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Je ne voulais pas tromper ma femme avec ma voisine

Chapitre 5

Inceste
C’est alors que Jane propose la tournée des léchages où les mâles doivent à tour de rôle lécher, d’abord les seins, puis le bas du dos, puis aspirer le clitoris.
– Je veux bien que Hector me lèche les seins, mais je ne suis pas trop d’accord qu’il me lèche le clitoris.– Alors on va faire différemment, propose Jean, on va mettre un bandeau sur les yeux de chaque femme, elle devra reconnaître qui s’occupe d’elle, si elle faute, elle devra un gage.
Après ce sera au tour des hommes d’être l’objet de vos soins, avec le même challenge.
– Sous cette forme, cela me plaît répond Martine, Jane, tu as suffisamment de foulards.– Non, mais j’ai des masques de nuit qui feront très bien l’affaire. Ils sont là dans la table de nuit, servez-vous.
C’est ainsi que les deux femmes s’installent et Jean commence à lécher les seins de Martine pendant qu’Hector apprécie ceux de Jane. Martine a tout de suite reconnu la technique de Jean et Jane a aussi trouvé que ce n’était pas fébrile comme avec Enrico et lent comme avec Jean, donc cela ne pouvait être qu’Hector.
– Bien joué, mesdames, on change de partenaires.
Là, Hector fait des merveilles avec la poitrine de sa mère qu’elle se demande si c’est Jean ou Hector, finalement elle se décide pour Hector, ce qui est juste et Jane n’a pas de peine à reconnaître la manière particulière de son mari.
– Encore bien joué, mais maintenant on corse un peu.
Hector reste à sa place et Enrico s’occupe des seins de Jane. Elle reste muette pour ne pas troubler le score.
– J’hésite vraiment cette fois, je pense que c’est Jean qui est revenu déclare Martine.
À ce moment-là Jane annonce son estimation, facile Enrico.
– Je propose une petite pause, car il y a une fausse estimation, c’est Hector qui est resté sur la poitrine de Martine déclare Jean très amusé. Tu as un gage. Regarde dit-il en soulevant le masque pour qu’elle voie son rejeton continuer à lui lécher les seins. On passe à l’étape suivante le léchage du clitoris, je fais l’impasse sur le bas du dos.
– En place mesdames.– Hector dégage un peu la place stp.– Ah ! tu veux rester à téter, c’est possible.
À ce moment-là, ils font un rapide changement entre Jean et Hector et Hector se place en face de la chatte de sa mère, il ne l’a jamais vue de si près et il commence à lui brouter la motte, spécialement le bouton du bonheur en passant parfois sa langue un peu plus bas pour se désaltérer. Il apprécie le goût de reviens-y que la chatte de sa mère distille à son intention et ensuite il se retire un peu.Sa mère est bien embêtée, si elle ne savait pas qu’il était resté à téter son sein, elle dirait bien que c’est Hector, ce qui l’a fait mouiller particulièrement beaucoup, aussi par déduction elle annonce :
– C’est Jean.
Simultanément Jane a reconnu que sa moule avait été investie par la langue d’Enrico. – Perdu Martine, une deuxième gage, c’était Hector qui a goûté de ta chatte.– Mon Dieu, c’était très bon, mais je me sens coupable.– Il ne faut pas, vu que tu ne voyais pas qui faisait quoi. Encore un tour ou vous voulez aussi faire la compétition inverse ? Mais puisque Hector participe, Martine, il faudra bien que tu le suces et que Hector le devine.– Là, je sens que je vais perdre, vu que je manque de pratique, répond Hector. Enfin, je n’aurai qu’une chance sur deux de me tromper.À ce moment-là, on lui met le bandeau sur les yeux et malicieusement Jean lui prend le sexe et commence à lui faire une fellation où il est près de partir et c’est moins une qu’il explose dans la gorge de Jean quand il arrête sa sucion. – C’est difficile, mais c’était tellement bon que je pense que c’est maman qui est à l’origine de la chose.– Faux, c’était Jean, on t’a bien eu.– Alors là, c’est vraiment un as, je n’ai jamais eu de ma courte expérience une pipe aussi bonne, j’ai failli partir.– Tu n’aurais pas dû te retenir, j’aurais bien aimé goûter le jus de tes pruneaux, mais c’est vrai que cela aurait peut-être faussé la compétition. Tu veux retenter pour voir si tu as plus de chance cette fois.– Oui, je veux bien.
