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Voyage d'affaires

Chapitre 1

Hétéro
Le stress commence à monter peu à peu. Je dois me rendre à New York, car demain je vais rencontrer les, peut-être, futurs gros clients de ma boite. Mais ce deal va être tendu. D’autres fournisseurs ont déjà fait des offres plutôt très bonnes, il va falloir que je la joue fine. En plus, les actionnaires m’ont dans le viseur : j’ai déjà loupé mes deux derniers deals. Mais ils m’envoient tout de même sur celui-ci car je suis le plus expérimenté de la boîte.
 - Corinne, l’avion est à quelle heure ?  - 15h30, Monsieur. Le taxi est réservé pour 12h30, comme ça nous serons sûr d’être à l’heure. - Ok, parfait. Assurez-vous de n’oublier aucun document. Je veux pouvoir peaufiner les derniers détails avec vous dans l’avion. - Bien sûr, Monsieur.
Corinne est mon assistante et m’accompagne pour cette réunion. Elle travaille avec moi depuis un peu moins de 5 ans. J’ai 45 ans et elle 35. En dehors du travail nous nous entendons très bien, elle est même déjà venue manger chez ma femme et moi, mais quand nous sommes dans l’entreprise nous savons garder une relation professionnelle. Elle dédie vraiment beaucoup de temps à ce job, elle ne compte pas ses heures, ça ne la dérange pas de rester tard pour finir des dossiers importants. Mais ceci l’empêche d’avoir une vraie vie privée. Je ne sais pas qu’elle raison est la cause de l’autre d’ailleurs. Elle a des conquêtes passagères d’après certains bruits de couloir, mais rien de plus. En tout cas elle fait du bon travail et c’est le plus important.
J’ai une dernière réunion ce matin avec les actionnaires, juste avant de prendre le taxi. L’ambiance est tendue. En sortant, un des actionnaires avec qui je m’entends bien me prend à part.
 - Ecoutez Monsieur Nevo. Les autres ne vous l’ont pas dit en face, mais clairement, vous êtes sur la sellette. Si ça ne tenait qu’à moi je vous garderais, mais avec vos deux précédents échecs, je ne peux pas nous plus leur en vouloir de prendre la décision qu’ils vont prendre si vous échouez encore. - Oui, je comprends bien. Mais on aura ce contrat. - J’espère bien. Votre avenir et probablement celui de l’entreprise en dépendent. Allez, je ne vous retiens pas plus, allez prendre votre taxi.
Corinne attendait déjà dans le taxi. Je m’excuse du retard en entrant puis nous partons pour l’aéroport.
 - Faut absolument qu’on remporte ce contrat, dis-je, préoccupé par la situation. - J’ai plus envie de le gagner pour toi que pour l’entreprise ce contrat. Avec tout ce que tu lui as apporté ces dernières années, comment ils peuvent te virer comme ça ? - Je n’atteins pas les objectifs, c’est tout. Et celui-là ne va pas m’aider à les atteindre. - Eh, Tom, ne part pas défaitiste comme ça. On l’aura ce contrat. - On ? - Oui, on. On y va à deux, c’est pas pour rien. Et j’ai pas envie de te voir partir de la boite. - Merci Corinne.
Nous arrivons à l’aéroport CDG et prenons notre avion, en première classe. Nous pouvons finir de régler les derniers détails pour la réunion de demain.
Après 11h de voyage, plus le temps de rejoindre l’hôtel réservé par l’entreprise (un quatre étoiles), nous arrivons vers 23h, épuisé.
