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Je ne voulais pas tromper ma femme avec ma voisine

Chapitre 4

Orgie / Partouze
Le lendemain, à la sortie du tournoi, Jane intercepte Hector :– Hector, peux-tu venir, j’ai un petit service à te demander, Jean n’est pas là, et j’ai ma tuyauterie qui a besoin de se faire siphonner.Hector très innocemment pense que c’est l’évier qui a son siphon bouché, il rentre dans la maison et demande un baquet pour ne pas mettre de l’eau partout et une clé croco.Il se met sur le dos et commence à dévisser les tuyaux et demande le baquet pour commencer à vider le tuyau, mais il ne peut s’empêcher de regarder arriver le récipient, mais ce n’est pas ce qui frappe ses yeux, ce sont deux magnifiques jambes et un minuscule slip et rien d’autre. Du coup, son imagination se met à bouillir ce qui se traduit par une érection bien visible sur son pantalon.– Tiens, voilà le baquet dit-elle en se baissant en sa direction, ce qui la met en présence du pigeonnier d’Hector. Mais que vois-je ? tu m’as l’air bien excité.– Excusez-moi, mais en me tendant le baquet, j’ai osé risquer un œil sur vos jambes et voilà ce qui est arrivé.– C’est pas grave, c’est plutôt flatteur. Quand tu auras fini, tu veux un apéritif ou un café ou...– Après ce que j’ai vu, je pense qu’un alcool plus fort m’est indispensable pour me remettre les idées en place.– Dis-moi, est-ce que je te plais ?– Question superflue, mon pantalon parle pour moi.– Tu aimerais que je m’occupe de ton pantalon ?– Mais tu es mariée.– Tu as bien vu hier, que l’on ne se posait pas trop de problème à ce niveau. Mon mari n’est pas jaloux ! Répond-elle en caressant un peu l’excroissance impudique.– Vu sous cet angle, volontiers, mais attends que j’aie fini avec le siphon.Après la réparation, ils s’installent sur le canapé et elle reprend sa caresse, mais sans attendre trop, elle s’attaque au zip et à la ceinture pour dégager le fruit de ses envies.– Montre-moi ce qui se cache à mes envies.– Volontiers, mais il faut que ce soit réciproque. Répond-il en mettant sa main entre les cuisses de Jane.– Jolie queue toute neuve, j’ai envie de la croquer.– Eh ! Doucement, tu ne vas pas me transformer en infirme. J’en ai encore besoin.* Blocher figure de l’extrême droite suisse, un peu le Lepen helvétique, pour ne pas dire hermétique.Première partie chaude.– Mais chéri, ce n’est pas avec mes dents que je veux la croquer, mais avec mes lèvres et ma langue et je ne pense pas qu’elle va fondre, mais si jamais tu te sens partir, j’aimerai trop que tu es à la limite d’éjaculer, je veux que tu me la mettes bien profond.– Cela me rassure, j’ai eu peur que tu veuilles me faire Brit Milah *,– Idiot, donne-moi ta queue, tu verras bien,Sans attendre elle se saisit du sexe d’Hector et l’aspire à fond, mettant en jeux tant le palais et la langue pour séduire cette tige qu’elle veut bien performante. Quand elle sent les secousses pré-éjaculatoires, elle n’hésite pas et se met sur le dos en remontant ses cuisses sur ses épaules, offrant l’image complète de sa chatte affamée :
-Viens me remplir la moule et remplis-moi bien.-Tu es belle et bonne, ta boîte à marmot est vraiment très accueillante.Hector, laissant traîner la main sur les seins les pelotait avec conviction. Il sentait que la houle des reins de la belle annonçait une hausse de température bien venue. Il piochait de plus en plus violemment. Brusquement il sent la montée de la purée, il ne peut plus se retenir et d’un coup lui envoie plusieurs jets envahir ses trompes de salope. (j’ai un petit défaut de langage, parfois je dis un s pour un f) À son tour, les mouvements de Jane deviennent de plus en plus saccadés et elle se raidit en tendant son ventre vers le sceptre qui la clouait. Hector était au paradis, avec la dose d’endomorphine qu’endossait sa tête après la décharge.– Reste bien en moi, j’aime sentir ta présente et le cadeau que tu m’as fait. C’était très bon, j’ai encore envie.– Moi aussi, mais j’aimerais que tu viennes sur moi.– Non, reste sur moi, j’aime mieux si tu as encore de la réserve. Je viendrai sur toi quand tu seras fatigué.