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Un week end bien agité

Chapitre 4

Orgie / Partouze
Le dimanche après midi
Sylvie vient me réveiller vers 15 heures 30 car il faut qu’on se prépare. J’enfile une chemise en soie bleu pétrole et un pantalon noir. Des chaussures et des chaussettes noires. Lui est habillé tout en noir. Charlotte porte une jupe courte jusqu’aux genoux fendue sur le côté, et un corsage blanc assez transparent qui laisse voir ses beaux seins, le tout sur des escarpins hauts. Sylvie, elle, porte une mini jupe blanche fendue devant et derrière qui laisse voir son pubis et ses fesses, avec un corsage blanc aussi transparent que celui de sa mère elle aussi sur de très hauts escarpins. Je m’habille quand je vois apparaitre Louise dans une tenue tout aussi excitante, jupe mi cuisses fendue sur les deux côté et corsage rouges en soie, qui laisse deviner une poitrine libre, sur des chaussures à talon gigantesques.-Mesdames, vous allez faire sensation dans la rue habillées comme ça.-Non, pas du tout, nous porterons des manteaux et de plus la boite a un parking juste à l’entrée.-C’est une boite échangiste, nous sommes cinq, il n’y aura pas de problème ?-Pas du tout les couples accompagnés d’une femme sont les bienvenus, c’est plus difficile avec les hommes, il faut être un habitué pour faire entrer un homme seul.Nous embarquons tous dans la voiture de Louise qui s’est déchaussé, c’est une immense vielle américaine de collection assez grande pour embarquer tout le monde. Arrivés à la boite, nous déposons nos manteaux au vestiaire, le patron vérifie que nous avons des préservatifs et nous invite à entrer. La première salle est assez peu éclairée, il y a des tables basses au centre de canapé en demi-cercle. Elles peuvent accueillir 5 à 6 personnes. Au centre une piste de dance. Au fond, des escaliers mènent l’un à une coursive qui distribue dans différentes pièce équipées soit de sofa, de matelas, de chaines, et toutes sortes d’objet de plaisir, l’autre à des chambres soit que l’on peu fermer, soit équipées de fenêtres qui permettent de voir ce qui se passe à l’intérieur. Une fois le tour du propriétaire fait avec Luc, nous rejoignons les femmes qui ont bien du mal à décourager une horde de mecs. A notre arrivée, tout le monde se calme et nous commandons des boissons, sans alcool pour Louise. Sylvie a repéré un beau mec qu’elle ne connait pas. Il doit avoir dans les cinquante ans et est accompagné d’une femme du même âge, assez petite mais pas mal faite. La femme remarque les regards appuyés de Sylvie et lui fait signe de s’approcher. Nous allons tous les deux rejoindre le couple qui nous accueille chaleureusement. Au fil de la conversation, nous comprenons qu’ils sont là pour trouver un couple inversé, comme ils disent. C’est-à-dire que monsieur cherche un homme et madame une femme. Il se dit passif, ce qui fait que nous refusons la proposition ne pouvant pas bander avec un préservatif. Sylvie fait signe à son père qui nous rejoint et l’affaire est vite conclue avec Charlotte. Nous rejoignons Louise quand un couple d’une quarantaine d’années vient s’assoir à notre table avec une bouteille de champagne et des coupes. Alain et Dominique nous invitent à boire un coup avec eux et au bout d’une demi-heure, nous montons tous les cinq dans une chambre avec fenêtres, car ils sont exhibitionnistes, ce qui ne nous dérange pas du tout. Alain est très attiré par Louise tandis que Dominique aime bien Sylvie tout en me demandant de la caresser. Je commence par la déshabiller et je constate qu’elle est vraiment pas mal faite, un petit 90c sur une taille de guêpe, de belles hanches arrondies et des fesses rondes comme j’aime. Ma chemise et mon pantalon suivent ses fringues ainsi que le corsage et la jupe de Sylvie. En me retournant, je constate qu’Alain et Louise sont aussi à poil et commencent à se chauffer. Je m’allonge sur le dos sur le grand matelas de la chambre à côté de Louise, Dominique se penche sur moi et s’occupe de ma bite. Sylvie vient s’accroupir sur mon visage, m’offrant son sexe et son cul en même temps. Je lui titille le clitoris et elle se met à avoir ses petites jouissances successives. Dominique s’active sur ma bite et fini par me faire jouir.