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le voyeurisme, une passion

Chapitre 2

Voyeur / Exhibition
Suite :
— Fais-moi jouir, me chuchote-elle alors en regardant droit devant elle, comme si elle écoutait le marié.
Sans faire de manière et de fioriture, je m’exécute et glisse à nouveau ma main sous sa robe. Son string est plus chaud et plus trempé que jamais. J’écarte le tissu et enfonce un doigt dans sa chatte. Cette pénétration lui fait fermer les yeux mais elle arrive à se retenir et à ne pas gémir. Il est clair que c’est une femme d’expérience car son vagin est plutôt large, très accueillant. Sans hésiter et sans difficulté, j’enfonce un deuxième doigt et commence à la doigter. De temps en temps, je les retire et stimule son clito à toute vitesse. Le plaisir est apparemment intense car elle se mord les lèvres pour ne pas crier. Discrètement mais sensiblement, elle écarte les cuisses et se cambre en arrière pour me faciliter la tâche. L’arrière de sa robe est, à présent, remontée sur ses fesses, que je vois enfin en partie, son string écarté sur le côté.
Alors que je la doigte énergiquement depuis quelques dizaines de secondes, je sens soudain ses muscles vaginaux se contracter violemment et ses cuisses se resserrer sur ma main, me la bloquant insérée en elle. Elle a les yeux intensément fermé et fait son maximum pour se retenir de crier. Puis alors que les spasmes se calment autour de mes doigts, elle ré-ouvre les yeux et me regarde avec un air comblé et satisfait. Je retire mes doigts, remets en place son string et réajuste sa robe pour qu’elle soit décente. Le discours du marié se termine peu après et la foule se dirige, à nouveau dans le brouhaha, vers la salle de banquet. Profitant du bruit, je lui dis :
— J’ai envie de vous… — Je m’en doute, me répond-elle, mais pas maintenant… On a toute la soirée, mon joli !— Je ne pourrai pas tenir toute la soirée à coté de vous sans rien faire…— Ça, ça peut s’arranger. Je vais dire à mon mari que je me fume une petite clope avant le repas… Rejoins-moi dehors.
Elle va voir son mari, lui parle une seconde, puis ressort et allume une clope. J’attends quelques instants, et vais la rejoindre dehors. Discrètement nous nous éclipsons derrière la mairie. Elle jette sa cigarette et m’embrasse généreusement comme pour me remercier de l’orgasme.
Je cède alors à l’excitation et la plaque contre le mur du bâtiment. Je lui baisse le haut de sa robe et vois enfin ses superbes seins. Effectivement, pas de soutien-gorge, juste un redresse-seins. Ils sont gros et fermes, avec les tétons qui pointent fièrement. Tout en lui léchant les seins, je lui écarte une jambe et sort mon sexe de mon pantalon.
— NON arrête ! m’ordonne-t-elle. Pas ici, on pourrait nous surprendre. Je t’ai dit qu’on avait le temps d’ici la fin de la soirée… Soit patient !— Mais je vais craquer là ! — Je sais et justement je n’ai pas l’intention que tu jouisses en 5 secondes ! Je t’ai dit que pour ça, je pouvais t’aider…
Elle me place à mon tour contre le mur, et s’accroupit devant moi, à hauteur de mon sexe, toujours sortit de la braguette de mon pantalon.
— Je vais te rendre la pareille… et comme ça tu seras dans de meilleures dispositions tout à l’heure…— Putain j’y crois pas… dis-je en fermant les yeux alors qu’elle prenait mon sexe en bouche.

Je précise qu’à ce moment, il s’agissait de ma première vraie pipe, si l’on exclut les tentatives maladroites et un peu dégoutées de quelques copines que j’avais réussi à convaincre… Mais Caroline semblait vraiment être une experte. Elle avale ma bite jusqu’à la moitié tout en jouant avec sa langue. Elle altère léchage de couilles en me branlant et pompage de gland énergique. Il est clair qu’avec une telle efficacité, je n’allais pas tarder à juter.
