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De voyeuse réservée à exhibitionniste nymphomane

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
Mon histoire a commencé il y a un peu plus de deux ans, mon copain de l’époque venait de me larguer et le moral n’était pas vraiment au top.Après le boulot, je rentrais chez moi pour squatter le canapé devant la télé ou passer des heures au balcon À fumer et mater la vie des gens de la tour d’en face.Au bout d’un mois, je connaissais toutes les petites habitudes des résidents d’une dizaine d’appartements.
J’en trouvais certains, assez émouvants, comme ce couple de personnes âgées qui s’embrassaient souvent et se tenaient la main en regardant la télé.Il y avait aussi plusieurs couples, dont certains respiraient le bonheur et d’autres qui ne passaient pas deux jours sans s’engueuler.
Je les regardais tous, pendant de longues heures, c’était devenu un rituel pour moi, jusque parfois tard dans la nuit, j’avais l’impression, parfois, de vivre leur vie par procuration.Et un soir, alors que j’allais filer au lit, je vis un homme que je n’avais encore jamais vu auparavant, en train de faire l’amour dans son salon, avec toutes les lumières allumées.Il ne devait pas être loin de deux heures du matin et il était difficile de les manquer, car presque tous les autres appartements étaient plongés dans la nuit.
Bien-sûr, au vu de la distance qui nous séparait, on comprenait facilement ce qu’ils faisaient, mais on devinait autant que l’on voyait.J’ai trouvé cela plutôt excitant, voire amusant, je me suis même un peu caressée en les regardant.Cet appartement avait piqué ma curiosité car dans la journée, il était soit vide, soit occupé par un homme seul.Mais à plusieurs reprises, tard le soir, j’ai eu l’occasion de le voir plusieurs fois faire l’amour, mais apparemment, pas toujours avec la même femme.Cette situation avait eu le mérite de réveiller ma libido, passablement endormie ces dernières semaines.
Je commençais, alors, à oublier, de plus en plus souvent, de fermer les volets ou de tirer les rideaux, afin de permettre aux autres, de partager un peu aussi mon intimitéEt au fil des jours, je ne les fermais même plus du tout, autorisant ainsi quiconque à tout voir chez moi.
Je continuais aussi à regarder chez les autres, mais avec, pour différence, que je ne me cachais plus derrière les rideaux ou en éteignant la lumière, j’assumais totalement mon côté voyeuse.
J’ai même investi dans l’achat d’une longue vue pour mieux observer les ébats sexuels de mon voisin d’en face.J’ai ainsi pu mettre un visage sur cet homme, qui n’était autre qu’un des chauffeurs de bus de la ligne qui m’emmène au travail.Cela m’a fait un choc au début, baissant même les yeux quand je le croisais, mais au fil du temps, cela me passa.
Il était devenu mon sujet d’étude favori et au moins trois fois par semaine, j’attendais son entrée, tard le soir, seul ou accompagné.
Ma première impression était bonne, il était rarement avec la même femme.Il avait plutôt une belle gueule et globalement, il était aussi pas mal foutu, la trentaine.Il avait pourtant, quelque chose qui me repoussait, il avait des poils partout et c’était quelque chose de dégoûtant pour moi.Mais, peu à peu, à force de l’espionner, y compris et surtout quand il faisait l’amour, ce mec plein de poils, commençait à m’exciter de plus en plus et dans mes rêves érotiques, je m’imaginais, de plus en plus souvent, prise par ce grand singe.
Puis un jour, vint la grosse surprise, je reçus un coup de téléphone qui me disait que :
« J’étais trop bonne à être matée par lui et ses copains ! ».
Il devait être 11 heures du soir et je me suis précipitée sur les volets, avant d’aller me cacher sous mes draps.J’étais morte de trouille et de honte.Pendant quinze jours, j’étais devenue une véritable parano, me méfiant de tout et de tout le monde.Je me sentais espionnée partout, alors que ce n’était certainement que mon imagination, mais bizarrement, au bout de quelques jours, je n’espérais plus qu’une chose, c’était que ce soit la réalité !
Et finalement, au bout de cette période, je me suis remise à laisser les volets ouverts, mais avec, pour grande différence, que je me baladais de plus en plus dénudée.Cela a commencé par slip et teeshirt, pour continuer par les seins à l’air et j’ai même fini par sortir de la douche, plusieurs fois, toute nue !Moi qui, quelques mois plus tôt, hésitais à porter un deux-pièces à la piscine, je me baladais chez moi, quasiment nue, en sachant pertinemment que des étrangers étaient en train ou pouvaient me voir.
