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Un week-end particulier

Chapitre 7

SM / Fétichisme
Manon hésite, se lève et commence à se déshabiller. Elle plie ses affaires et les pose sur le fauteuil. Je la détaille. Elle a de petits seins, un ventre plat, de longue jambe. Elle a un ticket de métro, ses petites lèvres ressortent un petit peu, ses fesses sont fermes, elle fait du sport, cela se voit. Une fois fini, elle vient s’installer à côté de moi dans la position demandée.
Je prends un téton et le fais rouler entre mes doigts sans trop serrer. La réaction de Manon est immédiate, sa bouche s’entrouvre et laisse échapper de petits gémissements, ses reins ondulent.
— Tu n’es qu’une femelle, Manon, une chienne comme celle qui me suce en ce momentJe redresse la tête d’Aurélie en l’attrapant par les cheveux.— Va me chercher des pinces, godes, plug, martinet et chaines et à quatre pattes comme une chienne.Aurélie va dans la chambre, je peux voir son cul se tortiller, un appel à la saillir. — Suce moi, que je vois si tu es douée
Manon se penche et commence à me sucer. Elle est sur le côté, cela me permet de jouer avec son téton. Elle ne se débrouille pas trop mal, il y a encore un peu de travail, mais elle a un vrai potentiel de suceuse.Aurélie revient à quatre pattes. Elle a le martinet, les chaines, pinces et un gode, le tout dans la bouche. Elle va être obligée de faire plusieurs voyages. Je prends la cravache et lui en donne un grand coup sur les fesses en lui disant de se dépêcher. Elle a les larmes aux yeux mais accélère en me remerciant.Je fais relever Manon pour qu’elle me tende sa poitrine. Je prends les pinces, ce sont des petites pinces qui ne serrent pas fort. Je prends un téton et pose délicatement la pince, Manon fait une grimace. Je pose la deuxième. Je descends ma main sur la chatte de Manon et commence à la caresser. Sa chatte est trempée. Je la fais mettre à quatre pattes et la prends en levrette. Je rentre sans aucun problème, je lui claque les fesses tout en faisant de puissant va et vient. Manon jouit pendant que je me vide en elle. Je me rassieds, Aurélie est là, en position d’attente, un plug dans la bouche.— Mets lui dans le cul mais en douceur, elle n’a pas l’habitude, cela se voit.
Aurélie enduit l’anus de gel et en met sur le plug. Elle le présente et commence à enfoncer doucement. Je dis à Manon de se détendre, Aurélie s’y prend bien et finit d’enfoncer le plug. Une fois terminé, je demande à Aurélie de me nettoyer la queue avec sa bouche ce qu’elle fait avec plaisir et délicatesse. Manon reprend sa place. Je la regarde, elle a des cernes sous les yeux et un superbe sourire. Elle est heureuse. Je lui enlève les pinces, il ne faut pas qu’elle les garde trop longtemps pour une première fois.
Le talent d’Aurélie fait que je bande de nouveau. Je lui dis de se tourner et d’enlever son plug. Aussitôt enlever, je l’encule. Je prends le martinet et m’en sert sur le dos d’Aurélie et de Manon. Fouetté et baisé en même temps, que du bonheur. J’adore. Je sors du cul et la baise. Elle pousse un cri, tremble de tout son être et jouit en criant et en me remerciant en même temps. Je me vide et sors. Je demande à Manon de nettoyer ma queue ce qu’elle fait avec empressement.
Il est tard, je dis à Aurélie de s’approcher et lui enlève les pinces à seins. Ses tétons sont bien aplatis et ont un peu de mal à reprendre leur forme. Les lanières du martinet l’ont un peu marquée. Je caresse sa chatte. Aurélie réagit tout de suite. J’adore ce genre de femelle, toujours prête. Il est l’heure d’aller se coucher. Je leur fais enlever les plugs. Aurélie les nettoie avec sa langue, il ne doit plus y avoir de trace. Je prends les chaines et cadenas et attache les poignets et chevilles d’Aurélie. Je n’attache pas Manon, pour une première fois, je préfère la laisser libre. Elles se couchent ensemble dans le lit d’Aurélie, moi je dors seul. On dort mieux tout seul.
Quand je me réveille, le soleil brille. J’attends des bruits. Elles parlent tout bas, je ne comprends pas ce qu’elles disent. Je les appelle— Les femelles, venaient ici.
Des bruits de chaines et je vois les deux femelles à quatre pattes dans l’encadrement de la porte. Elles s’approchent du lit.
— Présentez vos culs. Je vais vous saillir à tour de rôle. Je veux que vous ayez les reins bien cambrer et que vous soyez l’une à côté de l’autre.
Elles se mettent en position. Je prends la cravache et me mets derrière Manon. Je vois sa chatte, une jeune chatte, luisante, une chatte qui attend le mâle. J’approche ma queue et la pénètre doucement, lentement. Quand je suis entièrement en elle, je donne quelques coups de cravache sur la croupe d’Aurélie. Je sors de la chatte de Manon pour m’enfoncer dans celle d’Aurélie et donne quelques coups de cravache à Manon. Un peu moins fort que pour Aurélie. Je recommence plusieurs fois, j’aime cette sensation. La chatte de Manon et un peu plus serrée que celle d’Aurélie. A force de faire des allers et retours, de voir ces culs rougis et marqués, alors qu’elles commencent à gémir de plaisir, je sens que je vais jouir. Je choisis de jouir dans Manon en lui donnant de violent coup de rein. L’effet est immédiat, je jouis et Manon aussi. Je regarde Aurélie et lui ordonne de se branler devant nous, à quatre pattes comme une chienne. Aurélie hésite, pour la décider je lui donne deux coups de cravache dans le bas des cuisses à la limite des genoux, deux belles zébrures apparaissent. Aurélie commence, on peut voir sa main chercher sa fente, ses doigts rentrer dans sa chatte, elle se branle et jouit très vite tellement elle est excitée.
On frappe à la porte d’Aurélie, c’est Claire qui dit à travers la porte :
— Debout, Aurélie, il va falloir libérer les chambres et s’occuper de nos clients.-Oui, j’arrive Claire, je ne suis pas encore prête, descend, je te rejoins.
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