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Voyage de noces à Mauritius

Chapitre 3

Trash
Vaincue, rouge de honte, Élodie présenta son joli postérieur à Tommy qui était entré dans la paillote en enlevant la fine ceinture tressée en cuir de son pantalon de toile. Elle se raidit mais le premier coup la prit par surprise, une vive sensation de brûlure accompagnant le claquement sec du cuir sur sa peau qui marquait très vite. Les coups tombaient à une cadence régulière, lui arrachant des cris rauques. Mais elle n’essayait pas de s’échapper, elle restait offerte, résignée à subir la sévère punition.
Quand il arrêta après dix coups, le jeune femme ne retenait plus ses larmes et ses épaules tremblaient ; elle réagit à peine quand il écarta son string et la fit se cambrer, puis regimba quand elle sentit un liquide froid couler dans sa fente exposée. De l’huile pour moteur de bateau.
— Non, pas ça ! Je n’ai jamais… s’affola-t-elle quand elle comprit ce qu’il voulait faire.— Mais tais-toi ! Je le sais que tu n’as jamais été enculée !— S’il vous plaît, non, je vous en supplie !— Tu vas aimer, j’en suis sûr. Je vais bien te préparer.
Élodie s’est tue, troublée et emportée par des sensations malsaines. Deux doigts forçaient son anus serré, elle ouvrit la bouche pour protester avant de secouer la tête. Elle allait y passer, elle allait être enculée. Tommy lubrifiait encore, directement dans l’anus entrouvert, ses doigts plongeaient et tournaient, bientôt rejoint par un troisième, ce qui arracha un cri rauque à la jeune femme. Le cœur battant à rompre, elle resta offerte, bien cambrée ; pourtant elle frémit en comprenant que ça y était, il avait remplacé ses doigts par son gland et pesait. Son anus résista quelques secondes avant de céder, et le barreau de chair s’enfonça dans ses reins vaincus.
— Alors, ma petite pute, tu le sens, Tommy ? Il défonce bien ton petit cul ?— Vous êtes trop gros, doucement, s’il vous plaît…
Ses yeux se noyèrent sous la douleur soudaine qui reflua tout de suite. Elle sentait la lourde verge plonger dans ses reins, épais barreau d’acier brûlant qui l’emplissait d’une manière différente. Elle ne se dérobait pas, les yeux clos et la bouche ouverte en O ; ses pensées tourbillonnaient, confuses et sans suite. « Je suis une pute maintenant, une enculée… Il me maltraite et j’aime ça…C’est sale, et c’est trop bon… J’ai honte… S’il voit que ça me plaît, ce sera pire encore… Essaie de rester froide, ne réagis pas… C’est bon, mes seins font mal, ils sont gonflés… Oh non, je me cambre, qu’il aille plus loin, plus fort… »
— Petite pétasse, tu aimes ça, te faire enculer, hein ?— Oui… Mon Dieu…— Tu es une chaude du cul, j’en étais sûr !
Il la pilonnait de toutes ses forces maintenant, lui arrachant de sourds gémissements, elle s’offrait sans pudeur à ses coups de boutoir de plus en plus violents. Il sortait complètement de l’anus affolé et replongeait sans coup férir dans l’anus écarquillé et elle l’accueillait avec un râle de plaisir. Les yeux fous, il claquait les reins de cette jolie rouquine au corps souple à peine sorti de l’adolescence, ce corps qui lui appartenait maintenant. Il savait qu’elle ferait ce qu’il voudrait, et lui, ce qu’il voulait, c’était se faire de l’argent.
Il se planta, chevillé jusqu’aux couilles dans ses reins, pour la remplir d’épaisses giclées de foutre ; et il comprit qu’elle jouissait aussi, à ses tremblements et ses petits cris rauques. Il se retira, la laissa reprendre sa respiration avant de lui désigner sa verge luisante et maculée.
— Allez, viens me nettoyer la bite, vite.
— Oui…
Sa voix était brisée, chargée d’émotions ; le visage défait, elle se retourna pour lui adresser un pauvre sourire ; qui se changea en grimace quand elle vit et sentit la grosse verge huileuse et souillée à moitié débandée. Mais elle ne protesta pas, elle baissa la tête, soumise, et commença à lécher le gland. Il savait dès lors qu’il avait gagné, elle lui obéirait, elle était sa pute maintenant, et il allait la dresser pour qu’elle lui rapporte un max.
Élodie, de retour à sa chambre, eut le plaisir de voir que son mari était éveillé ; il lisait, assis dans un fauteuil, juste vêtu d’un bermuda ; elle l’embrassa et fila se doucher avant de le rejoindre ; il s’était lavé et rasé et paraissait à peu près en forme ; enveloppée dans une serviette, elle alla s’asseoir sur ses genoux et l’embrassa dans le cou.
— Alors, tu vas mieux ?— Oui, désolé, ma chérie. Je ne sais pas comment je fais mais je vais essayer de rester sobre ; tu as pu t’amuser un peu ? — Pfff… Seule, ce n’est pas drôle ; j’ai fait de la plongée, de la gym aquatique, du bateau à voile.— J’ai vu que tu t’es acheté un joli string, tu en jettes, il ne cache pas grand chose.
Élodie rougit violemment, se tortillant sur ses genoux, affreusement gênée. Elle opina, incapable de parler.
