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Warda et Julie, salopes du lycée

Chapitre 3

Hétéro
CHAPITRE IIIRAPPORT DE FORCE INVERSE

Le lendemain, j’arrive au lycée de bonne heure et de bonne humeur, pouvant à peine tenir en place à la simple pensée de ce que je vais accomplir à midi. Je me change dans les toilettes des filles en arrivant, échangeant les vêtements « bien élevée » que j’avais sur moi en partant avec les sexy que j’ai emporté dans mon sac, comme chaque matin. Short laissant voir les trois quarts de mes cuisses, tee-shirt trop court laissant apparaitre le bas de mon ventre, et surtout trop serré, moulant mes gros seins avec sensualité mais sans douleur. Warda arrive juste avant le début du premier cours, manquant de peu de faire signer son dixième retard du trimestre.Cours de bio en premier, pas intéressant, pas excitant comme il l’est parfois… J’en profite pour rattraper un peu de mon sommeil manqué cette nuit.La récréation du matin arrive. Je reste dans la foule, empêchant ma chère Warda de me coincer à l’écart pour me faire parler ou pour me distraire. Je veux être en forme.Le deuxième créneau du matin arrive. Deux heures de physiques cette fois. Je hais le vendredi, nous n’avons que des matières scientifiques. Pour nous qui sommes en filière littéraire, c’est un comble. Mais il finit néanmoins par se terminer. Alors que je me baisse pour rentrer mon livre dans mon sac, elle s’accroupit également pour m’interroger :— Tu comptes me faire attendre longtemps ? Tu comptes faire quoi aujourd’hui à la fin ?— Pas le temps de t’expliquer, je suis pressée… Va manger sans moi, on se retrouve dans une heure en face du prochain cours. Je te raconterai, promis !Elle a envie d’insister, je le sens, mais elle sait que je ne lui ai pas mentis quand je lui ai dit que j’étais pressée, ni pour ma promesse de lui raconter. Elle me laisse donc partir, me laissant juste le temps de courir jusqu’à une autre salle d’un autre étage. Celle que nous avions quitté hier soir.
Monsieur Ferrand sors de sa salle, les derniers élèves étant sortis et se précipitant déjà vers les sorties les plus proches. Alors qu’il ferme la porte, je me précipite sur lui, tentant de ne pas haleter d’avoir couru :— Monsieur Ferrand ! Monsieur Ferrand ! Je peux vous parler un instant ?Il se tourne vers moi, mimant n’avoir aucune réaction. Il sort la clé de sa poche avant de demander :— Bien sûr Julie. Je suis devant toi… Que me veux-tu ?— Ne fermez pas la porte s’il vous plait. J’aimerais vous parler en privé.Il hésite un moment, mais insère finalement la clé dans la serrure pour tourner le verrou.— Tu n’as nul sujet à cacher Julie… D’autant que nous sommes seuls dans ce couloir, alors que voudrait-tu que j…— La ferme !Je viens de le couper en haussant le ton, cette confiance en moi me surprend moi-même. Lui aussi est stupéfait visiblement : il s’est figé sur place, la clé encore dans la serrure, me dévisageant maintenant avec incrédulité.— Vous savez très bien pourquoi je suis là ! Vous savez très bien que Warda m’a tout dit ! Alors ouvrez la porte, laissez-nous entrer, refermez la derrière nous et écoutez-moi !Un long moment de silence pesant s’écoule dans ce couloir, durant lequel aucun de nous ne cesse de fixer l’autre. Un bruit de verrou qui s’ouvre me fait comprendre qu’il cède, laissant la porte s’ouvrir. Difficile de dire ce qui l’a convaincu : as-t-il anticipé la menace que j’étais sur le point de formuler, était-il simplement facile à soumettre en haussant le ton, ou encore vient-il d’être convaincu par les deux tétons pointant à travers mon chemisier sous l’effet de l’excitation que je retiens depuis hier soir ? C’est un mystère et ça le restera surement à jamais.
