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Voyage de noces à Mauritius

Chapitre 4

Trash
Elle alla d’abord à la paillote de plongée qui était fermée, puis continua jusqu’à la cabane du personnel ; plusieurs employés se prélassaient, somnolaient sur des nattes, buvaient au comptoir, mais Tommy restait invisible. Élodie s’approcha du comptoir et s’adressa à un gros moustachu qui officiait, torse nu.
— Bonjour. Je cherche Tommy, vous savez où il est ?— A cette heure ? Oui.
Elle le regarda, étonnée qu’il ne poursuive pas.
— Vous pouvez me dire où il est ?— Croyez-moi, vous ne voulez pas le savoir.— Je vous en prie ! Je dois le voir.— Je vous ai prévenue ; il est de repos, alors il est avec son père. Ils tiennent… disons un bar à hôtesses à Port-Louis.
Hugues est intervenu d’une voix sèche et le barman a tendu une carte de visite froissée qu’il a prise.
— Le café Aphrodite ? C’est un nom assez chic.— Si vous y allez avec mademoiselle, ce que je vous déconseille, vous verrez que seul le nom est chic.— C’est quoi ? Un boui-boui, un bar louche ?
Un rictus déforma la bouche du barman, qui secoua la tête avant de répondre.
— Pire que ça ; pire. Tommy est le plus sain de la famille, son père et ses frères sont pires que lui.— Ils tiennent un … bordel ?— C’est un peu ça. Allez-y si vous ne me croyez pas.— Le temps de me changer, nous partons.— Ils ouvrent vers 16 heures. Pas avant.