— Mmmh je sens que tu n’es pas loin… me dit-elle avec un regard de salope.— Vous voulez que je me retienne ?— Non, c’est parfait, il faut faire vite. Tu me préviens quand tu es sur le point de jouir ? — Ok…
Elle reprend alors sa pipe mais m’avale entièrement, sans trop de difficulté apparemment. Putain, une gorge profonde ! Je ne pensais même pas que les femmes normales pouvaient faire ça, que c’était uniquement réservé aux actrices porno… Elle se retire quand même régulièrement pour reprendre son souffle et à chaque fois retourne gober ma bite presque à fond et faire quelques mouvements de tête. J’avais vraiment l’impression de lui baiser la bouche et la sensation de mon gland dans son gosier était absolument divine. Évidemment, cela me fait monter rapidement et je l’en préviens :
— Ça vient…. je vais jouir…
Je pensais alors qu’elle allait s’enlever et me finir à la main. Mais non, elle sort juste un peu mon sexe de sa gorge mais redouble d’intensité sur mon gland en me pompant plus fort que jamais et me branle de sa main libre le reste de ma queue.
Quelques secondes de ce traitement suffisent à me finir et je me vide alors dans sa bouche. Encore une fois, elle me surprend car je pensais qu’elle recracherait tout. Mais au contraire elle maintient mon gland dans sa bouche alors que je la remplis de sperme. Elle avale une grosse gorgée de foutre chaud, sans même grimacer, et presse mon sexe avec sa main pour faire sortir les dernières goutes qu’elle récupère du bout de sa langue. Elle avale une dernière petite gorgée de salive et sperme mêlés et se relève à ma hauteur.
— Mmmmhh, délicieux ! Tu comprends, je ne voulais pas tacher ma robe ou gâcher mon maquillage avec une grosse éjac’ faciale… — Je comprends bien ! dis-je avec le sourire.
Je comprends surtout que j’ai branché la plus nympho des MILF que j’aurais pu imaginer. Je comprends aussi que ce n’est pas du vent et que ce soir, je vais la baiser à volonté !
— En tout cas, je suis sûr que tu tiendras plus de deux minutes tout à l’heure… Tu as intérêt à me faire prendre mon pied mon cochon…
Et je peux vous garantir qu’elle l’a pris, son pied !
Le repas se déroula sans encombre. J’étais installé assez loin d’elle mais cela ne l’empêchait pas de me lancer des regards de braise à la moindre occasion et au nez et à la barbe de son mari.
A plusieurs reprise, nous avons réussi à nous retrouver brièvement dehors sois lorsqu’elle s’allumait une clope, soit lorsque je sortais pisser. A chaque fois, c’était le même petit jeu : allumage, embrassade rapide, caresses furtives… Rien de bien méchants car il y avait constamment du monde qui allait et venait de la salle de réception. Je réussis toute de même à la doigter quelques instants et à lui prendre sa culotte, découvrant au passage et enfin son magnifique sexe. Une chatte parfaite, de belles lèvres, de courts poils pubiens bien taillés en une fine bande et un clitoris grossit par l’excitation latente.
Du coup, durant le reste de la soirée, je ne perdis aucune occasion pour lui soulever le bas de sa robe et mater sa belle chatte. Aucune occasion non plus pour la doigter dans un couloir de la salle ou la caresser alors qu’elle allait se servir au bar et qu’il y avait du monde un peu partout. A nouveau je bandais comme un fou et à nouveau j’vais plus que jamais envie de la baiser.
Puis, lors d’une série de slow, elle décide de m’inviter à danser, ce qui aux yeux de l’assemblée passait juste pour une petite provocation d’une femme mariée énervée par son mari bourré. Nous avons donc dansé très sensuellement en essayant de ne pas trop attiré l’attention tout de même. Mais mes mains sur ses hanches avaient du mal à ne pas aller sur ses fesses. De même que sa main dans mon dos venait régulièrement tester la dureté de ma bite, bite que je serais contre sa cuisse pour bien lui montrer mon état.