 - Bonjour, nous avons réservé deux chambres pour deux nuits. - Oui, à quel nom ? - Société Uniform. - J’ai bien la société Uniform mais je n’ai qu’une seule chambre de réservée. - Oh non, dis-je dépité et fatigué. Deux chambres ont dû être réservées. - Je ne sais pas Monsieur, je n’ai qu’une seule chambre de réservée en tout cas. - Bon, et bien on en prend une en plus. - Je suis désolé Monsieur, nous sommes complet. Un événement sportif se passe à New York en ce moment et les hôtels sont pleins. - Pfff, vous n’avez vraiment rien ? - Je n’ai pas voulu vous le précisez parce que vous êtes en voyage d’affaires mais il nous reste une suite nuptiale. - Une suite nuptiale ? Euh… J’imagine qu’il n’y a qu’un seul lit du coup. - Oui Monsieur, évidemment. - Bon, Corinne, qu’est-ce qu’on fait. D’un côté ça me gênerai plus ou moins de partager une chambre et un lit avec toi, mais d’un autre côté j’ai juste envie de dormir et je n’ai pas la foi d’aller chercher un autre hôtel qui ne soit pas complet. - Je suis dans le même état d’esprit que toi. On ne reste que deux nuits de toute façon. On ne va pas en mourir. - Bon très bien. On vous prend la suite nuptiale. - Bien Monsieur. Voici vos cartes d’accès, la suite est au dernier étage. - Merci.
Nous prenons l’ascenseur et arrivons au dernier étage. Quand j’ouvre la porte nous découvrons la suite nuptiale. Une seule grande pièce avec un lit double, une table basse avec quelques fauteuils, un minibar, et un détail un peu gênant qui ne le serait pas si nous étions un couple : la salle de bain aussi est dans la pièce. Une grande baignoire trône au milieu, sans vitre teintées autour.
 - Eh bien ça va être sympa je sens. - Je demanderai aux assistantes de confirmer la réservation la prochaine fois. - Tu prendras un peu d’alcool, pour nous remettre de ces émotions ? demandé-je en ouvrant le minibar. - Oui, juste un verre.
Nous nous asseyons sur les fauteuils et commençons à boire quelques verres.
 - Bon, on fait comment pour nos douches ? - Il n’y a pas 36 solutions je crois. On devra se tourner. - Oui. Tu veux commencer à y aller ? - Oui, je peux.
Je me sers un autre verre puis prends un fauteuil et le tourne vers la baie vitrée. Vue magnifique sur les grattes ciels éclairés. J’entends Corinne se déshabiller derrière moi et rentrer dans la baignoire. C’est très bizarre de savoir que votre assistante est nue juste derrière vous, en train de prendre son bain. Je n’ai jamais pensé à elle de manière sexuelle. Mais dans cette situation… L’alcool aidant… Je ne peux pas me retourner évidemment, mais la baie vitrée reflète bien assez pour que je puisse découvrir le corps de Corinne. Au début elle est dans la baignoire alors je ne vois pas grand-chose, mais quand elle se lève pour se savonner, j’en profite. Elle est magnifique. Toute fine, des seins parfaits, ni trop gros, ni trop petit, des hanches parfaitement dessinées et un cul bien rond. Elle a un petit tatouage de papillon sur une fesse que je n’avais jamais vu évidemment. Une érection prononcée se manifeste dans mon pantalon. A un moment je crois qu’elle a tourné son regard vers moi et qu’elle a vu que je la regardais. J’espère qu’elle pense que j’admirais la vue.
Après une dizaine de minute elle sort du bain et se sèche.
 - Je suis désolée, je n’ai pris qu’une nuisette pour dormir. Je ne pensais pas que… - Pas de problème. Prends ma place et je vais me doucher.
Sa nuisette est malheureusement opaque mais j’en ai déjà vu assez. Je me déshabille à mon tour et rentre dans le bain. J’ai le sexe bien tendu à cause du spectacle que j’ai pu voir juste avant. Je me douche rapidement mais j’ai aussi l’impression que Corinne me regarde dans le reflet de la vitre. Une fois la douche finie j’enfile un boxer et vais dans le lit. Corinne m’y rejoint juste après. Nous nous mettons bien chacun d’un côté. Je suis sur le dos et Corinne est de côté et me tourne le dos.
