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La vraie vie de notre famille

Chapitre 3

Inceste
Depuis le départ de notre grand’ mère, je continue mes délicieuses et charnelles relations incestueuses avec ma sour Sophie. Elle est de plus en plus amoureuse de moi, avide de jouissance et gourmande de relations sexuelles plus complètes. Nos caresses ne lui suffisent plus et elle continue à me provoquer. Hésitant toujours à la sauter, je lui suggère de reprendre ses relations avec Serge. Elle refuse énergiquement. : Rien à foutre de Serge. D’abord il ne baise pas très bien. Avec lui, les coups de queue ne durent jamais bien longtemps. En plus il faut toujours que sa salope de frangine soit à coté de nous à me tripoter pendant que son frangin me fourre. Des fois, elle nous roule des pelles pendant qu’on baise. C’est quand même un monde, mais dès qu’il a fini de me niquer elle vient nous emmerder pour qu’il lui mette un coup à elle aussi. : Baise moi, maintenant, ordonne-t-elle. C’est mon tour. Pas toujours à elle, non. Et en plus, ils veulent à tout prix que je participe et que je m’occupe d’eux pour les faire mieux jouir. Ils m’emmerde.    Devant son refus, je lui offre de la brancher sur deux copains à qui elle plait beaucoup, surtout depuis que Serge leur a raconté tous les détails de son dépucelage. Vu la manière dont ils me parlent, je suis persuadé qu’il leur a aussi parlé de nos rapports incestueux. Ils sont sympas et beaux gosses, et m’ont dit carrément qu’ils ont très envie de tringler ma sour. : Si tu nous arrange le coup, m’ont ils dit, nous te laisserons nous mater et tu pourras la tringler toi aussi. Cela ne l’intéresse pas non plus. Elle se juge capable de se trouver des mecs toute seule. Ce qu’elle désire essentiellement c’est que je la pine et uniquement moi.     La présence complice de notre très garce mémé Josée nous manque beaucoup. Plus encore, les mots orduriers dont elle se régalait et nous régalait, lorsque, après s’être fait sucer, branler et engoder longuement, elle se laissait enfin glisser dans ses plaisirs fous. Je me rends compte maintenant que toutes ses paroles cochonnes, autant que ses caresses, léchages, et introductions diverses, n’avaient d’autre but que de nous plonger, ma sour et moi, dans un état de folle surexcitation sexuelle pour nous amener plus vite à la jouissance.    Mais le temps a passé ; nous avons fait nos études chacun de notre coté. Nous nous retrouvions bien aux vacances scolaires pour quelques délicieuses et incestueuses caresses buccales et manuelles, mais le charme était en parti rompu, nous n’étions plus aussi étroitement dépendants l’un de l’autre.    Bien entendu nous avions chacun flirtés.. Sophie m’a raconté, avec force détails scabreux, nombres de partouzes étudiantes ou elle s’est fait prendre et reprendre furieusement par toutes les bites disponibles. Au cour d’une de ces orgies, elle m’a avouée s’être fait enculer par sept mecs différents. : Et tous m’ont balancé la purée au fond de boyaux, disait’ elle avec fierté. Il y en avait tellement que j’en ai eu la diarrhée tout le lendemain matin. Comme elle adore ça, très souvent Sophie termine couverte du foutre de la plupart des mecs présents. Les garçons baisent leur gonzesse du soir, et au moment de foutre, ils viennent vivement se vider les couilles sur son visage ou sur ses nichons. Elle avoue que même dans ces moments d’intense jouissance elle pensait à moi, lui volant sa virginité. A la fin d’une de ces orgies, totalement ivre du foutre reçu et engorgé, elle a même avouée à ses copines, elles aussi longuement partouzées par tous les trous .: j’aurais préféré que ce soit la pine de mon frère Marc, qui me jute dessus, plutôt que celles de tous ces idiots !.Imaginez la stupéfaction des copines. C’est réellement une SALOPE, ma petite sour.    Maintenant, je suis ingénieur dans une succursale d’une grosse boite d’informatique, à Avignon et Sophie agent immobilier à Carcassonne. Nous avons soigneusement rangés, en stand-by, dans un coin de nos mémoires, nos, d’autant plus délicieux car incestueux, rapports amoureux.    Pour nos vacances, ma sour et moi avons projeté de nous retrouver dans la propriété de mes parents, prés de Toulouse. A 59 ans pour papa et 56 pour maman ils ont vendus leurs parts dans l’étude notariale de papa et dans le cabinet d’avocats de maman et vivent très confortablement. Ils souhaitent, maintenant, voyager un peu en profitant de la vie.     