-Si tu ne peux pas mettre de préservatif sur ta bite, tu peux mettre ce gant de latex et t’occuper de mon con.Dominique me tend le gant que j’enfile. Elle se couche sur le dos les jambes repliées et écartées, m’offrant sa vulve grande ouverte. Je pose mes lèvres dessus pour constater qu’elle ruissèle de cyprine. J’approche ma main gantée de son sexe et l’enfonce sans beaucoup de difficulté dans sa grotte. Pas de doute, elle a l’habitude. Je la pistonne quand je sens des doigts barbouiller mon cul de gel. Une main en pointe se positionne sur ma rondelle et appuie doucement. Après tous les traitements que mon cul a subis depuis hier, la pénétration lente se fait sans aucuns problèmes. Je pistonne Dominique pendant que je me fais pistonner par Sylvie. Les spectateurs aux fenêtres sont subjugués et restent sans voix. Ils n’ont pas du voir ça souvent. Dominique commence à pousser de petits cris et soudain elle hurle sa jouissance. Toute la boite est au courant. Moi-même je me décharge sur ses fesses. Je libère Dominique qui se redresse et vient déposer un baiser sur mes lèvres.-Merci, c’était super. Je suis toujours à quatre pattes et j’ai toujours la main de Sylvie dans le cul. J’entends plus que je ne vois Louise jouir. Son visage n’est pourtant pas aussi extatique que les fois précédentes. Sylvie me libère le cul et se penche à mon oreille.-On se débarrasse d’Alain et Dominique et on s’amuse tous les trois, ok ?-D’accord.Sylvie parle à Alain qui nous quitte avec sa femme en nous assurant avoir beaucoup apprécié.— Mets-toi sur le dos les bras en croix.Je m’exécute, Sylvie me replis les bras de manière qu’ils soient dirigés vers le haut et me met les doigts en pointe.-Tu vois ou je veux en venir ?-Parfaitement.Sylvie enduit de gel le cul de Louise, elles se positionnent chacune d’un côté et chacune présente l’objet de son désir devant mes doigts. Sylvie présente son sexe et Louise son fion. Les fenêtres qui s’étaient vidées après le départ d’Alain et Dominique se remplissent à nouveau, tout le monde sent qu’il va se passer quelque chose de spécial. Elles sont installées de manière à ce que personne ne perde une miette du spectacle, Sylvie face à la foule les jambes bien ouvertes, Louise dos aux spectateurs, penchée en avant pour bien dégager son cul. Elles descendent doucement et mes mains envahissent le cul de l’une et le con de l’autre. Ces deux conduits sont aussi chaud l’un que l’autre, Sylvie est plus humide car elle dégouline de cyprine, son excitation est au maximum. J’entends la respiration des deux femmes s’accélérer, leur va et vient devient frénétique, mais contre toute attente, elles ne jouissent pas, elles résistent bien que je les sente toutes les deux au bord de l’orgasme. Sylvie n’a pas ses petits orgasmes habituels, elle se concentre pour exploser d’un seul coup. Soudain, elle s’immobilise complètement empalée par mon bras et pousse un cri rauque et puissant. Je sens son sexe palpiter, je bouge les doigts et son cri se transforme en hurlement. Louise, excitée par ce cri de jouissance part à son tour dans une jouissance bruyante. Sylvie bouge de nouveau, ses va et vient deviennent hystériques, elle perd l’équilibre et s’écroule sur ma jambe. Louise se calme doucement et se retire pour se coucher à côté de moi. Elle a l’air illuminée. Je bande comme un cerf, je suis au bord de la jouissance et une bouche inconnue vient me soulager, c’est Charlotte qui a reconnu les cris de sa fille et est venu voir ce qui se passait. Je l’inonde de mon sperme qu’elle avale goulûment. Les deux filles sont exténuées et désirent un peu de repos, nous nous levons pour rejoindre une chambre qui se ferme et nous affalons sur le lit. Charlotte ferme la porte et vient s’allonger à côté de moi.-Ca s’est bien passé avec Luc et le couple.-Super, le mec est sacrément bien membré et Luc a prit un pied d’enfer comme le mec. Sa femme connait super bien les femmes et j’ai joui comme je l’ai rarement fait. Je ne sais pas si elle a prit le même pied, mais moi c’était extra. Je pense que Luc a pensé à toi, car il voulait que le mec s’occupe de toi, même si tu ne peux pas lui rendre le même service.-Tu ne connais pas son nom ?-Je crois que c’est Laurent mais je n’en suis plus sûre.
