contre mon ventre, dit Jane, tes scrupules initiaux sont en train de fondre sous la douce influence de mon corps.
— Oui, on en a bien discuté avec Martine et finalement, elle aussi s’est dit qu’une petite récréation dans nos relations sexuelles ne ferait pas de mal. Tu es vraiment une femme à laquelle il est difficile de résister. Tes lèvres pourprines appellent les miennes de manière impératives, tout comme la magnificence de ta poitrine qui n’a pas connu les affres de nombreuses naissances appellent aussi la caresse de mes mains et je ne parle pas du reste qui me fait encore plus fantasmer.

— À voir, Martine doit être un peu comme toi, vu ce qu’elle a pris en main. Je crois que je vais faire de même.
— Ce que j’aime aussi, c’est ton odeur de femelle en chaleur, mêlée avec le parfum de tes aisselles, cela me rend fou.
D’un mouvement lent, Jane lève bien haut son bras et le pose sur la tête d’Enrico pour accentuer sa prise de possession, le poisson est ferré, il faut l’amener où je veux, c’est à dire de satisfaire mes ovaires. Enrico, le nez juste en dessus du petit écureuil dégageant ce parfum, Enrico est comme un papillon pris dans une plante carnivore, il ne peut que plonger sa tête en direction de la poitrine pour l’embrasser, après avoir dégagé ces seins arrogants de leurs enveloppes.À force de succions, c’est la belle Jane qui commence à ne plus savoir à quoi se vouer, elle ne veut pas que la précieuse semence parte en fumée, mais bien dans ses ovaires. Une suite aussi rapide n’avait pas été  prévue au programme, même si l’autre couple n’est pas si loin d’arriver aux même conclusions, Martine est aussi dépoitraillée et Jean est aussi en train de lui téter avidement les nichons, entraînant une danse très érotique de la part de Martine qui frotte son pubis contre  le bas ventre de son partenaire.
Après ce slow, ayant complètement désinhibés les partenaires, ils se dirigent un peu frustrés vers les fauteuils pour se rafraîchir et envisager la suite.  
Enrico :
— Je en sais comment vous vous sentez, mais moi je ne tiens plus, il faut que je baise à très court terme, je deviens fou de désir pour Jane.
— Mon mari, tu ne m’as jamais fait part d’une telle passion, mais je dois dire que je ne suis pas jalouse, vu la suite que j’envisage et je pense qu’avec Jean, on en est au même point, j’ai vraiment aussi envie de le connaître plus intimement, mais comment va-t-on faire ? Il ne faudrait pas choquer les enfants.
— Pour moi, répond Jane, c’est tout simple, je te laisse mon Tarzan dans notre chambre nuptiale et nous on peut utiliser la chambre d’amis.
— Pourquoi nous séparer s’insurge Jean, cela pourrait être intéressant, du moment qu’on est parti dans une relation échangiste, autant échanger complètement.
— Finalement, on va finir notre verre et on déménage chez vous pour la nuit, dit Enrico qui est un peu impatient de pouvoir se planter dans cette super pinup.
C’est ainsi que les quatre se retrouvent dans la chambre nuptiale et les vêtements volent à travers la pièce et tous les quatre se retrouvent à poil et là les comparaisons se font.
C’est vrai que l’organe de Jean est plus important que celui de Enrico, mais moins performant pour le labourage et l’ensemencement, il est long, mais très fin. Néanmoins, Martine ne peut s’empêcher de se jeter sur cette sucette qui lui semble tout à fait à son goût. Cependant Jean très galant, l’incite à ce quelle mette aussi à sa disposition sa fontaine de Trévise, il a aussi envie de déguster le bonbon qu’il voit poindre à l’extrémité de sa balafre amoureuse.
A l’inverse, l’autre couple en est à un stade où il faut ensemencer tout de suite, cela urge, Jane se met sur le dos et invite l’étalon reproducteur à investir sa caverne amoureuse.
— Viens mon bel étalon remplir ma caverne, satisfaire mes ovaires qui crient famine, lâche-toi, je sens que je pars en pensant que enfin je vais être engrossée.
— Humm c’est bon, mais tu sais, ce n’est pas garanti du premier coup, il faut renouveler l’exercice régulièrement jusqu’à ce qu’on soit sûr et même ensuite, il peut continuer et ne pas laisser ta tirelire inactive pendant la grossesse.