Du coup, c’est Jane qui est chargée de continuer la fellation et elle le fait très lentement pour pas qu’il perde au fond du son cou, ce qui est destiné à ses entrailles.
– C’est pas la même personne, mais je ne sais pas, mais vu que c’est très lent, je pense que c’est maman qui n’a pas envie de recevoir mon sperme dans le cou.– Encore trompé, c’était Jane. Je pense que vu les gages, il est temps qu’ils apprennent à se connaître et sans le masque, qu’ils se fassent un bon soixante-neuf. Vous êtes d’accord.– Pour moi, j’adorerai dit Hector, j’ai bien aimé son goût de reviens-y, donc j’y reviens.– Tant qu’à faire, pourquoi pas, cela sera une expérience intéressante, je vais essayer d’oublier que je suis sa mère et ne voir qu’un jeune étalon avec qui on va se faire du bien. Pendant ce temps-là, vous les aînés, vous allez vous occuper à deux de Jane, je suis sûr qu’elle sera enchantée d’avoir deux amoureux pour s’occuper d’elle.
C’est ainsi que Martine embouche avec amour la pine de son fils et le pompe avec avidité alors qu’Hector investit de sa langue le sexe de sa mère. Émue à la pense que c’est son fils qui la lèche, elle sent monter l’orgasme dévastateur, encore plus violent qu’avec Jean, elle se cramponne à la tige qui lui envahit la bouche, elle sent que lui n’est pas loin non plus et que la porte de non-retour n’est pas seulement à Goré, mais dans sa bouche et les premières gouttes d’une crème onctueuse viennent frapper sa glotte. Elle ne veut pas que son fils soit déçu et elle avale tout ce qui est éjecté sans récrimination, elle-même sent qu’elle jouit aussi fortement et doit aussi gicler abondamment dans la bouche de son fils. Épuisés, les deux relâchent l’objet de leurs plaisirs et se regardent dans les yeux.
– Mon fils, j’ai eu un orgasme très fort, tes léchages étaient parfaits et j’ai bien aimé le dessert que tu m’as donné.– Maman, tout comme moi, j’ai adoré te manger ta rose et ton pistil, je suis partant pour recommencer à te goûter, les autres n’ayant pas terminé leurs affaires.– Si tu veux, est-ce que tu veux que je continue aussi à te sucer ou si tu préfères attendre un peu, je sais que juste après, c’est souvent pas le top.– Je veux me mettre entre tes jambes pour avoir un meilleur accès pour le moment, relève bien tes jambes pour me présenter ta vulve dans toute sa splendeur.
Et pendant ce temps-là, le trio voisin s’en donne à cœur-joie, Jean assurant les arrières et Enrico mis au poste de centre-avant, à la pointe de l’attaque.