Charlotte se lève et sort de la pièce. Quelques minutes plus tard, elle revient avec Laurent, qu’elle laisse pour aller rejoindre sa femme. -Bonjour, je suis Laurent et Luc m’a parlé de toi, il me dit que tu as un super cul.-Peut être, mais je suis assez fatigué et je ne pense pas être en mesure de te satisfaire avant un petit bout de temps.-Je suis patient, ne t’en fais pas.Il quitte la pièce et les deux filles se blottissent contre moi. Nous restons comme ça une bonne demi-heure, juste le temps de bien récupérer. Nous sortons de la pièce pour retrouver Luc et Charlotte. Ils sont dans la salle du bas avec un autre couple plus jeune, environ la trentaine. Quand nous arrivons près d’eux, je suis surpris par le visage de l’homme.-Jean, tu te souviens d’Yves zzzz.-Oui, bien sur, il était avec moi au collège et au lycée, nous ne nous sommes séparés qu’après le bac, on s’est revu en 1988.-Et bien je te présente Jean, son fils et Viviane sa femme.-Oui, il m’en avait parlé en 88, tu as aussi une sœur je crois.-Oui, mais elle est aux Etats Unis pour son travail, elle vit à Dallas.Nous nous asseyons, moi à côté de Viviane. Elle est grande, belle, et très peu habillée. Corsage ouvert jusqu’à la taille qui laisse voir ses magnifiques seins, jupe fendue devant comme celle de Sylvie et je peux voir un sexe épilé et encore une fois bronzé. Viviane me prend la main et la pose sur sa cuisse en me souriant. Je la caresse, remonte vers son sexe et lui titille le clitoris. Je la sens se tendre de plus en plus, Jean nous regarde avec un petit sourire et soudain Viviane renverse la tête en arrière, ferme les yeux et joui en silence, seul ses narines qui palpitent la trahissent. Je retire ma main, Viviane ouvre les yeux et me sourit.-C’est un bon commencement.La discussion tourne surtout autour du sexe mais je sens tout le monde un peu fatigué. Nous décidons de partir, tant pis pour Laurent. Luc a invité Jean et Viviane chez lui, il y a assez de chambre. Au retour jean me demande de monter avec lui et sa femme. Je monte derrière et Viviane me suit. Jean a à peine démarré que Viviane se jette sur moi et me fait descendre mon pantalon et me retire ma chemise. Elle est nue en deux secondes et se penche sur ma bite. Je ne tarde pas à bander, bien que passablement fatigué, elle vient vers moi, se positionne au dessus de ma bite et se sodomise d’un seul coup, à sec. Cette pénétration est douloureuse pour moi, je présume que ça doit être la même chose pour Viviane.-Putain, c’est bon une queue à sec. Laisse toi faire Jean, préviens moi quand tu pars.Elle monte et descend sur ma queue, je la maintiens en la tenant par les hanches. Ses mains sur mes cuisses se contractent et je sens que je vais jouir.-Je vais partir Viviane, attention.Mais au lieu de se dégager, Viviane accélère le mouvement et, n’en pouvant plus, je me répands dans son fondement. Décidément, quel week-end, je ne me suis jamais autant vidé les couilles dans des culs de ma vie. Elle cri sa jouissance en même temps que moi.-Oh chéri, je jouis, il me transperce le cul, et je joui, c’est bon, encore.Elle finit par se calmer petit à petit, se dégage, se retourne et m’embrasse. Nos langues se battent, s’enroulent, se titillent. Viviane se redresse au moment ou nous arrivons chez Luc. Nous sortons de la voiture à poil devant Luc qui me regarde avec un air complice. Tout le monde entre dans la maison et s’installe au salon.-Et si tout le monde se mettait comme Jean et Viviane ?Tout le monde se déshabille et Sylvie sert une boisson fraîche à tout le monde.-La soirée à été courte mais intense, n’est ce pas Jean ?-Oui, mais il est vrais que je n’ai plus l’habitude de week end de cette intensité.