— Tu peux le passer, pour moi ? Juste ça…— Tu… Je… Oui…
Tête basse, elle revint dans la salle de bains et enfila le micro string avant de revenir dans la chambre d’une démarche hésitante, guettant la réaction de son mari du coin de l’œil. Elle était superbe, innocente et perverse à la fois, quasiment nue devant lui, oscillant d’un pied sur l’autre. Ce qui surprenait Hugues, c’est qu’elle gardait la tête baissée, mais il voyait bien qu’elle était à deux doigts de fondre en larmes. Il lui tendit la main qu’elle prit, et il la fit tourner devant lui ; restant bouche bée devant les marques rouges qui sillonnaient le joli postérieur de sa jeune femme. Des marques gonflées et droites qu’il identifia aussitôt.
— Mais, tu as reçue une fessée, et sévère en plus. Qui t’a fait ça ? Élodie !— Pardon, Hugues. J’étais si malheureuse quand je me suis retrouvée seule que… j’ai fait une bêtise.— Explique-toi, et vite.
La voix entrecoupée de sanglots, Élodie raconta ce qu’elle avait fait avec Tommy, passant sous silence ses prestations tarifées, édulcorant un peu le reste.
— Alors ce salaud t’a baisée, t’a battue et t’a sodomisée ? Bon sang, Elodie, nous venons de nous marier, et tu me fais cocu dès le lendemain. D’accord, j’ai trop bu, il faut que je fasse attention ; mais tu t’es comportée comme une pute. Tu n’as aucune excuse.— Pardon, Hugues, je t’en supplie, essaie de me pardonner ; je ne sais pas comment j’ai pu te faire ça. Laisse-moi essayer de me faire pardonner.
Elle était à genoux devant lui, les mains jointes comme en prière. Elle sanglotait et reniflait, le suppliant de ses grands yeux verts pleins de larmes.
— J’hésite. Entre te pardonner ou te foutre dehors et divorcer dès notre retour en France.— Ne me fais pas ça, s’il te plaît. Laisse-moi une chance, je ferai tout ce que tu voudras.— Ou alors, je te garde, mais pour ce que tu es réellement, une chienne en chaleur, une pute qui n’a pas d’honneur, juste des trous.— Tu es méchant. Je ne suis pas…— Ta gueule ! C’est à prendre ou à laisser ; tu sors de cette chambre et de ma vie, ou alors tu enlèves ton string de pute, et tu me donnes tes trous.
En pleurs, Élodie s’est levée et a fait glisser son fragile rempart sur ses cuisses fuselées. Elle s’est mise à genoux devant le lit et a posé son buste sur les draps, écartant ses jolies fesses marquées à deux mains pour exposer crûment son intimité. Hugues constata que l’anus était rouge et gonflé, preuve qu’il avait été fortement sollicité peu de temps avant. Sa verge était à l’étroit dans son bermuda à fleurs, il la libéra et décalotta le gland ; Hugues ricana en s’apercevant qu’Élodie le surveillait du coin de l’œil ; il s’approcha et claqua violemment une fesse, puis l’autre ; les contours de sa main s’imprimèrent rapidement en rouge sur la chair pâle, se superposant aux longues marques déjà présentes. Elodie sursauta en poussant un étrange couinement mais ne bougea pas.
— Comment il t’a marquée ? Ou avec quoi ?— Avec une ceinture en cuir ; il m’a fait mal.— Il n’a pas tapé fort, crois-moi. Demain tout aura disparu.
Hugues versa de la crème apaisante entre les fesses offertes ; Élodie frémit quand il fit pénétrer deux doigts dans son anus encore douloureux, mais elle ne protesta pas. Pas plus quand Hugues a posé son gland sur la rosette tuméfiée. Il s’est enfoncé d’une long et puissant coup de reins ; il savait que ce serait douloureux, mais il voulait faire mal à Élodie, la blesser dans sa chair comme elle l’avait blessé dans son cœur.
— Tu me fais mal… Oh ! S’il te plaît, non !— Tais-toi ! Ça y est, je suis entré, c’est la première fois que je t’encule, salope.
Il donna des coups de boutoir amples et profonds, tout surpris de sentir le corps de sa jeune épousée réagir, trembler et se cambrer ; mais il était trop excité et il jouit rapidement ; il caressa rêveusement ses fesses après être ressorti de l’anus d’Élodie. Qui se releva lentement en grimaçant, fit quelques étirements les mains sur les hanches. Il lui jeta une minuscule robe de plage à rayures multicolores et ordonna :
— Enfile ça, rien dessous bien sûr, comme la pute que tu es. On va manger.
Les oreilles rouges de honte, Élodie passa la robe par le haut et la descendit sur son corps, la lissant, A fines bretelles, la robe laissait ses épaules nues et moulait sa poitrine aux mamelons dressés. Hugues lui coula un regard torve, appréciateur. Malgré la qualité du buffet couvert de salades composées savoureuses et variées, Élodie picora, sans appétit aucun. Hugues la força à boire trois verres de vin malgré cela, et l’alcool dénoua un peu le nœud d’angoisse dans son ventre. Après avoir bu un café, Hugues se leva et lança :
— Debout ; et tu me conduis à ton nouveau mec.— Mais…— Tais-toi. Debout.
Les larmes aux yeux, Élodie obéit ; il empoigna son bras et serra fort.
— Tu me fais mal !— Ferme la, je te dis. Allez, je veux lui parler.
Il secoua Élodie puis la lâcha ; elle frotta son biceps marqué de rouge et sortit de la zone restaurant, tête baissée pour masquer ses yeux pleins de larmes.
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