Il ferme la porte à clé derrière nous. Lorsqu’il se retourne, il me voit au milieu de la salle, assise sur une table, bras derrière moi, le buste légèrement incliné vers l’arrière pour mieux faire ressortir ma poitrine. Il se décide le premier à briser le silence :
— De quoi veux-tu parler ?— De vous monsieur. De vous et de votre conduite absolument scan-da-leuse envers mon amie.Je savoure la situation. Je parle d’une voix méprisante à mon prof de français, que j’ai trouvé sexy dès le début de l’année dernière. Il voit bien dans ma voix que j’exagère mon ton, mais ignore encore dans quel but. Je ne le laisse pas réfléchir en poursuivant d’une voix hautaine :— Vous avez honteusement profité d’une situation désavantageuse en sa faveur pour abuser d’elle et de son corps. C’est d’un… Répugnant…Il me répond dans un demi-sourire sadique : — Elle avait l’air plutôt consentante pourtant. Et ne fais pas semblant de ne pas le savoir. Si elle t’a tout raconté, nous savons tous deux qu’elle a aimé ça.— Oh, je veux bien vous croire… Mais une autre personne sera difficile à convaincre.— Que veux-tu dire ?— Pour un prof, vous manquez de jugeote.J’avais soupiré exagérément cette dernière phrase. Je quitte ma table et en me mettant debout face à lui, plantant mon regard dans le sien, Je sors mon portable, lui montrant mes photos récemment acquises. Il comprend enfin mes pensées, cessant de sourire sur le coup.— Elle… Elle semble sourire sur ces photos… Hésite-t-il pour se défendre.— Moui, sans doute parce que vous l’avez obligée. Vous savez, coucher avec une élève, même consentante, ne vous ferait que perdre votre droit d’enseigner avec un bon avocat. Mais humilier sexuellement une élève contre son gré, mineure qui plus est…Je laisse ma phrase en suspens.Bien que faisant tout mon possible pour le cacher, je jubile intérieurement. Je peux actuellement faire de mon professeur de français – professeur principal de la classe avec ça - tout ce que je veux. Et je sais précisément ce que je vais attendre de lui.— Qu’est-ce que tu veux ? Me demande-t-il enfin, conscient que le rapport de force est inversé.Je m’approche alors de lui, avançant doucement, gardant mes jambes raides, et m’arrête lorsque mon visage est à quelques centimètres seulement du sien.— Vous.
Il recule un peu, surpris par mes exigences. Après un nouveau bref instant de silence, il ricane un moment :— Tout ce cirque alors que tu étais tout simplement jalouse ? Tu n’avais pas besoin de tout ça, me demander gentiment m’aurait suffi. Bon, eh bien comme avec elle alors… A genoux.— Parce que j’ai la tête de quelqu’un qui va avaler votre teub peut-être ?Il se fige à nouveau, comprenant qu’il est tombé sur un os.— C’est moi qui décide comment vous allez vous servir de votre engin. Et pour commencer, j’aimerais le voir. Enlevez vos vêtements. J’entends bien tous vos vêtements.Je retourne me rassoir à quelques mètres, contant bien profiter pleinement du spectacle. Mon professeur me lance un regard noir, puis lève une jambe pour y retirer sa chaussure et sa chaussette, puis l’autre. Je tourne la tête pour vérifier que les stores sont bien baissés : ils le sont. Il retire sans sensualité ni hésitation sa veste et sa chemise, révélant son torse. Ne restent que son jean et ce qu’il y a dessous.— Attendez… Avant de le retirer, videz vos poches sur une table. Et ensuite montrez-moi ce qui est, j’en suis sûr, dressé en ma direction.Il s’exécute, posant sur une table à côté de moi son portable et son portefeuille. Le voir ainsi obéir au moindre de mes ordres me procure presque la même satisfaction que lorsque j’entends Warda jouir. Il retire ensuite son pantalon, laissant apparaitre une épaisse bosse sur son caleçon, qui me confirme les dires de Warda au sujet de la taille du matériel. J’en ai une preuve encore plus fiable lorsqu’il retire son dernier vêtement, laissant apparaitre un sexe long et droit, pointant mon corps comme si il souhaitait s’y rendre de lui-même.