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voyage vers mon internaute

Chapitre 1

Voyeur / Exhibition
En route pour trois heures de voyage en train vers les Nord Est de la France, à Strasbourg.Et tout d’abord, bonjour, je suis Maryse, nouvelle jeune cadre dynamique sur le marché, je suis assez jolie & vie avec mon ami à la frontière belge depuis quelques années.Je passe la frontière chaque jour pour administrer dans mon tailleur strict une section d’employé de la ville.Cette description, c’est Maryse que ma famille, mes amis et mon ami connait, cependant, cela fait quelques temps que je converse via internet avec Laurent, 5 ans mon aîné, de Strasbourg.Nos conversations parlaient de sexe, comme beaucoup de jeune, mais celle-ci ont viré vers un monde moins classique lorsque j’ai découvert que j’appréciais faire ce qu’il me demandait, ce n’était plus le fait d’un acte plus ou moins sexuel mais plutôt le désir d’être dominé qui m’hypnotisait.Cela a duré plus d’un an, à l’abri des regards chez moi, ou au travail que je m’appliquais à suivre du mieux que je pouvais, ces petits jeux de soumission, à rendre compte mes réussites ou mes erreurs qui me coûtaient des punitions du plus en plus osées.Sa simple façon de me nommer me faisait fondre et comprendre que j’allais exaucer tous ces désirs.— Ma petite soumise Maryse , ce weekend, tu annonces à ton ami ton absence, car ce weekend, tu viens à Strasbourg pour une soumission en LiveMon cœur passa alors de 65 à 160 pulsations à la minute à la lecture de cette phrase.— …..Oui Monsieur — Je t’envoie de suite ton billet de train électronique, c’est en cabine de 4, assez tranquille je suppose, tu seras en robe courte pour la circonstance, chaussure à talons, sans culotte, et voyons, est-ce que ton 95C pourra se passer d’un soutien-gorge…à voir; Je pourrai enfin vérifier la douceur de ton pubis après les 12 séances d’épilation définitive au laser que je t’ai offert.En fait, ton ami a accepté le fait que ce choix d’épilation était le tien (héhéhé) et qu’il était sans appel ? Désolé, je m’égare, tu prendras également ton grand manteau, pas de change, tu n‘en auras pas besoin ce weekend»Cela fait 3 jours que j’ai reçu ce message, pas de rappel, mon homme est prévenu que j’allais en séminaire, donc pas de téléphone portable pendant ce weekend; il est dix heures douze, voici une cabine vide dans mon train ou je m’installe, et sors mon livre de chevet actuel, un recueil d’histoire érotique; je me rends compte qu’il fait chaud dans ces cabines, et on ne peut rien régler, vive le XXIieme siècle, je retire alors mon manteau pour me retrouver en robe courte, la fin de mes cuisses au contact avec le Skie des sièges, et mes seins libre des mouvements du train qui démarre, qui ne pourront être retenu que par l’excitation pour tous ce long weekend.Un voyageur s’invite dans ma cabine, assez grand, black, la classe d’un homme d’affaire, il s’installe en face de moi en me saluant d’un signe de tête et d’un grand sourire ; s’en suit un couple de personne âgé, notre cabine est rempli, un arrêt plus loin je replonge dans ma lecture mais après une heure de route et de lecture érotique, je souhaite aller aux toilettes, je demande alors à mon passager black si il pouvait garder un œil sur mes affaires, il accepta de suite.Les toilettes du train sont très petite, cela ne m’empêche pas de relever ma robe et force de constater une chatte brillante de cyprine, je n’en peux plus et me caresse ainsi, debout, une jambe de chaque côté de ces toilettes, et à la limite de la jouissance, je me dis que je suis dans un train, je suis folle, je me rhabille et retourne à ma place, aucune idée du temps que je suis partieJe reprends ma lecture mais deux pages après mon marque page je découvre un mot près d’un cercle dessiné.-Tu sers et écartes tes cuisses machinalement depuis une heure que tu lis ton livre, au vu de ta lecture je comprends mieux à présent, alors garde tes genoux écartés une bonne fois pour toute, et sache que tu fais bander un membre de 25cm de long et de 6 de diamètre.Tu deviens rouge et remarque que la feuille est quadrillé comme les feuilles à l’époque à l’école, ce cercle de 12 carré de diamètre, 6 centimètres, tu restes hypnotisé par cette taille ; une seule idée reste en tête…et 25cm ? mes genoux se resserrent instinctivement, et c’est alors que je retourne la feuille— « Écarté j’ai dit »Sans attendre, comme par peur, prise la main dans le sac, mes genoux s’écartent alors d’un coup provocant un bruit grinçant sur ce satané skie de banquette.Depuis la visite aux toilettes, mon excitation n’a pas faibli d’un pouce et je reste ainsi jusqu’au prochain événement qui ne se fait pas attendre, un arrêt du train.Le couple de vieux nous dit au revoir et quitte la cabine, un couple de jeune arrive alors ; j’interviens dans la seconde-désolé, ces places sont prises par mes parents, ils se sont juste absentés un instant.Ils me croient et referme la porte coulissante, je ferme alors les rideaux de la cabine ; Mais qu’est-ce que je suis en train de faire, je me retourne rapidement, poussé par un élan de courage pour m’excuser de mon comportement