-Je crois que nous pouvons grignoter quelque chose, n’est ce pas Louise ?-Oui monsieur, c’est prêt.Nous allons à table pour sustenter un peu et reprendre des forces. Tout le monde se retrouve au salon avec un verre et la discussion va bon train. Il est presque 22 heures et je sens une chape de plomb me tomber dessus.-Excusez-moi, mais je ne tiens plus debout, je crois que je vais aller me coucher.-Pas de problèmes, mais nous irons voir si tout va bien dans un moment.-Ok, je monte, à plus.Charlotte me suis.-Moi aussi je suis HS, tu permets que je t’accompagne.-Bien sûr.Nous montons dans ma chambre, je me jette sur le lit et charlotte en fait autant. Elle vient se blottir contre moi.-J’aime m’endormir contre un corps chaud.Je passe mon bras sur son épaule et nous nous détendons jusqu’à nous endormir. Je ne sais combien de temps nous avons dormis, mais une sensation de bien être me réveil. C’est la main de Charlotte qui parcoure mon corps en me caressant doucement.— Excuse-moi de te réveiller, mais j’avais envie de te caresser.-Pas de problème.Comme je suis sur le ventre, sa main vagabonde sur mes fesses, elles remontent sur le dos pour repartir immédiatement sur mes fesses.-Pour un mec de ton âge, tu as des fesses très fermes.-17 ans à monter et descendre 90 marches 4 à 5 fois par jour, très souvent chargé, ça raffermi les fesses.-Je vois, tu peux t’occuper des miennes ?Elle se met sur le ventre, écarte les jambes, la tête sur ses bras repliés. Ma main se promène sur son dos, ses fesses, ses jambes et remonte vers l’entre cuisse. Un doigt effleure ses lèvres, elles sont très humides. Je me positionne entre ses jambes, me saisie de ses fesses que j’écarte et pose ma langue sur son anus. Elle donne un petit coup de rein pour me faire comprendre qu’elle en veut plus. Ma langue s’affaire sur sa rondelle et fait quelques escapades sur son sexe de plus en plus mouillé. Elle se retourne et je ma retrouve devant sa vulve d’où dépasse un clitoris de deux centimètres, une mini verge. Je le prends entre mes lèvre et l’aspire, le titille, exactement comme si je lui faisais une fellation.-Oui, continus, j’aime.Son corps s’agite, son bassin ondule, elle me prend la tête, la plaque sur son sexe et explose dans un cri de jouissance que toute la maison à du entendre.-Que c’est bon de se faire brouter le minou. C’est ce que je préfère, bien plus qu’une bite dans mon con ou mon cul, bien que vu l’état de ta bite, je devrais peut être m’en occuper.En effet, je bande dur. Elle se redresse, me met sur le dos et se couche sur moi. Elle se saisi de ma verge et la guide vers son puits d’amour. Elle s’empale dessus et son bassin s’agite de haut en bas.-Ne bouges pas, je m’occupe de tout.Ses va et vient son de plus en plus rapides, elle pose ses lèvres sur les miennes et nous échangeons un long baiser, jusqu’à ce que, n’y tenant plus, je me vide dans son sexe. Elle frémi, mais ce n’est pas l’explosion de tout à l’heure.-Sentir un jet de sperme m’inonder le con, c’est aussi assez plaisant.Elle se dégage, se met sur le dos en posant sa main sur mon ventre, qu’elle fait aller et venir de la poitrine au pubis.-Ce fut un très agréable week end, j’espère que Luc t’invitera de nouveau.-Je l’espère aussi, car mi décembre je subi une opération et la convalescence devrait durer 6 à 8 semaines.-Bon courage, je crois que je vais encore dormir un peu, tu permets ?-Bien sûr, je vais même t’accompagner dans les bras de Morphée.Nous nous retournons dos à dos, comme un vieux couple, et nous nous endormons en très peu de temps.
Le reveil fut agréable, mais ceci est une autre histoire
zooph34@gmail.com
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