 - N’envoie pas de photo de la chambre à ta femme, elle serait jalouse et ne comprendrais pas ce qu’on fait là. - Haha oui, tu as raison. Ne l’envoie pas à ton homme non plus. - Si seulement je pouvais au moins. - Tu n’as personne ? dis-je en feignant de l’ignorer. - Ça va, ça vient. Je n’arrive pas vraiment à me stabiliser. En général ils se plaignent que je ne passe pas beaucoup de temps avec eux. - C’est vrai que tu travailles beaucoup. C’est très bien pour l’entreprise mais pour toi… - J’aime beaucoup ce boulot. Et puis je ne trouve pas d’homme qui me donne assez envie d’en faire plus pour eux. En fait c’est toi l’homme que je vois le plus, dit-elle en se retournant vers moi. - Et ça ne devrait pas être le cas. Il faut que tu t’accordes plus de temps pour toi. Après ce voyage je ne veux plus te voir au bureau après 17h, dis-je en me tournant vers elle. - Haha d’accord. - Sinon c’est vrai que même moi je te vois plus que ma femme.
Nous nous sommes rapprochés l’un de l’autre, nos visages sont à quelques centimètres. Quelque chose a changé dans le regard de Corinne.
 - Et ça te plaît ? Parce que moi je crois que j’aime que tu sois l’homme que je vois le plus.
Nous rapprochons encore nos visages.
 - C’est plutôt agréable effectivement.
Nous fermons alors les yeux et nous embrassons du bout des lèvres. Les yeux de Corinne pétillent et les miens aussi probablement. Elle passe une main sur mon visage puis me chuchote :
 - Fais-moi l’amour. 
Je l’embrasse alors à pleine bouche. Je n’arrive pas à savoir si j’attendais ce moment depuis longtemps ou pas. Mais en tout cas j’en suis là, dans le lit d’une suite nuptiale au dernier étage d’un immeuble new-yorkais en train de coucher avec mon assistante Corinne. Nous nous serrons l’un contre l’autre, nos langues s’emmêlent. Puis j’écarte ses jambes et descends vers son sexe. Elle ne porte même pas de culotte la coquine. Je soulève sa nuisette et embrasse sa vulve imberbe. Je prends un petit coussin que je mets sous ses fesses pour les surélever. Avec un doigt je commence à doucement caresser le clitoris et les lèvres de Corinne. Puis je l’enfonce dans son vagin. Ma bouche et ma langue viennent exciter le bouton d’amour. Corinne se cambre un peu plus. Elle commence à gémir un peu. Un deuxième doigt vient en renfort pour pénétrer ce vagin qui me donne tant envie. Corinne appuie sur ma tête pour bien me faire lécher son sexe. De la cyprine commence déjà à couler, signe que son excitation monte.
 - Tom, je veux ta grosse queue en moi. - Et comment sais-tu qu’elle est grosse ? - Je t’ai regardé dans le reflet de la vitre quand tu te douchais. - Tu mates ton patron prendre sa douche ? Ça peut être conseil de discipline ça. Mais j’espère qu’après tu me laisseras voir ton papillon. - Comment… ? Ah ok, j’avais bien vu ça alors. Tu mates ton assistante prendre sa douche. Je crois qu’on sera deux lors du conseil.  - Tant que je peux voir ton papillon. - Avec plaisir.
Elle enlève sa nuisette, j’enlève mon boxer et me place entre ses jambes écartées. Corinne met mon gland à l’entrée de son vagin. Elle est bien humide. Je me penche alors sur elle. Nos visages à quelques centimètres. Son regard dans le mien. Je veux voir le plaisir sur son visage quand je la pénètrerai. Je la fais un peu attendre puis j’enfonce enfin mon sexe en elle. Un gémissement de plaisir sort de sa bouche alors qu’elle ferme les yeux. Elle se cambre pour que ma verge rentre profondément en elle. Je commence mes va-et-vient. Elle accompagne ce mouvement avec son bassin, ce qui ne fait qu’amplifier notre plaisir. Mes va-et-vient sont de plus en plus rapides, mes cuisses claquent sur les siennes. Nous nous regardons toujours intensément, elle mort sa lèvre pour essayer de ne pas crier, mais au bout d’un moment le plaisir est trop fort. Elle gémit de plaisir chaque fois que mon sexe la pénètre. Je rentre en elle profondément, je veux la remplir de mon sexe.