Et une fois encore, le téléphone sonna tard le soir et une voix me dit :
« C’est gentil d’avoir rouvert les volets, je ne voulais pas te faire peur ! ».
Et il a simplement raccroché. Je ne savais toujours pas qui m’observait ainsi, mais je trouvais cela de plus en plus excitant.Au début je me suis contentée de me balader toute nue chez moi, mais relativement tard, le soir.Mais peu à peu, j’ai commencé, furtivement, à me caresser dans le canapé, pour finir carrément par me masturber 4 à 5 fois par jour, en espérant que le téléphone allait sonner. Il aura fallu près d’un mois avant que cela ne se produise, mais ce fut fantastique pour moi !
On est passés, alors, à des séances de masturbation téléphoniques où je ne comprenais toujours pas comment il pouvait voir autant de détails, mais qui me soutiraient des orgasmes inconnus pour moi jusqu’alors.Je faisais des trucs que j’aurais qualifiés d’obscènes quelques mois plus tôt.Je m’amusais, par exemple, à simuler une fellation avec un goulot de bouteille ou avec mes doigts après m’être caressée, ou parfois même, me mettre un doigt dans le cul, alors que la sodomie était pour moi, quelque chose de sacrilège.Et finalement, ce qui devait arriver arriva, je lui ai fixé rendez vous chez moi, je n’en pouvais plus et cela faisait près de six mois que je n’avais pas eu un mec dans mon lit.
On s’est donné rendez vous en fin d’après-midi dans un bistrot du centre ville, mais il m’a annoncé qu’il resterait un petit moment à m’observer, avant de venir vers moi.Résultat, pendant plus d’une heure, je me suis imaginée tous les type d’homme qu’il pouvait être, allant du barbu bedonnant, en passant par le cadre en cravate ou un espèce de skinhead tout tatoué.Finalement, ce fut un jeune homme plutôt charmant, d’une petite trentaine d’années qui s’est avancé vers moi, en me présentant une rose blanche.
C’est le genre de mec que je n’aurais même pas tenté de draguer en boîte, tellement j’étais timide et lui craquant.Finalement, le feeling s’est tellement bien passé que j’en ai presque oublié comment nous avions fait connaissance et d’ailleurs, le sujet n’a même pas été évoqué ce soir-là !On était comme deux amoureux normaux qui flirtaient un peu, mais sans plus.
J’ai, d’ailleurs, été un peu déçue, quand il n’a pas souhaité monter jusque chez moi, pensant ne pas avoir été à la hauteur de ses attentes.Mais, voyant rapidement ma stupéfaction, il me rassura en me disant que maintenant que j’avais pu mettre un visage sur mon voyeur et que je saurais encore plus l’exciter.Sa remarque me toucha et, avant de me quitter, il me remit un petit cadeau qu’il me demanda d’ouvrir chez moi, quand il m’aurait rappelée !
Il m’a donc appelée le soir même et je pus, ainsi, découvrir le joli vibromasseur doré qu’il m’avait offert, avec un petit mot :
« Je voudrais juste savoir lequel de nous deux va-t-il rendre l’autre, le plus dingue, toi à t’en servir ou moi, à te regarder faire !Signé : Nicolas »
Je n’avais encore jamais utilisé ce genre d’ustensile, alors pour le tester, je me suis enfermée dans la salle de bain et j’ai commencé.Après quelques minutes de tâtonnement, la pointe de l’engin prit contact avec mon bouton d’amour qui mit moins de dix seconde à doubler de volume et à me lancer des décharges dans le ventre.J’ai eu trois orgasmes successifs en un quart d’heure et je me demande encore pourquoi j’ai attendu d’avoir 26 ans pour essayer ce type d’appareil !
Je suis revenue m’installer dans le canapé et je posai l’engin sur la table basse. J’ai hésité un peu avant de me déshabiller, mais le désir était trop fort.Pour la première fois, j’étais totalement nue, clairement, en train de me caresser les cuisses grandes ouvertes et j’allais me donner en spectacle.
J’ai commencé à me caresser avec les doigts, fermant les yeux pour me concentrer sur mon plaisir, quand le téléphone a sonné.C’était Nicolas qui me prévenait qu’il était en train de me regarder et qu’il attendait que je me serve du jouet magique, mais je n’ai pas osé et je lui ai demandé de passer pour qu’il vienne voir ça de plus près.