— Ouh… Vous bandez sur chacune de vos élèves on dirait…— Seulement sur les chaudasses.Il tentait de se détendre, mais il ne souriait plus, détestant visiblement d’être celui qui reçoit les ordres. Malgré tout, il ne peut contrôler son regard, qui se balade sur mes seins moulés.— Quoi, ça vous intéresse tant que ça ? Vous n’êtes vraiment qu’un pervers…Je dis ça presque comme un compliment, et à voir l’expression de son visage, il a dut le prendre comme tel.— Bon… Il est temps de vous montrer ce que vous convoitez tant.Je me repose au sol. Il s’attend à ce que je soulève mon haut, mais au lieu de cela, je me retourne, et m’incline pour étaler mon torse sur la table, croisant les bras devant moi pour poser ma tête dessus. Mes jambes toujours à la verticale, mon corps forme un angle droit au niveau de mes fesses, dévoilant leurs courbures à travers mon short moulant, présentées comme une offrande à quiconque les verrait.— Allez… Qu’attendez-vous… Baissez-moi ce short…N’ayant plus aucune vue sur la situation, je laisse mes oreilles et ma peau me décrire la suite. Premièrement, je sens ses doigts qui agrippent les bords de mon bas et qui tentent de s’introduire à l’intérieur. Serré comme il est, ce n’est pas une tâche facile, mais il y parvient tout de même, agrippant d’un seul coup mon short et mon string dissimulé dessous. Il les tires vers le bas, les faisant glisser le long de mes jambes, et laissant l’air rafraichi de la salle me faire frissonner les fesses et le sexe. Lorsqu’il atteint mes pieds avec ses jambes, je lève l’une puis l’autre pour le laisser faire passer mes vêtements, que je l’entends poser à côté de moi, sur les siens.
Ne faisant aucun mouvement, confortablement installée la tête sur mes bras, j’attends ses actions avec impatience. Je sens un premier contact sur ma vulve qui me fait frémir. Je reconnais du simple toucher ce qui vient de m’effleurer : une paire de doigts.— Sans préliminaire. J’ai suffisamment attendu comme ça. De toutes façons, je suis déjà trempée.Il retire ses doigts, et agrippe mes hanches avec ses mains pour se caler. Et fort avec ça, la pression de ses doigts sur mes reins est presque douloureuse. Je sens un gland se poser contre mes lèvres vaginales, s’arrêtant aux portes de mon corps.— Vous attendez quoi encore ? Baisez-moi !— J’ai un doute… Tu t’es comportée comme un sac à foutre avec les étudiants… Mais tu ne m’as même pas proposée une capote.Il était vrai que dans l’excitation, j’étais venu sans rien cette fois-ci. Mais d’ordinaire, Warda et moi prenons notre sécurité bien plus au sérieux – bien que je finisse souvent par retirer la capote pour avaler -— J’ai oublié cette fois, mais d’habitude je suis protégée, pas de problème. J’ajoute avec un sourire : vous n’étiez pas aussi prudent avec Warda !— J’ai quand même un doute…Mon impatience poussée à bout, je hausse le ton, toujours sans me retourner :— Vous comptez vous priver de moi pour un détail que vous aviez carrément zappé avec Warda ? Vous avez mon OUUUH…Il était rentré d’un coup, tirant mon corps vers lui avec ses mains en même temps que le sien s’était lancé en avant. Sa verge, aidée par ma cyprine qui coulait depuis le début, était rentré aux trois quarts d’un seul mouvement.Elle se met à remuer, faisant des aller-retours dans mon intimité, lentement mais profondément. Je ferme les yeux, savourant chaque seconde de cet instant : monsieur Ferrand me baise, parce que je lui en ai donné l’ordre. Le plaisir de sa soumission accentue celui de la pénétration. Lui par contre n’hésite pas à commenter son action :— Ta chatte est sacrément large pour ton âge, Julie… Tu dois être une vraie salope !