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La voyeuse

Chapitre 10

Divers
Résumé de la voyeuse 9Un peu plus tard, il la fouillait au bas ventre, se rendait compte qu’elle-même…Il se manualisaient alors, avec une fougue maladroite mais très sensuelle, bien que la peur d’être surpris en cet acte honteux les tenaillait toujours. Parfois un pas dans le couloir les obligeait à se relever, à rajuster leurs vêtements à la hâte. Le danger passé, le jeu reprenait, plus fougueux, jusqu’à ce quelle mouillât abondamment, tandis que Robert jouissait à gros bouillons dans le mouchoir blanc dont elle avait enveloppé sa verge.    La voyeuse 10C’était le bon temps dont elle avait surtout retenu l’aspect débraillé et aussi le fait qu’elle pouvait pour elle seule revivre son émotion sexuelle. Ce fut le temps ou elle commença à se masturber avec ardeur, une ardeur chaque jour renouvelée, différente et aiguisée de son appétit grandissante.Le mariage lui apporta d’autres émotions. Elle sentit le corps étranger en son ventre, frétilla à cette dureté qui la travaillait à grands coups. Mais plus tard elle s’aperçut que son propre plaisir, qu’elle reprit rapidement lui apportait plus de satisfactions érotique, l’apaisait d’avantage et réveillait plus vite le désir suivant. Elle commença de s’aimer…C’est pour cela qu’elle préféra se tourner vers cet Alfred. Elle estimait que cet homme était plus apte à la comprendre. Qui sait ?Quand elle se retrouva chez lui, après un moment d’heureuse surprise qu’il manifesta à sa venue, elle devina avoir raison. Il n’affecta aucune fougue intempestive, s’affaira surtout à la mettre à l’aise en souriant. Il n’était pas beau, mais dans son regard sombre et brillant il y avait quelque chose qui la fit frémir… Qui fit dresser ses seins…Qui mouilla son entre jambes.Assis face à face, ils bavardèrent.-J’ai honte de moi, avoua-t-elle. Votre invitation n’était sans doute qu’une politesse à laquelle je ne devais donner aucune suite. Je ne sais pourquoi… je suis ici… comme quelqu’un qui se livre…-J’en suis très heureux, répliqua Alfred. Je ne m’attendais plus à cette visite si bienvenue. Maintenant que vous êtes là je suis presque certain que vous ne repartirez plus sans avoir éprouvé au moins un bonheur chaud et caressant, grâce à nos réciproques complaisances, à nos aveux dépouillés de toute afféterie… Nous pouvons nous aider beaucoup l’un l’autre…en…toute franchiseD’où elle était assise, Elsa pouvait voir son image dans un grand miroir. La lumière douce d’une lampe, tandis que les rideaux étaient tirés en plein après-midi mettait des reflets mordorés sur ses jambes, sur ses genoux dont elle admirait l’arrondi.-Vous vous plaisez ? fit Alfred en surprenant son regard figé dans le miroir. Admirez-vous…regardez… et surtout pas de retenue… Je devine que nous avons des affinités érotiques très puissantes… Vous arrive-t-il de vous aimer ? De vous caresser ?-Oh oui, murmura Elsa dans un soupir qui gonfla sa poitrine.-Ce n’est pas moi qui vous en blâmerai, poursuivit Alfred. Aimez-vous le plus possible, raffinez l’amour de vous-même…-C’est lui qui m’apporte le plus de satisfaction, dit brusquement Elsa comme si elle se jetait à l’eau. Vous entendez que j’accepte déjà vos conseils pernicieux…j’adore…Je suis folle… cette atmosphère ouatée… ce brusque désir qui m’assaille et me laisse pantelante.Elle s’aperçut qu’Alfred bandait. C’était un gros morceau. Une verge majeure encore cachée… Le regard de l’homme la fouillait au bon endroit et provoquait en elle une brûlure à la fois douce et intense.-…le désir de vous-même ? interrogea Alfred.-Oui… si vous êtes homme à accepter, à partager et à participer…-Depuis que je connais la jouissance, je rêve de ce que vous me proposez. Une femme non vénale qui n’hésiterais pas à …..Ils formaient un tableau très correct, très bourgeois. Elsa avait envie de perdre cette correction, de s’abandonner à sa perversion, de se montrer autre…-Vous m’avez dit que j’étais une voyeuse, dit-elle. Alors, vous d’abord…que je puisse mieux entrer dans le jeu…C’est parce que l’on voit certaines choses que la sensualité s’éveille, devient exigeante et se déploie ensuite jusqu’à l’épanouissement complet.Ils se regardaient dans les yeux. Elsa remarqua que l’homme était loin d’être beau. Mais elle préférait à la beauté le feu interne qu’elle devinait en lui. Ce même feu qui la dévorait sans cesse...et dans les cendres duquel elle renaissait chaque fois.-J’aimerais que vous soyez une elfe afin que je puisse vous admirer, fit-il. Mais aussi je ...Elsa se voyait toujours dans le grand miroir. Ses genoux écartés et son attitude quelque peu impudique lui étaient agréables. Sans réfléchir davantage elle releva sa robe soyeuse d’un seul geste et resta immobile, la bouche grande ouverte, le ventre nu et houleux, l’œil toujours rivé à son reflet. C’était cela l’abîme de luxure dans lequel elle voulait se plonger afin d’effacer tout ce qui lui manqua au cours de sa jeunesse et de son mariage. Son ventre brûlait. Elle releva un genou et son estafilade poilue devint très visible. Elle sourit. Plutôt une grimace dans laquelle l’excitation avait la plus grande part.Qu’attendait-il pour se déboutonner, pour lui montrer ce qu’elle attendait? L’œil aigu, les lèvres pincées, il la surveillait, immobile comme une statue.-Déshabillez-vous, dit-il finalement.-Vous le désirez vraiment ?
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