— Il est déjà tard, lui fis-je remarqué.— Je sais… Je pensais qu’on serait plus tranquilles que ça… Je voulais faire ça sur le parking mais il y a toujours du monde…— J’ai vu… Putain mais qu’est-ce que tu m’excite…. — Hum… je sens ça mon chéri…. Moi aussi j’ai envie… Tu sais, je suis tout mouillée !— Ah bon ? Je peux voir ?— Vas-y… mais sois discret.
Jetant un œil autour de nous, j’estime que les couples enlacés qui dansent dans la semi obscurité mise en place par le DJ pour les slows ne nous dérangeront pas, de même que ceux qui ne dansent pas et sont en train de manger ou de boire sans nous regarder. Je glisse donc une main entre les jambes de ma partenaire de danse et passe discrètement sous sa robe. Je caresse son sexe et constate qu’effectivement elle mouille sérieusement. J’aventure un doigt dans sa chatte et la vois fermer les yeux de plaisir. Je fais aller et venir mon doigt dans son sexe trempé tout en danser nonchalamment au milieu de la piste.
— Arrête ! m’ordonne-t-elle. Tu vas me faire jouir… Pas ici…. Oh putain, j’ai envie que tu me baise ! — Moi aussi…. J’ai envie de te prendre là, contre le bar, devant tout le monde. — Attends, j’ai une idée… Il faut que je ramène mon mari à l’hôtel avant qu’il ne vomisse partout… Tu n’as qu’à venir avec moi et on s’arrangera pour faire ça après.— Parfait ! Mes parents sont déjà partis et j’ai dit qu’un copain me ramènerait à l’hôtel… — Alors on y va !
Caroline va donc récupérer sa loque de mari et doit d’ailleurs demander de l’aide pour le transporter jusqu’à la voiture. Puis, une fois que les porteurs sont partis, je me dirige discrètement vers la voiture et monte à l’avant, à coté de Caroline. Son mari était en train de ronflé, allongé sur la banquette arrière. Je me dis qu’avant de sauter la femme, j’allais devoir mettre au lit le mari…
Caroline démarre la voiture et nous emmène vers l’hôtel, situé dans une petite ville à 15min de la salle de réception. Cela ne faisait pas dix secondes que nous roulions, que Caroline me palpait déjà la bite au travers de mon pantalon. Sans hésiter, elle ouvre mon futal et sort mon sexe, plus dure que jamais et, tout en roulant me masturbe tranquillement. Je jette un regard à l’arrière, inquiet que le mari se réveille, mais celui-ci est roulé en boule, le visage enfouis dans le dossier de la banquette.
Je décide alors de participer et glisse ma main entre ses jambes. La masturber est un jeu d’enfant tant sa robe est courte et légère et ayant son string dans ma poche. Elle écarte les jambes pour mieux se faire doigter et ne s’interrompt de me branler que lorsqu’elle doit rétrograder pour prendre un rond-point. Mais mis-à-part ça, la route droite et monotone nous permet de nous branler mutuellement sans risquer de nous foutre au tas… Nous évitons par contre de parler à voix haute car même dans les vapes, son mari pourrait capter des morceaux de phrases compromettants.
Alors que le village de l’hôtel approchait, l’excitation était à son comble dans la voiture et Caroline avait déjà jouit une fois mais mouillait toujours autant. Pour ma part, j’étais dans un état second car depuis des heures, je mourrais de pouvoir la baiser et ce moment tardait décidément à arriver. Apercevant une petite route sur la droite qui rallongeait un peu le trajet, je lui demande de la prendre pour faire durer le plaisir et connaissant bien le coin, je lui demande de ralentir puis, d’un coup, tourne le volant pour nous engager dans un petit chemin forestier. Un coup de frein à main et nous voilà arrêté à l’écart de la route.
Avant même qu’elle ne prononce un mot, je me saisit de ses cheveux et, sans la violenter pour autant, l’incite à me sucer. Elle se conteste d’ailleurs pas le moindre du monde et me suce goulument. Cette pipe est délicieuse mais j’en veux plus.
— Je veux te baiser là, maintenant ! lui dis-je en la redressant et en lui découvrant la poitrine.— Putain j’en peux plus non plus…. Sors et défonce-moi contre la voiture !
A suivre...
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