 - Oh oui c’est bon Tom. Ça te dit qu’on baise devant la vitre. - Comme tu veux.
Nous allons devant la grande baie vitrée et nous embrassons. Puis je retourne Corinne et la plaque contre la vitre. J’ai accès à sa petite chatte et je m’empresse de la remplir. Levrette et vue sur New-York, quoi de mieux ? J’ai l’impression de discerner quelques personnes qui nous observent dans les immeubles alentour, mais ça ne fait qu’ajouter à l’excitation. Corinne lève bien son petit cul et moi je continue mes va-et-vient. Je me colle à elle pour pouvoir l’embrasser dans le cou et exciter en même temps son clitoris. « Oh putain c’est bon. Baise-moi, je vais jouir. ». Elle commence à carrément crier. J’augmente encore la cadence de mes va-et-vient. Je sens les muscles de sa chatte se resserrer autour de ma bite. Mes doigts excitent son clitoris à fond. Et quelques instants plus tard Corinne est prise de spasmes orgasmiques. Elle s’écroule au sol, gémissant de plaisir. Je m’assoie, épuisé, dans un fauteuil et je la contemple, belle dans son orgasme.
Une fois qu’elle s’est remise de ses émotions elle s’approche de moi à quatre pattes et vient entre mes jambes. Elle commence à me branler d’une main, l’autre palpant mes boules. On peut dire qu’elle sait y faire. Elle approche enfin sa bouche et me lèche le sexe sur toute sa longueur. Putain c’est bon. Puis elle l’enfourne enfin dans sa bouche. Si j’avais su que mon assistante suçait comme ça je n’aurais peut-être pas tenu 5 ans sans l’inviter quelques fois dans mon bureau. Elle excite mon gland avec sa langue et ses lèvres. J’appuie sur sa tête pour qu’elle suce tout à fond, elle le fait tellement bien. J’essaie d’aller racler au fond de sa gorge. Je sens que j’arrive, elle aussi. Elle me branle alors avec ses magnifiques seins. Je n’en peux plus, je lâche tout sur elle. Elle lèche le sperme qui a coulé sur ma bite puis se lève.
 - Tu m’as toute salie. Je vais devoir reprendre une douche, mais cette fois tu peux regarder sans te cacher.
Je vais alors me placer dans le lit. Corinne rentre dans la baignoire et prend le pommeau de douche. Elle se rince d’abord le corps de mon sperme puis elle dirige ensuite le jet d’eau sur sa chatte. Elle tourne la bague du pommeau pour mettre le jet puissant. Elle vise son clitoris pour se faire jouir rapidement. Elle se caresse les seins avec sa main libre et me regarde en même temps. Elle est vraiment magnifique. Elle place le pommeau juste à l’entrée de sa chatte et en quelques minutes elle jouit une nouvelle fois. Le temps de se sécher et elle me rejoint complètement nue dans le lit nuptial. Nous nous embrassons et elle se colle à moi dans le lit. Nous ne disons rien pendant plusieurs minutes. Petit à petit l’ivresse du désir disparait et laisse place aux préoccupations du lendemain.
 - Il faut qu’on assure demain. - Tu vas y arriver. On a tout revu dans l’avion. - Oui, mais là ça va se jouer à un poil de cul avec les autres fournisseurs. - Ouais mais nous on a une botte secrète. - Ah bon ? Et c’est quoi ? - Moi. - Toi ? - Oui, moi. Si tu arrives à les convaincre sans mon aide, tant mieux, mais sinon… je pourrai intervenir, de manière moins professionnelle mais peut-être plus efficace, dit-elle en me touchant le sexe. - Je vois. T’es vraiment une petite cochonne en fait. - Si c’est dans ton intérêt, oui. - Je sens que ça va me plaire. Mais dormons maintenant, on a une grosse journée demain.
Nous nous embrassons une dernière fois et sombrons dans le sommeil.
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