— Oh ouiii… Je suis une salope… Une jeune salope…Ma voix est montée en fréquence, on pourrait croire entendre une enfant à présent. Mais je suis pleinement heureuse en l’instant. Un homme qui me plait est en mon pouvoir, et il me traite de salope. A part la présence de l’élue de mon cœur, que pourrais-je demander de plus ?Il cesse son mouvement, rapprochant ses mains de lui pour m’agripper directement le bord des fesses. Il se retire alors complétement, aboyant d’un ton grave :— Voilà pour toi, salope !Et il rerentre brutalement dans mon sexe, me faisant pousser un soupir de plaisir. Il recommence son mouvement, mais en plus ample, ressortant et repénétrant mon sexe à chaque va-et-vient, m’arrachant un petit « ouh » de bonheur par la même occasion à chaque entrée.— Ouh… C’est bon… Ouh… J’adore… Ouh… Votre queue… Ouh… Longue… Ouh… Et dure… Ouh… Comme je… Ouh… Les aimes… Ouh… Vous avez… AIIIE !!!Le hurlement de douleur que je viens de pousser a dû être entendu dans tout l’étage. Mais j’ai une bonne raison : volontairement ou non, il vient de changer de destination pour rentrer directement entre mes fesses.
— Vous êtes malade ? Sortez de là !Ignorant ma demande, il ne bouge plus, laissant les parois de mon colon se contracter sur sa verge.— Allez… Ne me dis pas qu’une salope comme toi est vierge du cul…— C’est pas la question, j’ai dit sortez de moi ! Où je hurle « au viol » !Il a bien sûr raison, je ne suis pas vierge du cul. Néanmoins, jamais je n’ai accueilli un quelconque sexe à l’intérieur sans une couche de vaseline au préalable. Cette rentrée violente et sèche ne me provoquait que douleur plutôt que plaisir.A contrecœur, je le sens bien, il se retire, faisant racler douloureusement sa verge contre l’intérieur de mes fesses. Il finit par sortir, me laissant une douloureuse brulure. Toujours sans me retourner ni le voir, je lui ordonne d’une voix tremblante :— Plus jamais… Sans ma permission.— S’il te plait Julie… Tu ne peux pas me demander de te prendre en levrette, avec ton cul sous les yeux, sans m’autoriser d’y entrer, c’est trop cruel…— Je suis cruelle ! Faites avec !Cette dernière phrase m’étonne de moi. Je me mets à jouer les dominatrices à présent. Jamais je ne m’étais montrée aussi provocatrice dans mes paroles, que ce soit avec un homme ou avec Warda. Je tente de m’adoucir, souhaitant quand même qu’il y prenne du plaisir, avant de me rattraper :— Si vous voulez me sodomiser… Lubrifiez un peu le passage avant.Il m’écoute, passant deux doigts sur ma vulve pour y récupérer ma cyprine, avant de les enfoncer dans mon anus, d’abord me griffant légèrement, puis glissant plus facilement, aidée par le précieux liquide. Il en étale à plusieurs reprises, insérant à présent trois doigts, au plus profond qu’il peut, pour en étaler sur la plus grande longueur possible. Suite à quoi, il reprend mes fesses en main, et pose délicatement son gland contre ma rose anale.— Prête à te faire sodomisée, salope ?— Ouiii…J’allie le geste à la parole en me cambrant un peu plus pour lui laisser libre disposition de ce qu’il a en main. La réaction ne tarde pas : il me pénètre, cette fois lentement, progressant méticuleusement le long de mon intestin. Je couine faiblement lorsque le bout de sa verge est entré, sa bourse buttant contre ma vulve.— T’es ptet pas vierge du cul… Mais ça reste excellent… Contrairement à ta chatte, c’est encore bien serré.Il pressa mes fesses entre ses mains, accentuant encore son plaisir, et se mis à remuer à nouveau. Je sentis de façon beaucoup plus intense sa présence dans mon corps, ayant cette fois une partie importante de douleur, mais une sensation de plaisir beaucoup plus intense.— Désolé Julie… J’essaie d’y aller doucement… Mais c’est trop bon !Il accélère, me forçant à respirer à un rythme beaucoup plus soutenu. Je tente de faire coïncider mes inspirations et mes expirations avec ses entrées et sorties. Je l’entends pousser des grognements, il apprécie cette position au moins autant que moi.