— Fais ton travail, on verra après, dit-elle en nouant ses jambes autour de la taille d’Enrico, bourre-moi bien.
— C’est tellement bon que je viens, dit-il secoué par les jets de spermes qui jaillissaient de sa bite en continu. Je me vide, mais j’en ai encore un peu.
— Reste bien dans moi pour pas que ce bon jus ne ressorte. Non, ne débande pas ! reste bien dur pour faire bouchon.
— Je n’y peux rien, une fois la sauce partie, je ne sais par quel mystère, à moins qu’on mette un accessoire pour bloquer la circulation sanguine, les corps caverneux se vident du sang qui les ont gonflés.
— J’ai ceci dans mes accessoires, le prochain coup, on le mettra.
— Que j’aime t’entendre dire « le prochain coup »
— Je vais rester les jambes en l’air et viens me finir, j’aimerais aussi avoir mon orgasme personnel, comme ta femme qui n’a toujours pas été pénétrée et a déjà grimpé trois fois aux rideaux.
— Mais c’est tout empêtré de nos jus. Cela ne m’inspire pas, maintenant que l’excitation est un peu tombée.  
— Tu vas me laisser surexcitée sans rien faire ?
— Bon... Montre-moi un peu ta tirelire, dit Enrico, d’un air un peu dégoûté.
À ce moment-là, Jean qui n’a toujours pas investi Martine, vient à son secours,
— Viens un peu t’occuper de ta femme, moi j’aime toujours la mienne, que sa crapette soit garnie ou pas.  
— Merci, mais je pense que dès que l’excitation revenue, cela ne posera plus de problème. Viens ma chérie que je te boive sans que ma semence déborde de ton trou.
— Tu es quand même assez illogique mon chéri, tu aimes bien quand je te bois, mais tu n’aimes pas le goût de ton plaisir et quand tu m’as bien léchée, cela ne te gêne pas de me rouler des patins !
— C’est vrai, je n’y avais jamais pensé, je vais faire un effort et peut-être me corriger.
— Eh ! Bien pour juger de tes bonnes dispositions si Jean n’y voit pas d’inconvénient, pendant qu’il fait minette à sa femme, ce que tu n’as pas voulu faire, alors vas lui sucer la queue.
— Tu es dure, j’ai jamais fait.
— Mon chéri, il y a un début à tout.
— Bon, mais à charge de revanche, je veux aussi vous voir vous gougnotter Jane et toi si les trois autres sont d’accord.
— Cela a toujours été un de mes fantasmes, voir ma femme faire l’amour avec une autre, pour égaliser tout, on va se faire un 69 Homo.
— Adjugé, c’est pesé, clame Jane émoustillée et non encore partie dans un orgasme dévastateur.
Enrico, un peu gêné, empoigne le membre long et fin de Jean, retrousse la peau qui le recouvre encore et avec hésitation l’approche de sa bouche sous les regards des trois autres, il voit que le bout est orné d’une goutte un peu visqueuse, d’un coup hardi de langue, il la happe et plaque sa langue sur son palais pour bien apprécier le goût, à la manière d’un gourmet devant un plat qu’il ne connaît pas.
— Finalement, c’est vraiment pas mauvais, fait Enrico en avalant cette longue tige dans sa bouche alors que Jean en retour essayait de lui rendre une forme acceptable à la main pour pouvoir également le prendre dans la bouche.
De leurs côtés, les deux femmes plongent la tête entre les cuisses de sa partenaire et elles s’attardent principalement sur le clito, mais Martine, plus coquine ne peut s’empêcher de prolonger ses coups de langue plus bas, rencontrant le jus de son mec qui ressort.
— Enrico, je suis en train de faire ce que tu ne voulais pas, je déguste ta semence à la sauce Jane, c’est vraiment pas mauvais du tout. Tu as raté quelque chose.
Elle continue son chemin avec sa langue jusqu’à dépasser le périnée et brouter la petite rondelle ornée que jolis petits poils blonds, c’est le fantasme qu’elle a toujours eu, mais n’ayant jamais eu l’audace de le demander à son homme part enfin dans un orgasme qui la détend.