Ma cadette et moi sommes espérons que de ces 15 jours à la campagne nous feront le plus grand bien. Ma sour, 30 ans, 1m69, arbore de longs cheveux auburn légèrement bouclés, le front dégagé sous une frange. Sa poitrine est haute, ronde, 95c, avec des bouts aigus souvent bien visibles sous des hauts qu’elle aime assez décolletés. Son ventre est plat, la taille bien marquée avec des hanches voluptueuses. Son visage est fin, avec un petit nez mutin, légèrement relevé. Ses belles lèvres bien ourlées attirent les baisers. Ses hautes pommettes rondes lui donnent un petit air slave. Divorcée depuis 2 ans elle vit seule actuellement. Pour ma part, à 32 ans, je ne me suis pas encore casé. Nous avons bien quelqu’un dans nos vies, mais rien de très passionnant.    Nous arrivons le vendredi en fin de journée, mes parents nous accueillent avec beaucoup de joie. Ils sont très beaux tous les deux, ne font pas du tout leur âge. Papa, un grand homme sportif, 1m80, visage plat et buriné, cheveux grisonnants n’as pas un pouce de graisse. Maman, elle est une superbe femelle brune, d’1m70, à l’opulente poitrine, 100c, apparemment très ferme, au vu de ce qu’elle aime nous en exposer. Son petit ventre, délicatement arrondi, surmonte deux superbes jambes halées et des hanches aguichantes. Son visage méditerranéen, aux maxillaires énergiques et à la large bouche charnue dégage beaucoup de charme. La piscine, la voile et la marche les tiennent en bonne forme. Nous ne nous sommes pas vu depuis prés de trois mois et nous passons nos retrouvailles à nous raconter. Le plaisir d’être réunis nous rend un peu euphoriques.    Après l’apéro maman nous a mijoté un excellent repas, bien arrosé, et nous prenons le café sur la terrasse. Papa m’emmène au garage me montrer sa nouvelle voiture. Au retour d’un petit tour dans le parc, je surprends papa arrêté à l’angle du patio. J’ai la fugitive impression qu’il se touche la bite, à travers le pantalon. Je le rejoins, il est en train de mater maman et Sophie. C’est vrai, demi-allongées sur leurs fauteuils de jardin, jupes légèrement troussées, elles exposent bien leurs cuisses. Nous distinguons nettement le bombé de leurs fentes serrées dans l’étroit tissus de leurs mini slips. En nous rapprochant papa me dit. : elles me font bander, ces deux petites pétasses, pas toi, mon grand. Je n’ai pas le temps de répondre que maman questionne. : c’est quoi ces messes basses ? Sans se démonter papa lui dit que vues d’ici, avec leurs robes retroussées très haut, nous les trouvons érotiques au possible, extrêmement impudiques et passablement excitantes... : Exposées comme cela nous pourrions vous prendre pour deux petites salopes délurées.    Grand silence, puis éclat de rire des deux femmes. : C’est bien, au moins vous êtes directs, dit maman. Mais, sachez messieurs, que c’est volontairement que nous nous sommes affichées. Alors, bien franchement, cela vous fait quel effet de mater les corps de votre sour, votre fille, votre femme et votre mère tout en même temps. Hein, expliquez-nous un peu, mes sales petits voyeurs ?    : Pour dire les choses crûment vous nous faites bien triquer, répond mon père, d’ailleurs vous devez vous en rendre compte rien qu’en lorgnant nos braguettes.     Je n’en reviens pas, en compagnie de mes parents et de ma sour, je suis en train d’exhiber indécemment une gaule d’enfer pendant que nous flirtons et parlons de cul, (ou plutôt de bite). Nous continuant à mater, sans aucune gène ni pudeur, leurs deux moules renflées dont les fentes sont nettement apparente.     Ne soit pas étonné, me dit Sophie, s’il est aussi naturel de discuter de sexe avec nos parents. Ils sont depuis bien longtemps---comme nous le savions déjà---au courant des relations incestueuses que nous entretenions il y a quelques années. Eux ont tout fait pour que nous les regardions en train de faire l’amour. Tout comme nous, ils attendaient un geste ou une situation qui nous permettent d’encore plus nous rapprocher. Ils ne nous ont jamais embêtés car, vu leur façon de s’exhiber, ils ne se sentaient pas le droit de contrarier nos rapports. Finalement, nous avons tous étés stupides. Je demande alors à ma mère : comment avez-vous étés surs, pour Sophie et moi ?     Nous nous étions aperçu bien vite que vous étiez très proches, ta sour et toi. Comme nous sommes aussi un peu voyeurs et gentiment exhibitionnistes, nous vous avons épiés discrètement. En même temps nous baisions en nous cachant au minimum pour vous exciter et vous donner envie de nous rejoindre. Mais ça ne s’est pas produit.     