Soudain, j’entends mon portable faire une courte mélodie pour me prévenir d’un SMS. J’ignore complétement cette information, mais pas celui qui mène actuellement la danse. Il arrête aussitôt le mouvement, callant son sexe au fond de mon corps, et lâche mes fesses, posant l’une de ses mains sur le bas de mon dos tandis que l’autre se mit à fouiller mon short posé à côté à la recherche de mon portable. Du moins c’est ce que je suppose d’après ce que j’entends : je peux difficilement me retourner dans cette position.— Qu’est-ce que vous foutez ? Occupez-vous plutôt de moi !Sans un mot, il prit finalement mon téléphone, et le posa devant moi. S’appuyant alors de sa main sur mon dos, et gardant l’autre hors de mon corps, il reprit son mouvement en m’ordonnant :— Regarde qui t’a envoyé un message… Et répond-lui. Tout en te faisant péter le cul. Aller !Le fait de lui obéir ne me plait pas trop, mais cette idée m’excite plutôt bien. Je tente donc de regarder le corps et l’émetteur du message, malgré les balancements forcés de mon corps liés aux secousses des coups de reins de mon amant. Il s’agit de ma chère et tendre Warda, qui visiblement s’inquiète pour moi :« On a entendu un genre de hurlement à la cantine. Je ne sais pas d’où ça venait, mais il m’a semblé reconnaitre ta voix… Tu vas bien ? »La cantine étant juste en dessous de nous, mon cri de tout à l’heure a du couvrir le brouhaha habituel qui y régnait. Souriante, et stimulée par ma sodomie encore continue, je décide de lui révéler mon plan à présent, elle ne pouvait plus y faire grand-chose :« En ttrain,, del me fare encuuler par tton chéride prpof ! »Mes mains tremblantes et mon corps secoué par mon professeur, qui semble bien déterminé à ne pas ralentir, ne m’ont pas aidée à taper mon message correctement. Toutefois, sa réponse est presque immédiate :« SALOPE ! XD »Je lâche mon portable et pose à nouveau ma tête sur mes bras croisés, cambrant au maximum, laissant mon fessier recevoir toute la violence qui lui est offerte. Le rythme de mon partenaire est régulier, signe qu’il semble ne pas être prêt de jouir. Il veut probablement profiter au maximum de la situation. Je ne lui en veux pas, bien au contraire, même si je sais que j’aurais du mal à sortir de la salle à cause de la douleur.
