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La voyeuse

Chapitre 33

Divers
RÉSUMÉ DE LA VOYEUSE 32— Tu aussi, fis l’homme. La seule femme nue que j’ai connue jusqu’à présent, c’est toi…Tu seras toujours la plus belle, la plus désirable. Les autres femmes ne m’excitent pas…regarde…Il se satisfaisait l’un devant l’autre, sans étouffer leurs soupirs voluptueux. Je ne voyais plus qu’une main et une verge, une vulve et des doigts. J’étais en train de me prendre, la main au ventre.-Je vais jouir, Thérèse, dit l’homme. Cette fois je ne puis plus…me retenir…    ÉPISODE 33La femme s’étala davantage sur le lit. L’eau clapotait autour de leurs pieds. Ils avaient la même expression bestiale. Sans doute avais-je la même expression car je me manualisais à outrance.-Viens, fit la femme. Vient…L’homme sortit du bassin, se servit de la même serviette pour se sécher. Il éloigna l’ustensile, s’assit à côté de sa sœur. Serrés l’un contre l’autre, ils regardèrent leurs reflets dans le miroir.-Nous sommes beaux, dix la femme avec exaltation. Quelle queue !... Et moi… mes seins… mon ventre… j’aimerais maintenant voir gicler ton sperme … Prends-toi dans la main… je me… Viens, ensemble… jouis…jusqu’au bout cette fois-ci…L’homme s’acharnait, se frottait. Le visage caché dans le cou de son amant, la femme faisait de même, avec autant de vigueur. D’énormes secousses les agitèrent finalement. De la verge décalottée giclèrent de longs traits de foutre. Les doigts agiles, savourant sa volupté, la femme tendit le ventre et se laissa arroser. Elle grognait comme une truie, ouvrait et refermait son estafilade rouge et tuméfiée, étalait le sperme sur sa peau, portait ses doigts glaireux à sa bouche… Puis elle se pencha, aspira de ses lèvres les dernières gouttes qui devenaient transparentes. Je déchargeai aussi avec la même violence et tombai sur mon lit. Je m’assoupis ensuite. Beaucoup plus tard j’entendis leurs voix à travers la cloison. Je jetai un nouveau coup d’œil. Ils étaient assis à la table. La femme avait mis sa blouse mais était nue pour le reste. L’homme avait un slip noir d’où sortait sa verge, longue colonne couronnée d’un champignon lubrique.Ils n’en avaient pas fini. Mais je ne pus les suivre plus longtemps. Je redoutais le retour de ma mère…et repris mes esprits, bien décidée à me donner encore du plaisir dès que je serais à nouveau isolée, à encore surveiller mon voisin, dont le vice n’avait d’ailleurs plus rien de répugnant pour moi…Un jour il reçut un colis qu’il ouvrit sur la table, pendant que je le surveillais. Sans doute cet envoi provenait-il de sa sœur. Je pus remarquer qu’il eut une érection dès que le papier gris fut déplié. Il y avait de quoi s’étonner. Le paquet contenait plusieurs culottes de femme. Elles étaient brodées, ainsi que les mouchoirs qui les accompagnaient. Il me sembla que ni les bas noir, ni les culottes et les mouchoirs étaient neufs.Ils avaient été employés sans aucun doute. Presque aussitôt, avec fébrilité, l’homme se déshabilla. Il mit les bas, la petite ceinture qui devait les maintenir, et se vêtit d’une des culottes. Placé comme il était je voyais l’énorme chose cachée dans le linge intime de la femme…Pas pour longtemps…Dans le paquet il y avait une lettre. Il la lut en la tenant de la main gauche. De sa main libre il flattait sa virilité éveillée et de temps en temps il regardait son geste dans le miroir. Lorsqu’il eut terminé sa lecture il posa la lettre sur le lit, à côté de lui. En quelques minutes il obtint une éjaculation abondante qui déborda amplement du mouchoir…Sans doute étais-je prédisposée. Je me troublais et m’excitais aux actes obscènes dont mon voisin se faisait un régal. J’aurais même voulu qu’il sache combien il me transformait lorsque je pouvais l’espionner. Volontiers j’aurais repris le rôle de sa sœur. J’aurais voulu montrer, moi aussi, comment je m’adonnais avec ferveur à l’onanisme. Mais un jour il déménagea et je ne le revis plus jamais. A mon grand regret.-Il me semble que je deviens comme vous, dit Évelyne lorsque Louise se tut. Jadis je me serais révoltée mais aujourd’hui…-Je crois que cette évolution s’est produite bien avant que je vous fasse ce récit, opina Louise.-Que voulez-vous dire ? fit Évelyne sursautant.-Mais…rien d’autre que…que vous avez des péchés sur votre conscience. Et non des moindres… C’est d’ailleurs un détail qui m’enchante. Mais je préférerais participer, être votre complice en toute circonstances…-Taisez-vous, Louise, j’ai des remords…-Des remords ? Et de quoi donc ? Parce-que vous avez fait quelque chose de mal qui sans doute vous a fait du bien ? Il n’y a pas de quoi s’en faire. Je suis de celles qui estiment que tout est permis à condition de ne pas troubler l’ordre public…Dans cette maison, lorsque les portes sont fermées, tout est permis.-Ce n’est pas tout à fait cela, Louise, dis Évelyne. J’ai des remords parce que je n’ai pas eu assez confiance en vous et que j’ai caché certaines choses de ma vie…-Comme nous vivons ensemble depuis un bon bout de temps je ne vois pas très bien ce que vous avez pu me cachet…-Le plus difficile est de l’avouer, même à vous qui êtes si libre en actes et en paroles…-Dites toujours, je sais probablement ce que c’est …Alain, n’est-ce pas ?-Oh vous savez ? Comment peut-il se faire ? J’ai pris tant de précautions…le silence des chambres…j’ai graissé les serrures et les charnières de toutes les portes…-Que je sache n’a pas d’importance… sauf que j’aurais voulu assister à vos agapes charnelles, dit encore Louise. Savoir que la débauche existait dans cette maison et en être exclue…c’était un peu dur…-Mais comment faire, Louise ? Pour ma part je ne vois pas comment je pourrais vous imposer à Alain…de go, sans crier gare…
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