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Voyage en Croatie

Chapitre 1

Hétéro
Le car, trois étoiles, avait mis 12 heures pour rejoindre le but de son séjour, un camping pour naturistes sur les côtes de la Croatie. Christine avait réservé ce voyage pour elle et son copain Carlos. Mais les dernières semaines n?avaient pas été faciles avec lui, disputes sur disputes lui avaient fait prendre la décision de partir seule afin de réfléchir à leur situation. A 23 ans, Christine était une fille assez attirante, un corps mince mais avec tout ce qu?il faut aux bons endroits. Ses longs cheveux blonds lui descendaient jusqu?aux fesses et attiraient souvent les regards, tant des hommes que des femmes qu?elle rencontrait au hasard de son chemin.Christine ne réalisait pas encore cette séparation. Carlos la traitait d?ignorante, ne pouvant rien faire sans l?aide d?autrui. Il avait bien du s?étonner en arrivant devant chez elle, lorsqu?il trouva le mot épinglé à la porte de l?appartement : ? Carlos, je serai absente pour deux semaines, ce qui te laisse le temps de ramasser tes affaires et de disparaître de ma vie. Christine ?. Le temps maussade de Bruxelles reproduisait bien son état d?âme au moment où elle avait embarqué sur le car.Tout au long du premier tronçon de route, ne trouvant pas le sommeil, elle avait passé son temps à essayer d?analyser les voyageurs qui l?accompagnaient, leur comportement, les mimiques. Un groupe hétéroclite, un mélange de jeunes et de moins jeunes. En fait un groupe banal, si son attention n?avait été attirée par un jeune homme qui semblait partager le voyage avec un compagnon. Ils avaient tous les deux l?air sympa, mais elle se sentait plus attirée vers celui qu?elle présumait être le plus âgé. Il donnait l?impression d?être un peu plus sérieux que l?autre. Elle aimait sa chevelure noire qui lui descendait jusqu?aux épaules, recouvrant le col de son Tshirt. Son teint basané lui plaisait et contrastait avec la peau blanche du compagnon. Des bribes de conversation qu?elle avait pu saisir, elle avait compris qu?il s?appelait Mathias et l?autre Bernard.Après avoir traversé l?Italie, le bus libéra au fur et à mesure ses passagers le long de la côte adriatique. Quelques uns étaient descendus en Slovénie, le reste se préparait à rejoindre un hôtel sur les côtes rocheuses de l?Istrie, dernière étape du voyage.Christine remarqua qu?il n?y avait plus que cinq personnes dans le bus : un couple, qu?on laissa descendre devant un hôtel, et les deux jeunes qu?elle avait remarqué tout à l?heure. Le bus s?arrêta finalement devant l?entrée du camping, situé au nord de Porec. Descendue du car, elle avait d?abord encaissé la chaleur comme un coup de poing dans la figure. Le soleil en cette mi-journée tapait dur et nulle part on ne pouvait découvrir un nuage dans le ciel bleu. L?idée de vacances ensoleillées lui fit retrouver la bonne humeur. Elle récupéra son sac de voyage et rejoignit l?accueil où elle du attendre un peu. Le camping possédait des bungalows au toit de chaume. C?est un de ceux-là qu?elle avait réservé à l?agence. Lorsque ce fut son tour, on lui remit un formulaire à remplir. Elle sentit que quelqu?un regardait par-dessus son épaule et, se retournant, elle remarqua que Mathias l?observait.— Ah, tu t?appelles donc Christine, dit-il en lui faisant un clin d?oeil.— T?es bien curieux...Mathias, répondit-elle, lui rendant son clin d?oeil.On lui remit la clef de son bungalow et, passant devant les deux garçons, elle les gratifia de son plus beau sourire.Son bungalow se trouvait à la limite d?une pinède, au bord de la pelouse où se trouvaient montées les tentes des campeurs. L?intérieur était sobre, mais accueillant. Le chemin vers la plage passait juste à côté. Encore un peu fatiguée du voyage, elle déposa son sac sur le lit et regarda par la fenêtre. Qu?elle ne fut sa surprise de découvrir les deux gars du bus en train de monter leur tente à cinq mètres de là. Torse nu, ils se battaient avec les tiges en fibre de carbone, essayant d?installer la structure portante de leur tente. Cela devait être la première fois qu?ils la montaient, car ils ne cessaient de regarder sur la feuille de papier qui devait contenir le plan de montage. Bernard semblait avoir deux mains gauches, car Mathias devait souvent le corriger. Mais tout se passait dans la bonne humeur et ils rigolaient de bon coeur.Elle pouvait les observer depuis sa fenêtre et elle sentait l?excitation la prendre. Ces deux corps en transpiration, ces gouttelettes de sueur scintillantes au soleil lui donnaient des sensations qu?elle ne pouvait maîtriser. Pendant quelques secondes, elle pensa retarder son envie de rejoindre la plage. Déjà sa main était descendue vers son entrejambe. Passant sous sa minijupe, ses doigts avaient écarté le mini string transparent et caressaient le pubis entièrement épilé. Son index suivait la fente déjà bien humide pour venir caresser le bouton qui lui procurait tant de plaisirs. Elle sentait bien qu?elle mouillait et son excitation augmentait de plus en plus. Elle voyait Mathias qui lui tournait le dos, son derrière musclé serré dans le jeans. Rien qu?à penser qu?elle aimerait le caresser de ses doigts, fit monter sa jouissance d?un cran. Ses genoux tremblaient et elle se retenait à l?appui de fenêtre. Elle avait introduit deux doigts dans son vagin trempé et s?activait comme une forcenée. Déjà la cyprine lui coulait sur la main. Elle serrait les jambes pour intensifier les sensations, son bassin allait d?avant en arrière, comme si elle faisait l?amour. Elle s?imaginait Mathias la prenant par derrière et cette idée la fit venir dans un orgasme jouissif. Dehors, les deux avaient du entendre son cri, car ils s?étaient retournés subitement pour regarder, étonnés, dans sa direction. Revenue à elle, sachant qu?elle avait du être vue, elle ouvrit la fenêtre pour leur crier :— Vous devez avoir soif sous ce soleil brûlant, non ? Ils s?approchèrent.— Ah, Christine, salut voisine ! Oui, quelque chose de frais ferait du bien. Il tape fort ce soleil. On peut rentrer ?— Doucement, doucement, répondit-elle, je vous passe deux verres. Excitée comme elle l?était, elle ne voulait quand même pas déjà en arriver là et elle leur tendit deux verres d?eau par la fenêtre.— Vous pouvez les laisser devant la porte.Elle referma la fenêtre, passa une robe légère, pris le sac de bain contenant une couverture et sortit pour se diriger vers la plage. Lorsqu?elle passa près d?eux, ils soulevèrent leur verre et, d?une seule voix, ils lui lancèrent :— Santé, voisine !Elle leur montra son plus beau sourire et sans un mot continua son chemin, balançant les fesses un peu plus que d?habitude.En ce début d?après-midi, la ? plage ? n?était pas encore très fréquentée. On ne pouvait pas vraiment appeler cela une plage, car des groupes de rochers formaient un collier, entrecoupé par des espaces de gravier. Pas de sable fin pour s?allonger, mais des plaques de béton avaient été coulées par ci - par là pour permettre aux gens de s?allonger plus ou moins confortablement. Après quelques efforts d?escalade, elle trouva une petite crique entourée de gros blocs de granit et prit place sur une des deux plaques de béton qui se trouvaient là en bordure de l?eau...
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