Tandis que je me demande ce qu’il fait de sa main libre, il décide soudainement de donner plus d’ampleur à son mouvement, ne laissant que son gland en moi lorsqu’il recule, et claquant ses reins sur mon derrière lorsqu’il avance. Je me surprends à pousser de petits gémissements à chaque coup de butoir, adorant le bruit et la sensation des claquements sur mes fesses.Une, peut-être deux minutes s’écoulent tandis qu’il profite au maximum de mon jeune corps. Je suis mêlée entre la douleur et le plaisir, domination et soumission. Il fait ça parce que je l’ai ordonné, mais il décide lui-même comment prendre son pied avec moi.Les seuls bruits que j’entends sont mes propres petits cris étouffés et les claquements sur mes fesses. Mais lui, je ne l’entends ni gémir ni soupirer… Ce qui en devient presque vexant. J’étais sur le point de me retourner lorsqu’il me demande d’un ton dominant :— T’aime ça, te faire défoncer le cul, hein salope ?— Oh oui… Défoncez-moi…— Espèce de salope !— Oui… Je suis une salooooope !J’avais presque crié ce dernier mot. Tout en tentant de retenir mon excitation, je parviens à tourner mon buste et ma tête, afin de regarder enfin dernière moi, et je comprends ce qu’il faisait depuis tout ce temps avec sa main libre : à l’aide de son propre téléphone, il était en train de filmer en gros plan son sexe pénétrant mes fesses. Voyant que je viens de me retourner, il redresse son téléphone vers ma direction, visant cette fois mon visage.— Dis à quel point tu aimes ça !Je souris inconsciemment vers son téléphone quand je lui réponds :— J’adore me faire laminer le cul… Votre bite est si bonne… Oh c’est bon… Bon… Plus vite, plus vite !Il accepte silencieusement mon appel, ramenant l’objectif de sa caméra sur mes fesses et accélère le mouvement. Je me retourne à nouveau, m’appuyant de mes deux mains sur la table pour me stabiliser. Dans un état euphorique, je réalise que j’ai de la chance d’être une salope : un mec dépourvu de la moindre douceur est en train de me limer l’anus avec brutalité, et pourtant j’adore ça.
Soudain, alors qu’il a les flancs collés à mes fesses, il se fige. Je m’attends à sentir son plaisir se déverser profondément en moi, mais au lieu de ça, j’entends :— Julie… Je suis à bout… Où veux-tu que je jouisse ? Dans ton cul ?— Non, surtout pas ! Sortez !Il obéit, rompant le lien d’un geste vif, non sans produire un bruit de ventouse en sortant. Je me retourne et me pose rapidement sur le sol, puis me met à genoux pour être face à sa queue, que je prends d’une main pour la placer vigoureusement dans ma bouche. S’ensuit alors une rapide et active fellation, qui fait monter ses grognements. Peu avant de jouir, il me demande en fixant mon haut :— Enlève ton tee-shirt… Laisse-moi jouir sur tes seins… S’il te plait !Je retire alors sa queue de ma bouche, continuant de l’astiquer d’une main, pour lui répondre :— La ferme ! J’ai décidé que vous jouirez dans ma bouche, et je vais tout avaler, que ça vous plaise ou non !Sentant qu’il était sur le point de craquer, je replonge sa verge, et sens affluer son premier jet de plaisir sur ma langue. J’avale d’une traite, gardant toujours la source entre mes joues, fermant les yeux pour mieux goûter l’extase de l’action. Un deuxième jet suit bientôt le premier, je l’avale de même, ignorant toujours pourquoi boire de la semence masculine m’a toujours fait un tel effet. D’autres soupçons de sperme s’ensuivent, que j’engloutis au fur et à mesure de leurs venues. Je continue même à déglutir alors que son orgasme est fini, par instinct.Je retire enfin ma tête de lui, pour lâcher ce que je tenais en main, lever les yeux et lui sourire, voyant par la même occasion qu’il avait continué de filmer toute la scène.