Une demi-heure plus tard, il sonnait chez moi, et c’est, toute nue, que je lui ai ouvert.Je l’ai emmené directement dans ma chambre et là, avec une totale impudeur, je me suis masturbée avec le vibromasseur.J’ai décollé une première fois, illico, mais loin d’être rassasiée, j’ai continué, encore et encore !
Ce n’est qu’au bout du troisième orgasme que j’ai ouvert les yeux pour le voir, le sexe à la main, en train de s’astiquer, à vingt centimètres de mon visage.Il n’a pas tardé à éjaculer sur ma figure et dans mes cheveux.J’ai regardé son sexe qui commençait à perdre de la vigueur, il n’était pas très long, mais bien large et légèrement tordu.
Malgré le sperme qu’il avait encore sur le gland, j’avais une folle envie de le sucer et lui accepta à la condition que j’ouvre complètement le volet de la chambre.Ce fut fait en quelques secondes et je me retrouvai à quatre pattes sur le lit, avec sa bite au fond de ma bouche et les fesses, face à la fenêtre.Il m’encourageait en me disant qu’il y avait, peut-être, plein de mecs qui se rinçaient l’œil et ça m’excitait tellement qu’il n’a pas réussi à résister plus de cinq minutes au traitement buccal que je lui faisais subir.
Il s’est raidi et m’a arrosé les amygdales d’une bonne dose de crème bien tiède.Je n’avais encore jamais avalé de sperme de ma vie, mais là, sans le moindre dégoût, j’ai tout englouti jusqu’à la dernière goutte.J’avais encore envie de jouir et je me suis enfoncée le vibro dans ma chatte toute trempée pour, de nouveau, prendre mon pied.Jamais je ne m’étais encore comportée de la sorte avec un homme dans mon lit, j’étais passée, en exagérant un peu de la position du missionnaire dans le noir à une exhibition lubrique avec un mec, sous le regard potentiel d’une dizaine d’autres.Et au plaisir que j’en retirais, je ne comprenais pas pourquoi je ne l’avais pas fait avant. Il n’a pas voulu rester pour finir la nuit avec moi et il a sûrement dû avoir raison, car je me suis endormie, peu après, comme une masse.
Ce fut pour moi le début d’une autre vie.J’avais fait voler, en l’espace de quelques semaines, la quasi-totalité de mes complexes.Ma garde robe a, d’ailleurs, pris un sacré coup de neuf, ma carte bleue en pleure encore.
C’est allé d’une nouvelle gamme de sous-vêtements à des petits ensembles plutôt coquins, en passant par plusieurs paires de petites chaussures à talons, sans oublier, ce qui vous fera peut-être rire, mais par un maillot de bain, deux pièces.
Moi qui vais trois fois par semaine à la piscine, j’ai enfin osé montrer mes formes et à certains regards que j’ai pu croiser, elles n’ont pas laissé tout le monde indifférent.J’étais passée de la jeune fille timide qui rêvait d’être invisible aux yeux des autres, à une véritable allumeuse.
Et le pire dans tous ça, c’était que je me masturbais au moins dix fois par jour et plus seulement chez moi, mais dans le vestiaire de la piscine ou dans les toilettes du bureau quand ce n’était pas carrément dans la voiture.Fini le complexe de la masturbation dans le canapé, j’ai même demandé à Nicolas pour être sûre que l’on me voie, d’inviter ses copains, chez lui pour qu’ils profitent du spectacle.Et plus ils sont nombreux à me regarder, plus je prends mon pied.
Le désagrément, si on peut appeler cela comme ça, c’est qu’il m’arrive d’avoir trois ou quatre mecs dans mon lit en même temps et je ne suis pas sûre que ça va s’arrêter là !J’ai des fantasmes de plus en plus délirants et il m’arrive régulièrement d’être en situation de manque.Je pense pourtant avoir déjà atteint une sexualité hors norme, mais cela ne me suffit plus.Aujourd’hui, je fais l’amour pratiquement tous les deux jours, ce qui serait normal si ce n’était pas, parfois, plusieurs fois dans la même journée et régulièrement avec plusieurs hommes en même temps.
Cela n’a pas encore eu de répercutions sur mon travail, ni ma vie familiale, mais qui sait où cela va s’arrêter.J’en suis arrivée à rêver de rentrer à poil dans une pièce pleine de mecs inconnus et le pire, c’est que je pense très sérieusement à le faire !
Je vais mettre mon récit sur un site d’histoires, pour être sûre que plein de mecs vont se masturber en pensant à moi. Et ça m’excite déjà de le penser
Nanette.
moinaninette@gmail.com
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