– Comme tu veux.Elle sentait qu’il était trop jeune pour lui proposer un soixante-neuf post-coïtal, mais elle ne voulait pas brusquer les petits voyageurs qui avait investi son utérus. Quelques coups de reins plus tard, Hector se déversait à nouveau dans sa moule accueillante. Maintenant qu’elle avait reçu sa dose, elle ne voyait pas de raison de prolonger le nettoyage de son siphon personnel.– Voilà, mon mari va bientôt rentrer. J’aimerais bien continuer, mais je ne veux pas avoir de problème, on se reverra une autre fois, c’était très bien.– Dis-moi, est-ce que tu penses que je puisse participer à vos petites distractions avec ma famille ? J’aimais bien voir ma mère en petite tenue.– Tu as envie de commettre un inceste ? Je ne suis pas sûre qu’elle soit d’accord.– Non, mais j’ai surtout envie de la voir se faire baiser.– Je vais leur demander, je pense que cela pourra se faire.– À la prochaine, lui répond Hector en lui tendant ses lèvres.À la fin de la semaine, alors que ses parents se préparent à la fête, Hector prend sa mère à part.– Maman, j’aimerais aussi participer à votre petite fête !– Je ne vois pas d’inconvénient, mais je ne veux pas pratiquer l’inceste en publique.– Alors tu serais d’accord de le faire en privé ?– Depuis que j’ai élargi le cercle de mes connaissances, j’ai l’esprit plus ouvert à de nouvelles expériences, mais je dois tenir compte des autres. Tu es adulte, donc pourquoi pas.– Donc je peux y participer ! Ouah ! Enfin j’espère que papa ne va pas se mettre en travers.– Je ne pense pas, il est trop content de pouvoir se payer Jane.– Au fait, elle m’a invité chez elle pour faire une petite réparation, déboucher le siphon de la cuisine et après, c’est le sien dont j’ai dû m’occuper.– Pour le moment, n’en dis rien. Laisse ton père t’inviter à l’aider. Cela peut être gustatif.Le soir venu, Hector est extrêmement excité en pensant qu’il va faire sa première partouze et avec des adultes vraiment murs, il se réjouit de voir agir sa mère, son pantalon est tendu à craquer.Après le souper où il était aux petits soins avec sa mère, sous l’œil goguenard de sa sœur qui n’est pas habituée de le voir si empressé, il s’adresse à son père.– Papa, aurais-tu un moment pour discuter avec moi ?.– Voilà, suite à mon irruption dans vos amusements, j’ai aussi envie d’y participer et ce soir, je n’ai pas d’empêchement. Est-ce que tu m’autorises de venir.– Ce serait avec plaisir, mais vois-tu, il n’y a que deux femmes et trois hommes, ce qui oblige un homme a être plus ou moins au chômage.– Parce qu’on ne peut pas être deux hommes à s’occuper d’une femme? Je pense qu’elle serait très heureuse, d’avoir deux hommes, rien que pour elle.– Je vois que tu vas me proposer de partager Jane, car avec ta mère, c’est pas gagner d’avance, c’est quand même un inceste.– Mais papa, pas forcément, si par exemple, je lui sucerai les seins, je l’ai déjà fait.– Comment cela ? Tu as déjà sucé les seins de ta mère, elle ne m’a rien dit.– Mais tu étais même présent, je pense, quand j’étais bébé, j’ai fait comment pour me nourrir ?– Tu es un petit rusé, c’est vrai, mais pour Jane, je ne vois pas de problèmes à ce qu’on la travaille les deux. Son seul problème, c’est qu’elle veut être enceinte le plus vite possible. J’espère pour elle que le mois prochain, ce sera fait.– Alors, tu me permets d’y participer ?– Mais bien sur, mais fais attention à maman, sous ses airs sages, c’est une vraie tigresse. J’ai encore un peu mal au cul de m’être fait ramoner le fondement pour lui faire plaisir.– Quoi ? Tu t’es fait enculer par Jean ? Ouah j’aurai jamais cru, comment c’était ?– Pas terrible, j’ai bien eu un bon orgasme, mais encore le jour après, j’avais bien mal au cul, même si je fus bien préparé. C’est pas une chose que je te recommande. Mieux vaut enculer qu’être enculé, expérience faite.Les cinq se retrouvent chez Jean et Jane, pour cette première fois, ne serait-ce que pour éviter que les filles le voient. Ils sont nus comme au premier jour. Hector ne peut s’empêcher de regarder sa mère et attrape une trique pas possible. Les autres un peu amusés le lui font remarquer.– C’est pas de ma faute, elle est tellement belle et désirable.
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