Le taxi se gara devant un vieux bâtiment isolé dans le quartier portuaire. Élodie examina les lieux par la fenêtre pendant que son mari payait le chauffeur ; la rue était déserte, jonchée d’immondices et écrasée de chaleur ; une vieille enseigne déglinguée accrochée au mur indiquait « Café Aphrodite », un volet métallique était enroulé dévoilant une porte à la peinture rouge écaillée et une vitrine sale à travers laquelle elle apercevait un rideau rouge opaque. Elle soupira, inquiète, se demandant ce qu’elle allait faire ici.
Hugues frappa à la porte du café sans obtenir de réponse mais, alors que le couple attendait à l’ombre du bâtiment, deux hommes apparurent à l’angle de la rue et approchèrent paisiblement du café ; deux noirs ventrus dans la trentaine vêtus de vieux tee-shirts déchirés et crasseux sur des pantalons de toile sales et froissés. Ils s’arrêtèrent devant la porte juste à côté en regardant le jeune couple, avec un regard vicieux pour la jeune femme.
— Vous venez au Café Aphrodite ?— Oui, je crois qu’il n’y a personne.— A c’t’heure, y a personne qui entre par là. La p’tite, elle peut entrer avec nous, mais vous, vous entrerez qu’à partir de neuf heures ce soir.— Ah bon… Je ne savais pas. Elodie peut entrer avec vous ?— Hugues, non ! Je t’en supplie, ne me fais pas ça !— Tais-toi ! Tu vas entrer et obéir, sinon je te laisse ici au bord du trottoir et je rentre seul en France.— S’il te plaît, mon chéri, si tu savais comme je regrette de t’avoir fait du mal…— C’est fait, alors obéis, et accompagne ces messieurs
Refoulant ses larmes, Élodie baissa la tête ; elle était consciente d’avoir trahi ses serments de mariage, d’avoir foulé aux pieds les valeurs du couple, la fierté de son mari. Elle ne pouvait pas supporter le poids de son regard haineux ; et puis son corps la trahissait encore, il avait envie d’entrer dans ce bar louche, de faire des choses sales. Elle hocha la tête et se tourna vers les deux hommes dépenaillés.
— Je vous suis.— Alors avance, ma salope, et entre… Quel cul tu as, je vais te le défoncer.
Ils la poussèrent devant eux dans un couloir sale et mal éclairé avant de refermer la porte derrière eux. Puis ils la firent entrer dans une pièce défraîchie imprégnée d’odeurs de sueur, de tabac, éclairée par quelques vieux tubes néons à la lumière blafarde. Le seul bruit était la respiration lourde des deux hommes et le grésillement des lampes. Élodie, très inquiète maintenant, examina les lieux ; un vieux divan en simili marron crasseux, des chaises en bois peintes en bleu écaillé, une table au plateau massif, c’était tout ; il faisait chaud, pas de clim, pas de fenêtre, un air moite et confiné emplissait la pièce. Elle regarda les deux hommes d’un air suppliant. Juste ce qu’il ne fallait pas faire ; il réagirent aussitôt :
— Allez, à poil, la pute ; montre ton petit corps bien bandant.— Monte sur la table et fais-nous un strip-tease !
Malgré la honte et la peur, le jolie rouquine eut un petit sourire crispé en songeant que son strip-tease allait être court : elle ne portait que sa robe. Elle s’assit sur la table, ramena ses jambes et se redressa souplement ; puis elle commença à chalouper, les mains plongées dans sa chevelure rousse qu’elle soulevait, les yeux clos. Elle fit glisser les bretelles de sa robe sur ses biceps et ondula, aidant le fin tissu à libérer sa poitrine un peu lourde. La robe glissa jusqu’à ses hanches évasées, un accompagnement des pouces et elle tomba en corolle à ses pieds.
Elle plongea les yeux dans ceux luisants de désir des deux hommes et commença à caresser ses mamelons qui réagirent, devenant turgescents ; elle fit rouler les gros bouts roses en retenant un gémissement de plaisir. Puis, les yeux clos, elle descendit sa main droite jusqu’à empaumer son pubis, glissant dans la fente et plongeant dans son vagin deux doigts puis trois. Elle était trempée et brûlante.
— Alors, vous voulez me baiser tous les deux ? Venez, je suis à vous…
Elle se laissa glisser au sol devant eux et n’eut pas à attendre longtemps pour les voir exhiber deux verges noueuses à l’odeur de sueur et d’urine. Elle plissa le nez de dégoût, sachant qu’elle ne pouvait plus guère reculer maintenant. Rassemblant son courage elle empoigna les deux verges dressées et commença à distribuer quelques coups de langue sur les glands décalottés. Mais ils voulaient plus et elle dut rapidement se retourner et offrir sa croupe à leurs assauts. Elle était trempée et n’eut aucun mal à accepter la verge pourtant épaisse du premier qui la prit à un rythme effréné avant de jouir tout au fond de son vagin accueillant, aussitôt remplacé par le suivant qui s’engouffra dès que la place fut libre.
Bien plus tard, quand Hugues revint et entra dans le café Aphrodite, il parcourut la salle enfumée où des gens buvaient rhum ou bière ; pas un blanc, pas de femme non plus. Des asiatiques, des métis ou des noirs. Et pas l’élite de la population de l’Ile Maurice, plutôt la lie de la société ; il s’approcha du bar où on lui tendit d’autorité une bière qu’il paya. La bouteille était glacée dans sa main, c’était déjà ça ! A ses questionnements, le serveur lui indiqua une porte sur le côté. Hugues entra dans un couloir sale donnant sur des toilettes sordides à l’odeur suffocante.
Une porte s’ouvrit au fond et deux hommes sortirent en rigolant, le premier se rebraguettant. Hugues les croisa et ouvrit la porte ; plusieurs hommes attendaient, deux étaient nus et se masturbaient, un autre venait sûrement d’arriver et discutait avec un jeune black assis derrière un bureau en regardant un petit écran plat accroché au mur.
— Je te dis que je suis clean, enfin Tommy, tu me connais !— Bon, OK, pas de préservatif alors, mais si tu reviens fais attention à avoir un test récent.— Merci, Tommy ; j’ai trop envie de remplir cette pute rousse de bon foutre de Mauricien.— Attends ton tour, j’envoie les gens par deux pour quinze minutes, ceux-là en ont pour encore six, puis les deux ici... Tiens, tu as du bol, un autre client ! Bonjour Monsieur. Vous êtes nouveau ?— Oui, c’est mon taxi qui m’a donné votre adresse.— Oh, Français ? Bienvenu ! Nous avons une jeune pute Française à qui nous apprenons le métier, vous allez pouvoir y aller. C’est trente Euros, tous les trous disponibles pendant quinze minutes ; elle est saine, si vous avez un test récent, c’est sans préservatif.— D’accord ; pas de test, désolé.— Désolé pour vous, mon pote ! Elle avale comme une pro, cette jeune pute.
Hugues, un peu désorienté, sortit son portefeuilles et tendit l’appoint en billets, plus un Euro pour un préservatif. Ses doigts tremblaient ; quand il eut refermé sa sacoche, il se rapprocha de l’écran et put enfin voir les images.
Dans une pièce à l’éclairage cru, Élodie était à genoux sur un matelas recouvert d’une alèse blanche, elle se faisait violemment sodomiser par un gros homme velu et elle offrait sa bouche aux assauts bestiaux d’un autre homme. Elle bavait d’importance, les mains posées sur les hanches de l’homme qui prenait sa bouche comme un sexe, son corps menu tressautant sous les coups de boutoir violents de l’homme qui prenait ses reins.
Et le pire pour Hugues, c’était de voir qu’Élodie ne se dérobait pas ; au contraire, elle s’offrait et allait au devant des queues qui la prenaient sans ménagement, ses joues se creusaient témoignant de ses efforts pour pomper avec vigueur celle qui lui emplissait la bouche. Et pourtant elle paraissait épuisée ; quand ils se retirèrent après avoir joui elle s’écroula comme un pantin désarticulé, ses côtes se soulevant au rythme de sa respiration hachée.
Dans la petite pièce surchauffée, elle ruisselait de sueur, ses cheveux emmêlés étaient maculés de semence. Plus tard, quand Hugues entra, nu et sa verge gonflée comme jamais, elle ondula de tout son corps et lui présenta son entrejambe. Son anus était rouge et boursouflé, du sperme coulait à flots de ses orifices dilatés. Elle lui exposa un visage rougi et fatigué aux yeux égarés, réalisant alors que c’était son mari qui s’apprêtait à la prendre dans cet endroit sordide. Elle se raidit et tenta de se redresser, mais un coup de sonnette la rappela à l’ordre et elle se positionna en levrette pour s’offrir à ses deux nouveaux clients.
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