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La voyeuse

Chapitre 25

Divers
Résumé de l’épisode 24Encore allongée dans son lit qu’Alain venait à peine de quitter, elle se tâtait complaisamment les seins, passait sa main entre les cuisses entrebâillées, jouait avec ses poils ou se poignait la croupe de ses doigts durcis. Quelle volupté, ce corps qui était le sein et qui n’appartenait à personne d’autre !Hier soir, cette même chambre…Elle ferma les yeux, revit la scène. Elle s’était déshabillée devant Alain qui fumait une cigarette, qui épiait ses moindres mouvements.    Épisode 25Il avait eu un sifflement d’admiration quand il l’avait vue, la poitrine découverte et arrogante. Les jambes et la croupe revêtues des pantys transparent qu’elle portait pour la première fois. Son ardeur s’était manifestée aussitôt. Une énorme bosse dans son pantalon. A cet âge un rien fait bander la bitte…en rougissant d’une honte délicieuse elle le lui avait sorti du pantalon et l’avait branlé d’une main perverse et savante.Un peu plus tard il l’avait portée sur le lit. Il était très fort. Elle n’était pas un poids plume…Tandis qu’il jetait ses vêtements, la queue comme un battant de cloche, elle s’était mise sur le dos. De ses mains elle s’était excitée. Pour son plaisir à lui et aussi pour le sien, cela va sans dire. Il aimait la contempler ainsi, quand elle s’amusait, dévergondée et lubrique.Quand il fut nu il lui avait poussé la verge dans la bouche, en lui ordonnant de poursuivre ses jeux de mains vicieux. La queue dure et chaude dans la bouche, elle avait continué en amplifiant les mouvements de ses mains. Parfois la verge lui échappait. Fermement Alain remettait alors le sceptre turgescent en place, son regard lascif lui brûlant la peau…Mais elle voulut mieux. Faisant glisser les pantys, elle avait découvert son ventre et ses poils. Aussitôt sa tête s’était incurvée entre ses cuisses et l’avait sucée d’une langue habile. Comme il le faisait souvent de ses doigts il avait en même temps branlé le trou de son cul, ce qu’elle appréciait particulièrement, surtout quand après il allongeait son clitoris en l’étirant avec force entre ses lèvres.Plus tard encore, il lui avait dit de se mettre à quatre pattes sur le lit, les fesses tournées vers lui, à portée de sa pine agressive. Il avait fouetté sa chair nue à l’aide de son membre et elle avait écouté, les yeux fermés, le bruit que cela faisait. Après ce jeu grivois il s’était glissé en elle, dans sa mouille qui facilitait grandement les choses…Elle aimait être inondée soit de sa salive, soit de son propre jus. Rien n’était aussi agréable. Longtemps, en se retenant pour ne pas jouir trop vite, elle avait oscillé d’avant en arrière, la croupe agile, allant au-devant des coups ardents qu’il lui donnait en pleine rosace. Et le résultat…Il avait brusquement raidi en elle. Malgré son érection, son sexe s’était encore développé. Puis ce fut le premier spasme, une sorte d’agitation qui annonçait la venue du foutre…Elle se souvenait de son râle, de la chaleur brutale qui l’avait envahie, des énormes saccades qui la secouaient, de son jet de mouille qu’elle avait projeté autour de cette queue coincée avec force entre ses cuisses. Ensuite elle s’était affalée sur le ventre tandis qu’il se retirait d’elle en aspergeant ses fesses de multiples gouttes de foutre…Non, elle ne voulait pas perdre cela. Il n’y aurait jamais d’autre verge à la posséder.Elle était la seule à lui faire connaître un tel bonheur. En quoi elle se trompait. C’était son imagination qui lui jouait un mauvais tour. Il lui aurait suffi de réfléchir un seul instant sur elle-même. Quand elle se masturbait, est-ce que quelqu’un intervenait