C’est à ce moment qu’elles constatent que les deux hommes sont bien à point et Jane a envie qu’Enrico lui en remette une couche, même si elle était un peu déçue de sa performance et la rapidité qu’il avait fini sa petite affaire, comme un éjaculateur précoce, chose qu’elle n’était pas habituée, son homme étant très lent à venir. C’est vrai que le côté empressé et passionné d’Enrico l’a aussi un peu séduite à la comparaison de Jean qui met toujours beaucoup de temps à éjaculer.— Enrico, tu ne veux pas m’en remettre une couche, j’ai encore envie de te sentir en moi.
— Oui, c’est une bonne idée réplique Martine qui a aussi envie de se sentir prise par cette belle pine de Jean.
.. Jean, viens donc t’occuper de moi, j’ai aussi envie de sentir ton amour dans moi.
Les deux couples homo, qui n’a eu qu’un orgasme celui de Jane, se désunit pour reformer les couples hétéro.
Enrico qui a quelque chose à se faire pardonner ne peut s’empêcher de venir mettre sa tête entre les cuisses de Jane et de commencer à la lécher, surpris du bon goût qu’il déguste, surtout quand il descend jusqu’à son trou du cul. « tiens, elle doit aussi être bonne à se faire enculer, une voie à explorer, mais il faut que je fasse gaffe, comme je connais ma femme, si je propose cela, je vais me retrouver avec la queue de Jean plantée dans mon cul. »
Alors qu’il relève sa tête pour venir se placer à l’entrée de la grotte sacrée, il voit que l’autre couple copule vraiment à couilles rabattues, Martine se donne avec passion, encore plus qu’il n’a jamais connu, elle prend vraiment son pied, il a le cœur qui se serre un peu, on ne peut pas dire que ce soit le cas de Jane qui ne pense qu’à se faire gonfler le ventre.
C’est alors qu’il voit que ce coquin de Jean, de la main qu’il ne voit pas trop a mis deux doigts dans le cul de sa femme et on peut dire qu’elle apprécie et il ne se souvient pas qu’elle ait accepté qu’il lui investisse sa rondelle. Son cœur se serre encore un peu plus, mais finalement, il se dit : « Tu vas voir quand on va se retrouver les deux, ta rondelle, si Jean ne te dépucelle pas de ce côté, tu ne vas pas le garder longtemps ton label de garantie de ce côté.  »
— Tu penses à quoi, Enrico, je te sens un peu absent en ce moment, même si tu me laboures bien enfin nettement mieux que la première fois. J’aime bien comment tu vas et viens dans mon sexe et surtout quand tu frottes mon bouton.
— Je vois que Jean est en train de perforer le cul de ma femme avec les doigts, ce qu’elle ne m’a jamais donné. Je suis un peu jaloux.
— Tu aimerais aussi m’aléser la rondelle ?, je veux bien, mais n’oublie pas que ton jus, je le veux devant et je peux te dire que pour mon pucelage arrière, tu arrives trop tard pour le prendre, il y a longtemps que Jean l’a sur ses couilles. 
— Non, je suis bien comme cela, quoique j’aimerai bien que tu viennes sur moi, j’aurai moins l’impression de faire des pompes.
— Moi aussi j’aime bien venir dessus, mais si je le fais avec Jean, cela dure trop longtemps, il risque de s’endormir avant de partir, même si j’ai déjà eu trois ou quatre orgasmes. Pour le réveiller, je suis obligée de ressortir et m’empaler dessus avec mon cul et là, cela va plus vite, nettement plus vite, l’heure se transforme en minute.
— Je pense qu’il faut qu’on s’habitue une peu l’un à l’autre pour trouver la bonne forme de baise. Moi j’aime tout ton corps, tes seins, du moment que tu es sur moi, c’est plus facile de les lécher, sucer et même je peux te caresser ton bouton, ta rondelle, Je peux caresser tout ton corps. Ça y est le salaud, il est en train de lui ravir son pucelage arrière. Il la bourre par l’arrière et dire que j’avais peur de te le proposer en me disant que si je te le demandais, Martine allait exiger que je me fasse enculer par Jean.
— C’est toujours pas impensable, il marche aussi bien à voile qu’à vapeur. Tu vas voir comme elle va décoller ta femme, il est doué avec les jeux du cul, ce salopard. C’est peut-être pour cela qu’il n’a jamais réussi à m’engrosser.
— Alors tant qu’à faire, si tu veux changer de trous, je n’ai rien contre, ce sera une première pour moi.