– Je pense que Martine a surmonté son a priori, constate Jean tout en rabotant les parois de l’anus de Jane. On va pouvoir passer la l’étape suivante avec Hector. Le bourrage de sa mère.– Le connaissant, je suis sûr qu’il va adorer remarque Jane entre deux halètements, alors Enrico, tu es en panne sèche ? Jean j’en parle pas, il a tendance de s’endormir sur le terrain. La pelle sous le menton, comme les joueurs de cors des alpes en Suisse, le long des routes.– Ça vient, répondit l’écho.– C’est le moment.En se gavant du jus de con de sa mère, chargé d’aphrodisiaques, Hector, se sent à nouveau prêt pour une suite avec la belle Jane. – Jane, j’ai un petit cadeau pour toi, je peux faire un relai avec papa. – Je pense qu’il n’a pas encore déversé son dû, alors viens en même temps. Bon, cela sera un peu serré dans les catacombes, mais à la guerre comme à la guerre, une double vaginale, en simultané d’une sodomie, c’est pas tous les jours qu’on peut s’en payer une, en tout cas, pour moi, cela va être une première.Un peu plus loin, Martine observait la scène. – En somme, il ne te reste plus que quelqu’un s’occupe de ta poitrine et cela devrait être parfait. Je viens pour m’en occuper, tu nous feras part de tes impressions, c’est pour radio Vatican. – Oups Hector est passé, je me sens vraiment remplie de chez rempli. Comme dirait Blocher*,« la barque est pleine.  »
Jean, sentant la présence de ce nouveau locataire des faveurs de sa femme se sent un peu à l’étroit dans le rectum, ce qui lui donne une impulsion qui déclenche chez lui, de manière paradoxale, la jouissance et après, c’est un peu comme avec les dominos, Enrico pousse encore et encore avant de délivrer son colis, suivit de près par Jane et il ne reste finalement que Hector qui pousse encore comme un dératé, surtout maintenant que les autres locataires ont rendu leur tablier. Il est le maître de la situation, le dard bien planté, labourant profond, il sent sous lui que Jane repart pour un tour de jouissance, elle devient frénétique et plus elle devient frénétique, plus Hector bourre fort, jusqu’à ce qu’ils s’envolent les deux vers un orgasme parfait.
– Je crois que ce soir on a bien donné, il faut en laisser un peu pour plus tard, précise Enrico. On va rentrer, sinon demain, on va être mort.– C’est dommage proteste Hector, j’ai encore un peu à disposition et je pensais en profiter avec Maman. – Cela ne fait rien, on va quand même rentrer, moi je suis déjà sur les rotules et dans les virages, cela frotte. Si vraiment tu es d’attaque et que Martine est d’accord, viens dans le lit conjugal et je prendrais ta chambre. J’ai pas envie d’être réveillé toute la nuit par un couple qui fornique comme des lapins en rut. – Cela me va pour moi, si maman est d’accord. – Je ne sais pas, on verra cela à la maison. – Allez, ne cache pas tes envies, c’est évident que tu as envie d’essayer ton étalon de fils, mais tu ne veux pas que cela se sache. Finalement pour une première, tu as parfaitement raison, souligne Jean toujours très gentleman.
Rentrant à la maison, ils retrouvent la fille aînée sur le pas de porte de la chambre à coucher des parents.
– Vous venez d’où, dit-elle avec un regard plus que soupçonneux.– Si on te demande, tu répondras que tu ne sais pas, lui répond sa mère– On est allé chez Jane et Jean pour passer la soirée, pourquoi cette question ? – Eh bien, j’ai trouvé bizarre que vous preniez Hector pour vos soirées cochonnes. – Comment cela, nos soirées cochonnes. – Ne t’excite pas papa, il y a longtemps que je sais que vous n’enfilez pas des perles quand vous vous retrouvez avec Jane et Jean, mais vous enfilez autre chose. Vous avez fait comment avec Hector et maman ? Ils se sont ignorés ? À entendre ce que j’ai entendu, je ne le pense pas. Mon pauvre papa ! – Ton pauvre papa est fatigué et il a besoin de dormir pour aller au travail demain sans que son patron doive lui apporter un oreiller pour se reposer. Bonne nuit, dit-il en se dirigeant vers la chambre d’Hector. – Mais papa, tu vas où ?