dans la volupté qu’elle éprouvait en de tels moments ? Tout au plus était-ce son imagination qui l’aidait à parfaire le plaisir qu’elle se donnait à elle-même…Frémissante, la chair en feu, elle quitta le lit. En peignoir elle rejoignit Louise qui s’affairait dans la cuisine depuis un bon moment. Chose qui ne s’était produite, elle l’invita à même la table de cuisine, après qu’elle eut préparé un chocolat onctueux comme elle l’aimait certains jours.Dehors tout était gris. Des bruits feutrés venaient de l’extérieur. Une pluie fine et tenace battait contre les vitres. Les pneus des voitures chuintaient sur l’asphalte boueux. Tout annonçait une journée maussade et triste. On eut dit qu’une sorte de brouillard flottait à travers la maison, embuait les vitres et les miroirs et faisait disparaître jusqu’aux couleurs les plus vives. Même leurs voix semblaient étouffées, comme lointaines, lorsqu’elles échangeaient quelque phrase anodine.-Tout est triste quand Alain quitte la maison, dit tout à coup Évelyne. Elle me parait vide…-Oui, répondit Louise, je vous comprends… mais vous y êtes pour beaucoup. Vous êtes tellement préoccupée de votre fils que tout devient noir dès qu’il disparaît ne fut-ce que pour quelques instants… Vous ne voyez même plus ce qui vous entoure… ni le décor… ni moi…-Qu’est-ce que vous voulez dire, Louise ?-Depuis des semaines il me semble avoir disparu dans une trappe… Oui, j’ai cessé d’exister pour vous… Avant nous bavardions parfois… à présent ce ne sont plus que des phrases concernant des choses tout à fait matérielles…-Mais je ne comprends absolument pas ce que vous voulez dire, Louise… Qu’ai-je donc fait de mal… ?-Vous n’avez rien fait de mal… Vous ne faites jamais rien de mal…mais cette indifférence…Seulement, auparavant vous me prêtiez un peu d’attention. Parfois je voyais vos regards qui s’attardaient sur moi. Nous étions pour ainsi dire ensemble. Je n’étais pas tellement une domestique.-Pour moi vous n’avez jamais été une domestique… Disons une dame de compagnie…-J’aurais voulu devenir une amie pour vous… Une amie très dévouée… Quand vous m’avez engagé j’ai espéré un tas de choses…entre vous et moi, mais rien ne s’est produit… Peut-être m’y suis-je mal prise, c’est possible…Dès les premiers jours j’ai vu en vous la femme seule qui avait besoin d’affection, et même d’amour, toutes choses que votre fils ne pouvait vous donner et que j’étais prête à vous …Mais à quoi bon ? Ce temps est passé…Nous sommes séparées. Aucune intimité n’est née entre nous.-Mais que voulez-vous dire, Louise ? Je n’y suis pas du tout…-Quand je vous ai vue la première fois j’ai été enchantée. Vous étiez si appétissante, si belle même…J’aime qu’une femme soit belle…J’ai cru que je pourrais agir avec vous comme le ferait un homme. C’est à-dire vous faire la cour, vous dire des choses aimables et aussi vous embrasser…Évelyne but à sa tasse de chocolat, cacha ses yeux. Elle se sentait rougir intensément, en devinant le désir qui agitait Louise. C’était tellement inattendu et surprenant. Louise n’avait rien d’une de ces femmes hommasses qui poursuivent les femmes de leurs désirs lascifs.-Voyez-vous ça… Et qui vous dit que j’aurais toléré cette chose ?-Je n’en sais rien. C’était un risque à courir. Mais je n’ai pas insisté parce que cette froideur est née… elle me semblait insurmontable… et maintenant encore d’avantage…C’est fichu…et je ne connais plus de chemins avec mes ardeurs…et tout le temps je pense à ce qui aurait pu être… entre vous et moi… mais jamais je n’ai pu vous donner un baiser ni vous aider à votre habillage… J’ai raison, je ne suis qu’une servante dans cette maison…
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