— Pas vrai, je vais me farcir un puceau dans mon cul. Ouah ! Je n’aurai jamais cru cela. Ta femme va aussi être frustrée, elle n’aura pas ton pucelage à ce niveau. Mais je te rappelle, ne jouis pas dans mon cul maintenant, c’est dans ma matrice que je veux te recevoir.
— Mais tu n’as pas peur que les traces du cul puissent se coller sur ma queue et polluer ton con ?
— Non, en prévision de la nuit, après les derniers sels, j’ai fait un bon lavement, donc je dois avoir le colon tout propre.
— Je ne suis pas sûr que Martine ait été aussi prévoyante.
— Ne t’en fais pas, une fois que Jean a déposé son obole, il faut attendre un bon moment avant qu’il puisse rebander, donc entre temps, il passera sûrement sous la douche et vu le temps pour arriver à l’orgasme, Martine sera aussi contente de se reposer. Moi, je suis toujours complètement hors service une fois que Monsieur daigne m’arroser le cul. Mais je te sens venir, donc je change de trou. Je veux sentir à nouveau ta semence en moi. Mieux, je vais me mettre en levrette pour que cela pénètre bien profond. 
Une fois que chacun ayant épuisé toutes ses ressources, Enrico et Martine retournent à la maison et il ne peut s’empêcher de lui remarquer : 
— On dirait que tu es un marin qui sort d’une tempête tropicale ou que tu viens de t’entraîner à la danse des canards
— C’était tellement bon, il est increvable ce bon homme que je me suis sentie presque obligée de lui offrir mon cul, surtout qu’il me l’a amené à point. Excuse-moi de ne pas t’avoir accordé cette primauté, mais désormais je ne verrai pas d’objection que tu l’utilises.
— Je dois dire que cela m’a fait quelque chose, un peu comme si il me volait quelque chose.
— À ce que j’ai vu, j’ai pas eu l’impression que tu as eu beaucoup de scrupules de me garder ta queue propre de tout trou du cul pour le mien. Comme cela t’a fait de te payer son trou du cul ? Moi, je peux avouer que ce fut mieux que tout ce que j’avais connu jusqu’à maintenant. Mais c’est peut-être dû au fait qu’à la place d’être un éjaculateur précoce, il a presque de la peine à venir et je ne m’en plains pas.
— C’est ce que m’a confié Jane qui a apprécié ma fougue, même si la première saillie a été trop courte, elle a été agréablement surprise en comparaison à Jean qui la laisse épuisée chaque fois et que lui a de la peine à jouir, un peu comme si elle ne l’excitait pas assez. Elle avait l’impression que je baissais pour la première fois, comme un puceau, ce qui était un peu vrai hors du mariage.
— À ce que je vois, tu n’es pas contre qu’on renouvelle l’expérience ?
— Non, je dois te dire que si je te vois faire l’amour avec un autre que moi, cela excite un peu ma jalousie, mais surtout elle excite horriblement ma libido. Je pense que si j’ai éjaculé si rapidement la première fois, c’est de te voir dans les bras de Jean, plus que de m’enfoncer dans Jane.
— Moi, ce qui a failli me faire partir, c’est de te voir bouffer la queue de Jean, je ne pensais pas que tu t’y résoudrais.
— Cela n’a pas été facile de me décider, mais tes arguments et le fait que la condition que tu remplisses un de mes fantasmes, de te voir faire l’amour avec une femme a finalement eu raison de mes réticences.
— Moi, j’ai encore un fantasme, c’est de te voir te faire enculer.
— Eh ! Bien là, tu attendras que Jane soit enceinte, parce que dans ce cas, je ne pourrai pas lui rendre la pareille. Au fait, tu savais que la coquine avait bien prévu de se faire ramoner le colon, avant de venir, elle a fait un lavement complet de son cul et de ses boyaux.
— Mais j’imaginerai bien que pendant que tu prends Jane en levrette, elle pourrait bien me faire minette pendant que Jean chatouille ta prostate.
— C’est vrai que je ne pensais pas à cette possibilité, mais comme je pars relativement vite avec Jane, je ne suis pas sûr que ce soit une bonne solution.
— On verra cela peut-être pas la prochaine fois, mais j’aimerai bien le vivre.
— Mon amour, tes désirs sont des ordres, je sens que je vais avoir mal au cul.
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