— Désolé Monsieur, cela n’était pas dans mon intention de ..— Vient ici petite sotte, tu crois quoi, que je vais laisser passer çà comme çà, tranquillementIl me tient par le bras et m’amène jusque devant lui, je ne fais pas le poids devant sa force, me demande de remonter ma robe, ce que je le fais sans broncher, comme paralysé.Me voilà à demi-nue devant un inconnu qui découvre ma chatte lisse, touché uniquement par mon ami, et vu par Laurent, mon internaute.— Quel est ton nom ?— Maryse— Et, tu as un petit nom ?— La petite soumiseCela est sortie bêtement, je me rends compte de ma gaffe mais trop tard, ce petit nom en dit long pour mon inconnu.— A genoux, il est temps que tu t’occupes de moi, bonne petite soumise.Je capitule et déboutonne son jeans, je vois la bosse que forme son pénis dans celui-ci, mon dieu, je ne vais jamais réussir à m’en occuper.-allez lèche moi bien, et prend bien mon gland dans ta petite bouche de soumise.Et me voici en train de sucer la plus grosse bite de ma vie, je m’applique bien car je ressens des sursauts de plaisir, je veux me retirer et me rappelle que je n’ai que cette robe pour le weekend, pas question de la salir, résigné je continue mes aller venu jusqu’à recevoir son foutre en pleine bouche, que je m’applique à avaler.Il me redresse par les cheveux, ma robe reste sur mes hanches, et alors que je veux me réajuster il me l’interdit— Qu’est-ce tu crois faire à présent, j’en ai pas fini avec toi, j’aime bien exposer mes trophées personnellementIl retire alors sa ceinture pour la mettre autour de mes poignées et l’attacher au porte bagage situé juste au-dessus de nos têtes, il me tourne alors face à la fenêtre ; je me retrouve exposé à l’extérieur, certes le train avance mais tout de même, ce n’est pas un TGV. Je suis resté ainsi quelques minutes, un peu tremblante jusqu’à ce que mon amant d’un jour reprenne la parole.-Mais tu attends quoi pour écarter tes cuisses, tu ne vas pas faire ton innocente quand même ! Et je te l’ai déjà écrit tout à l’heure.A ces paroles se joigne l’acte, mes cuisses s’ouvrent alors en même temps que mes yeux se ferment ; il passe alors dans mon dos, et voit que ma mouille coule le long de mes cuisses.Il la récupère de ces doigts doux en remontant jusqu’à la source et la concentre sur mon cul ! Non, il n’osera pas viser mon petit trou, rouvrant les yeux pour redécouvrir son membre qui a déjà repris toute sa vigueur.Je sais que mon cul accepterait un gland de 6cm de diamètre, car mon année de soumission à Laurent m’a appris à découvrir puis mettre des plugs anaux au cours du temps, au départ petit, puis de plus en plus grand, jusqu’à devoir en mettre au travail chaque mardi et jeudi, jour du conseil sous mon tailleur strict, et ce pour la journée entière.Le principe était toujours le même, plug de 2cm pour la route, remplacé par un de 3cm à l’arrivé au travail, 4cm à la pose de 10 heure, 5cm à celle de midi puis 6cm à partir de 16h ; vous imaginez la taille de mon sac à main ces jours-là ; le jeudi étant toujours le plus dur, car s’était la journée des courses après le travail, sans autorisation de le retirer. Il était interdit le mardi et jeudi à mon ami de me toucher, mon argument, les journées de conseil sont épuisantes.Deux mains m’écartent les fesses et me ramène à la réalité du moment présent, sentant son gland à l’entrée de mes fesses.-Ce n’est pas bien Monsieur, pas ici, pas comme ça, pas maintenant-Tu sais ce qui n’est pas bien pour Toi, c’est qu’on arrive dans 6minutes à la gare de Strasbourg, et dans 3 environs, on verra les premiers buildings, mais j’ai bien l’intention de te fourrer ma queue bien profond avant l’arrivéL’horreur, non seulement je risque d’être vu, mais en plus je ne peux pas être dilaté aussi vite, cet inconnu veut m’arracher les fesses, qu’est-ce que je pourrai dire à Laurent dans ces conditions.Mes pieds décollent alors du sol un instant, il me force tellement que j’ai cru partir au ciel, je descends en coulissant sur son membre aidé par ma mouille, non, sans préparation, ce n’est pas possible, un instant suivant une douleur aiguë, insupportable m’irradie toute la colonne, il me pince alors les tétons comme pour diluer la douleur, il resta ainsi quelques 20 secondes lorsqu’un message général est diffusé.-En raison de grève, nous sommes dans l’obligation de patienter sur une aire d’attente une dizaine de minutes supplémentaires, désolé pour le désagrément.Appel de la providence ou de mon bourreau, je ne peux dire, mais une chose est certaine à présent, je vais me faire limer le cul dix minutes par un engin énorme, il l’a bien compris, et commence alors les allers retours.Cela doit faire à présent 5 minutes ou il ne prend pas une pause, je sens que mes fesses sont endolories par le traitement, sans compter les fois il me force plus profondément, ce qui a pour effet de me redresser complètement ; mon clitoris doit être gonflé au maximum, mais je ne peux le toucher, toujours attaché au porte bagage, et lui n’en a que faire, mais lorsque je lui demande de me caresser-j’suis pas là pour ton plaisir ma puce, j’ai juste l’intention de casser ton petit cul de soumise.Il termina son acte en moi, sans demander, mais c’est peut être mieux ainsi, me détache et me laisse reprendre mes idées. Il me tend sa carte de visite-En cas de besoinMaitre Mazzars, Avocat du barreau de Strasbourg, je n’aurai pas de mal à m’en souvenir avec deux mots très commun, Maitre et son barreau.
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