– Comme Hector n’est pas fatigué, il me prête sa chambre pour que je puise avoir un sommeil sain et profond– Ah Je comprends, moi non plus je n’ai pas trop sommeil, je peux vous accompagner pour votre discussion dit-elle malicieusement en regardant Hector et Martine.– À tes risques et périls, lui répond Hector. – J’espère bien qu’il y aura un peu de risques et péril en la demeure. C’est ainsi que Jean hérita pour cette nuit en tous cas la chambre d’Hector et que celui-ci s’adjugea le rôle de coq de la famille. – Grand frère, j’aimerais bien aussi participer à vos soirées, mais cela ferait désordre si je perdais mon label de garantie IKEA à cette occasion. Tu ne me rendrais pas ce service de me préparer à rentrer dans la vie d’adulte. – Mais ma fille, ce que tu proposes, c’est de l’inceste ! Réplique Martine (pas Lepen qui dans une autre vie vendait des crèmes glacées, ce qui donnait Lepen ice) – Attends maman, frère et sœur, c’est pas pire que mère et fils.– C’est vrai, surtout que cette nuit je me préparais moralement à franchir le pas. Qu’est-ce que tu en pense Hector ? – Tant qu’il n’y a pas un Achille qui me mette les bâtons dans les roues, je suis increvable. C’est OK pour vous deux, mais il faudra que vous vous aidiez mutuellement. – Comment cela, répondirent-elles. – Si vous avez bien énuméré deux incestes, pour que ce soit complet pour ce soir, il en reste un à réaliser sans moi. Il faudra peut-être vous gougnotter, surtout si Cassandre veut participer, il faut laisser tomber les a priori. Finalement les 3 se retrouvent à poil sur le lit conjugal, mais sans le conjugué, avec les 2 enfants, affamés de leur mère, comme des louveteaux avec la louve, tétant à tout-va. – Mes enfants, comme cela, cela ne va pas ! On arrivera à rien. Cassandre, mets-toi sur le dos que je te prépare à la perte de ta virginité si tu tiens tellement à la perdre aujourd’hui, il faut que ce soit bien fait, sinon, tu risques de devenir frigide, ce qui est une malédiction pour une femme....Toi, Hector, donne ta perforatrice à Cassandre, il faut qu’elle soit vaillante, il a déjà donné deux fois ce soir, même s’il est jeune et en bonne santé, un petit coup de pouce, ou plutôt de langue serait le bien venu.
C’est ainsi que Martine se retrouva entre les cuisses de sa fille entrain de lui astiquer la moule pour qu’elle soit fine prête et que Cassandre en redemande.
Plus laborieusement, Cassandre essayait de dompter ce monstre qui allait lui casser son petit pain. Même si elle appréciait le soin de maman pour lui faire reluire sa tirelire, le sexe de son frère lui distendait les mâchoires et elle commençait à avoir une sérieuse crampe des mandibules.
– Maman, je crois que je suis prête, en tous cas, je n’en peux plus de lui sucer son sucre d’orge, surtout que son odeur montre qu’il a visité toutes les poubelles du quartier.– Merci ma fille de me comparer à une poubelle.– Excuse mam, mais le goût de ton gros intestin qui traîne sur les roupettes d’Hector, c’est pas du Nutella.– Je me retire et Hector, il ne te reste plus qu’à finir avec précaution la percée pour qu’elle ne soit pas trop douloureuse.– Je vais y aller lentement, Cassandre, relève bien tes cuisses que j’aie un bon accès si tu veux que je fasse ceci doucement.
Il approche sa bite du trou brillant de sa sœur, un peu anxieuse de la suite des événements, il caresse avec son dard les grandes lèvres, lui fait dire bonjour à son petit frère qui trône à la fin de la crevasse, fait une petite visite à l’entrée des artistes.
– Tu vas finir de tourner au tour du pot, j’attends !– Si tu le prends ainsi.
D’un coup relativement brutal, il se plante jusqu’au fond du fond et reste malgré tout tranquille, pour lui laisser le temps de reprendre son souffle.
– Oh putain, ça a fait mal, mais maintenant, c’est fini, je ne sens plus la douleur et c’est le moment de me montrer ce que tu sais faire.– Maman, broute-lui un peu les nichons, elle va partir comme une fusée, maintenant que la douleur est passée.– Oh oui, ses seins sont comme je les aime, délicieux.
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