Le voyage à Paris Jade et moi étions deux forts amoureux. Nous avions tout deux, dix-sept ans. Elle était très belle : poitrine moyenne mais ferme, jambes fines et surtout beau visage avec une belle chevelure noire, sur ses yeux des lunettes noires aux grosses formes rectangulaires qui renforçait son air sexy.Nous étions tous les deux fidèles, nos ébats amoureux n’étaient pas très poussés, juste quelques moments de masturbation. Le lycée avait organisé un voyage à Paris. Nous étions chez elle. Jade venait de finir de se maquiller sans trop se charger, juste un peu de rouge à lèvres. Elle faisait sa valise et moi je la regardais faire et lui conseillais des tenues.— Tu aimes ce que tu vois ? lança-t-elle.— Oh oui, rétorquai-jeJe lui pris quelques vêtements sexy et un œuf vibrant et un plug ; elle s’habilla devant moi sans gêne. J’en profitais pour mater ses courbes généreuses. A ma plus grande joie, elle s’habilla en uniforme d’écolière.Dans le bus, nous étions à l’arrière, le voyage se faisait de nuit. Tout le monde dormait. Jade avait posé ses pieds nus sur mes jambes, elle commença à caresser ma braguette avec ses jolis pieds. Je bandais et Jade le savait. Elle se remit en position assise, ouvrit ma braguette, sortit mon pénis de mon boxer et commença un mouvement de va-et-vient.— Tu as les mains froides, chuchotai-je.Ma phrase finit étouffée dans un baiser, un baiser passionné avec la langue.Elle me sourit et accéléra son mouvement de branlette diabolique, tout en me massant les bourses. J’étais au 7ème ciel, pendant que Jade s’amusait avec ma bite, j’admirais sa folie, elle me branlait dans le bus à côté de plus de 30 élèves. Cédant aussi à cette folie j’approchai ma mains baladeuses de son chemisier et ouvrit les trois premiers boutons et je dégageai ses seins de ses bonnets. Jade me sourit lorsque j’ouvris son chemisier et dirigeai ma main vers son soutien-gorge.Je pris un mamelon et je le fis rouler avec le pouce et l’index, ce qui fit gémir Jade. Je la voyais qui se mordait la langue pour ne pas hurler de plaisir. Après tout, ce voyage allait peut être aussi être une semaine de plaisir, heureusement que j’avais demandé à être dans la même chambre que Jade…Nous arrivâmes à Paris, nous allions dormir dans une auberge de jeunesse… Quelle horreur… La chambre double était au moins ce que j’avais espéré. Il y avait des douches communes à chaque étage. Les élèves avaient déposé leurs affaires et nous sommes allés visiter le Louvre.Jade et moi allâmes dans notre chambre pour nous préparer avant le dîner ; à peine entrés, je plaquai Jade contre le mur et l’embrassai passionnément avec la langue tout en lui caressant ses jolis cheveux noirs qui étaient si beaux…J’approchai mes mains de son bas-ventre et les plaquai sur ses fesses et remontai lentement mes mains dans son chemisier. Un frisson parcourut sa colonne vertébrale. Je ne savais pas comment l’interpréter : Jade avait-elle peur ou prenait-elle du plaisir. Quoi qu’il en soit mes mains remontaient toujours plus vers son soutien-gorge. Je dégrafai l’attache de son soutien-gorge l’enlevai, puis le jetai sur un lit et repassai mes mains à l’avant en englobant un sein, puis deux.Nous fîmes un merveilleux 69, Jade commençait à me sucer et je descendais vers son bas-ventre et, comme elle portait une jupe avec des chaussettes et une culotte, Jade n’était pas obligée de se déshabiller entièrement. Je commençai à lui écarter la culotte et passai ma langue sur sa fente. Sa chatte était imberbe. Je m’immisçai entre ses lèvres et dévoilai son clitoris, l’entrée de son vagin. Tantôt j’appuyais mes caresses, tantôt j’effleurais son clitoris. Au bout de cinq minutes, Jade eut un impressionnant orgasme. Je me retrouvais, le visage couvert de cyprine, ma bite fut saccadée et je jutais quatre longs jets de sperme. — T’es en forme ! m’exclamai-je.— Toi aussi, dit-elle, en finissant d’avaler mon sperme.Tout à coup, on frappa à la porte de notre chambre. Nous nous rhabillâmes à la hâte et j’allai ouvrir.— Oui ?C’était Marc, un de mes bons copains, mais tout de même moins que Jade.— Vous faites quoi les z’amoureux ? demanda-t-il.— Rien, on visite les lieux, rétorquai-je.Il partit sans rien ajouter.— Tu crois qu’il est fâché ? demanda Jade.— Il est un peu jaloux, répondis-je.Nous nous préparâmes pour le dîner qui se faisait en ville car l’auberge de jeunesse dans lequel nous logions était dépourvu de restaurant. Jade avait mis du rouge à lèvres et s’était coiffée. Nous prîmes le bus et allâmes manger.Le lendemain, nous allâmes visiter Versailles…Je ne me doutais pas qu’aujourd’hui j’allais découvrir un événement qui allait corser le voyage. Avez-vous aimé cette histoire ?