La contraception de Sophie étant parfaite pour écarter les risques de grossesse inopportune, nous avons considéré que vous pouviez baiser tranquilles. Nos propres expériences familiales nous poussaient même à faciliter vos rapports incestueux. Car, à épier vos habitudes, il semblait évident que tu sautais souvent ta sour et nous aurions aimé vous voir et acceptés volontiers de participer. Surtout que c’était cette dévergondée de mémé Josée qui s’occupait de vous initier. Ça promettait.    Nous vous devons tout de même de très mémorables séances de cul, mes chéris, car la vue de nos deux beaux enfants chéris en train de se juter dessus et de se lécher comme des bêtes, nous conduisait vite au paroxysme du plaisir.    Mais c’est Sophie elle même qui nous a tout raconté en détail, après notre première séance de baise, répond maman. Elle nous avoué aussi que vous parliez souvent de nous avec votre grand’ mère en la ramonant à grand coups de gode ou en lui bouffant le con. Je savais déjà que ma mère était portée sur le cul, l’ayant surprise à nous mater plusieurs fois lorsque nous faisions l’amour au bord de la piscine. Nous voulions lui demander de se joindre à nous. A maintes reprises j’ai follement joui à l’idée de bouffer la cramouille de ma mère et de la faire niquer par son gendre. Malheureusement des préjugés dépassés nous ont retenus. C’est malheureusement trop tard, jamais plus je ne pourrais faire la gousse avec ma chiennasse de maman. Je le regrette bien, vous savez mes chéris.    Aussi je pense que tu comprends bien, mon Marc, que je ne veux pas que cela arrive aussi avec Sophie et toi. C’est pourquoi nous avons décidé, après en avoir longuement réfléchi et discuté, d’essayer de vous provoquer dés que nous en aurions l’occasion. Je dois vous avouer, mes chéris, que ces discutions st ces préparatifs nous mettaient dans des états pas possibles et qu’ensuite nous baisions comme de vrais affamés de sexe. D’un commun accord, nous avons décidé d’attendre que vous ayez déjà fait vos propres expériences. Nous vous pourrions voir plus tard, si toutefois cela vous tentais..Et alors..qui peut savoir.    Je ne réalise pas encore ; bien sur, comme je l’ai déjà raconté, je me suis souvent masturbé en écoutant ou en regardant mes parents baiser. J’ai aussi imaginé et vu toutes les saloperies qu’ils pouvaient se faire. Souvent je m’excitais sur le corps écartelé et transpercé de ma mère lorsque, depuis le couloir, je la matais nue sur son lit---- ou, lorsque de plus prés, j’arrivais à apercevoir un bout de sein, de fesse ou de cuisse maternel au détour d’un vêtement mal fermé ou lorsqu’elle se baissait.     Mais maintenant, quand le désir totalement fou et si longtemps contenu de pouvoir faire l’amour avec mes parents est en passe de se réaliser.....Waouh    Ma sour s’approche, et me dis. : Je ne rêve que de reprendre nos jeux érotiques et défendus. Je désire profondément qu’enfin tu me fasses l’amour. Ce sera un comme un dépucelage rêvé. J’y pensais toujours lorsque mon mari ou mes autres amants me sautaient. Alors si en plus nos parents chéris s’associent à nous, ce sera assurément fantastique. Je sais que tu fantasmes là dessus depuis aussi longtemps que moi, mon Marc adoré. Alors accepte, mon frère chéri, joins toi à nous.    : Et puis, s’exclame papa, il faut aussi penser que le temps passe de plus en plus vite pour votre mère et moi. Nous commencions à désespérer de parvenir un jour à entraîner nos deux beaux enfants dans nos incestueux délires érotiques. Ce sera vraiment merveilleux, mes chéris d’amour. Ma Dany n’arrête pas de délirer sur le sexe de son Marc chéri, déchargeant son foutre dans le con maternel.     : Vous ne la connaissez pas sous ce jour, mais votre mère est une véritable dévoreuse de santé, une pompeuse de bite de première et se conduit en grosse poufiasse dés que je lui présente ma queue. Pour ma part, notre Sophie, qui a déjà largement profité des incursions de ma bite, pourra t’en parler. N’est ce pas, ma puce ?    Sophie rit en acquiesçant, me prend la main et m’entraîne dans le salon. Assied toi, mon chéri, et laisse toi faire comme avant ! Je me vois revenu des années en arrière. Ma sour m’embrasse amoureusement, sa langue cherche la mienne. Elle me roule un patin très sensuel, me goutte, jusqu’aux amygdales. Nous retrouvons avec délice l’odeur de nos bouches et le goût de nos abondantes salives. Je me laisse aller et ma pine raide et dure se trouve vite comprimée et mal à l’aise dans mon pantalon. Je reprends mon souffle et tout excité lui demande : comment as-tu enfin réussi, après toutes ces années de fantasmes stériles, à baiser avec nos parents ? Je vais t’expliquer, me dit Sophie............à suivre
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