Alors que la tension commence seulement à diminuer, je réalise quelque chose que j’avais à peine envisagé jusqu’alors : je suis à présent en possession d’une vive douleur aux fesses. Après s’être faite pilonnée comme je viens de le faire, il n’y en aurait aucune honte, mais je ne veux pas donner la satisfaction à ce type de m’avoir fait mal. Je me relève donc sans gestes crispés, ramassant mon short et le remettant en tentant d’être la plus inexpressive possible. Mon but est bien sûr de tout faire pour le vexer, ce qui semble être réussi, car il me demande d’un air outré :— C’est tout ? Pas de remerciements, rien ?— Des remerciements ? Pour avoir fait ce que je vous avais ordonné ? Pfah !Je remets mon portable dans ma poche d’un air nonchalant. Mon regard s’attarde un peu sur le sien. Je finis par décider de conclure ce rendez-vous :— Bon, maintenant mettons les choses au clair pour la suite. La vidéo que vous avez prise de moi, tout comme les photos de Warda, branlez-vous dessus autant que vous voulez, mais si qui que ce soit les voit, vous savez ce qui vous attend.Il fait mine d’écouter en remettant ses habits.— Ensuite, à partir de maintenant, considérez le rapport de force comme inversé. Si je vous ordonne quoi que ce soit, peu importe où que vous soyez ou ce que vous étiez en train de faire, vous devrez obéir. D’ailleurs donnez-moi votre numéro, je veux pouvoir vous contacter n’importe quand.Il s’exécute, non sans pousser un grognement de mécontentement.— Quant à Warda… Quoique vous lui ordonniez désormais, elle aura le choix. Un non c’est un non, vu ? En fait on va faire plus simple : toutes les règles qui s’appliquent à moi s’appliquent à elle, vous êtes l’objet de ses désirs, pas l’inverse.Il acquiesce en silence, me maudissant du regard. Il n’aime pas être mon soumis ? Tant mieux, ça n’en sera que plus plaisant pour moi.— Je vous laisse. Passez un bon week-end. Ah, et n’oubliez pas de m’envoyer cette vidéo par mail. En faisant une pièce jointe à Warda, bien sûr.« Bien fait » me dis-je en sortant de la salle, « ça t’apprendra à nous fliquer en demandant nos emails à nos parents chaque année. »
Je traverse le couloir maintenant vide depuis longtemps pour rejoindre l’entrée du CDI. Je m’attends à y voir celle que j’ai si souvent attendue ici, à notre point de rendez-vous. Et elle est là, assise par terre, visiblement anxieuse ; équipée de son habituel sac à main, dont je connais la contenance par cœur : ses livres de la journée, un nécessaire de maquillage, quelques préservatifs, une brosse à cheveux, ses pilules, son portable et un petit jouet pour lorsqu’elle s’ennuie sans moi.Elle se relève lorsqu’elle m’aperçoit, courant alors dans ma direction. Je l’attrape dans mes bras, serrant sa poitrine contre la mienne si fort et si haute que ses pieds décollent du sol. Elle plonge son visage contre le mien, m’offrant un baiser passionné, comme si elle ne m’avait plus vu depuis plusieurs mois.Après quelques secondes de bonheur, je relâche un peu mon étreinte, la laissant retoucher terre, afin de la laisser me susurrer à l’oreille :— Lorsque je t’ai entendu crier, j’ai eu peur pour toi… Alors ton cirque depuis hier c’était ça ? Tu voulais te faire baiser par un prof, petite salope ?Elle me chuchote ça d’un ton affectueux. Dans un demi-sourire, je lui réponds :— D’une, je ne suis pas petite… Et ensuite, je reviens avec une bonne et une mauvaise nouvelle.Elle reprend une mine inquiète lorsqu’elle me demande :— La mauvaise ?— mon cul vient d’être victime d’un pilonnage dont il va se souvenir pendant au moins tout le week-end… Donc je dois te demander de le traiter avec douceur jusqu’à ce qu’il soit rétabli.— J’y survivrai. Et tu n’as l’air de rien regretter, à voir la tête radieuse que tu fais en l’annonçant. Et la bonne ?— J’ai passé un arrangement avec ton chéri de prof. Il ne pourra plus rien exiger de toi. En revanche, nous pouvons toute deux faire ce que nous voulons de lui.Elle se fige un moment, pesant ce que je viens de lui annoncer. Elle semble dubitative. J’en aurais surement été de même à sa place. J’entends une courte mélodie émaner de sa poche, elle y plonge sa main pour en ressortir son portable.— Tiens, le monde est petit… C’est justement lui qui vient de m’envoyer un mail… « Le cul de Julie prend cher » ? Qu’est-ce que ça veut dire ?Devinant ce qu’il s’agit, je serre les poings en laissant un sentiment de victoire m’envahir, à la simple pensée qu’il a obéit à un ordre que j’avais moi-même déjà oublié.— Je crois que ça veut dire qu’on devrait aller toutes les deux dans les toilettes pour regarder la vidéo en pièce jointe… Tu vas adorer.
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