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Un week-end particulier

Chapitre 9

SM / Fétichisme
Cinq ans plus tard
J’ai rendez-vous avec Manon. On ne s’est pas revu depuis ce fameux week-end. Je n’ai pas eu de contact avec elle et aujourd’hui, elle a souhaité me rencontrer. C’est le mois de mai, il fait beau. On a rendez-vous dans un restaurant à midi. J’arrive le premier, je choisis d’être sur la terrasse. Je prends une table dans un endroit calme au pied d’un oranger avec vue sur le parc. Je suis content de revoir Manon, je veux savoir comment elle a évolué, ce qu’elle devient.
Je la vois arriver. Elle n’a pas changé, souriante, sa silhouette est toujours aussi fine. Elle a une robe blanche avec des grosses fleurs, elle se boutonne par-devant. Une robe printanière pour le printemps. Elle vient m’embrasser et s’assied en face de moi en faisant une toute petite grimace.
Nous commandons le menu du jour et un kir pour fêter nos retrouvailles. Au cours de notre discussion, j’apprends qu’elle a fait un doctorat de physique. Je n’ai pas bien compris son histoire d’arc électrique et de déperdition d’énergie, mais toujours est-il que sa thèse était sur ce sujet. Elle est toujours seule et n’a pas trouvé l’âme sœur. Je la laisse parler. Elle donne des cours à l’université et se destine à être chercheuse. Au détour d’une phrase, elle me demande :
— Avez-vous revu Aurélie.
— Bien sûr, même beaucoup plus. Dès le lendemain, j’avais un mail de sa part.
Je prends ma tablette et ouvre le mail. Je l‘ai gardé. On reçoit très rarement ce genre de mail. Je laisse Manon le lire.

Monsieur
Je vous envoie ce mail comme convenu.
J’ai très mal dormi et j’avais très envie de vous écrire. Il est 6 heures du matin, je n’ai pas encore été voir à la boîte aux lettres.J’espère que la présentation que je vais faire va vous convenir.
J’ai 35 ans, je pèse 55 kg pour 1m72. Je fais du 85c,70,85. Je suis orpheline depuis l’âge de 15 ans. Mes parents m’ont laissée en héritage deux immeubles sur Paris, la maison où nous habitons et une société. Je n’étais pas très proche de mes parents, j’étais en pension depuis l’âge de mes huit ans et aux vacances, ils m’envoyaient en colonie de vacances. Ils m’ont eu par hasard et ont toujours regretté. Ils se sont tués dans un accident d’hélicoptère, c’est mon père qui pilotait. C’est ma grand-mère qui s’est occupée de moi. Elle était très gentille et je me suis sentie aimer. Elle est décédée l’année dernière et j’ai eu un immense chagrin.
J’ai été dépucelée par des jeunes. Je n’ai rien senti, j’avais beaucoup bu et je ne me rappelle pas de grand-chose. C’était à la fin des vacances d’été, lors de mon anniversaire pour mes dix-huit ans. Ils étaient au moins cinq peut-être six. Ils m’ont prise plusieurs fois et par tous les trous. Je n’ai eu aucun plaisir et j’avais surtout envie de vomir tellement j’avais bu.

Ensuite j’ai enchainé les rencontres sans y trouver beaucoup d’intérêt jusqu’au jour ou j’ai été abordée par un homme de cinquante ans, j’en avais vingt. Sa façon d’être, de faire m’ont plu. C’est lui qui m’a initiée à la soumission et qui m’a achetée plusieurs objets.
J’ai découvert le plaisir d’obéir, la punition, mon masochisme, mon envie d’appartenir à quelqu’un. J’ai aussi découvert la jouissance. J’ai adoré tout cela. Un jour, cela faisait un an qu’on se connaissait il a disparu et je n’ai plus eu de nouvelle. Cela a laissé un grand vide et plein de fantasme.Malgré mes recherches, je n’ai jamais réussi à le retrouver. Au bout de six mois, je suis passée à autre chose. J’ai essayé les plaisirs saphiques qui ne m’ont pas apporté de satisfaction. J’ai fait d’autres rencontres sur le thème de soumission mais je ne devais pas être prête et j’ai été très déçue.
J’ai rencontré Rémy et nous nous sommes mariés sous le régime de la séparation des biens. J’ai peu à peu oublié mes envies de soumission. Quand on a voulu faire un enfant, on s’est aperçu que Rémy était stérile ce qui a mis un terme à sa virilité qui n’était déjà pas vaillante. Rémy est très peu porté sur le sexe et j’ai de plus en plus de mal à supporter ce manque. Après en avoir discuté avec lui, il a convenu cela ne le dérangerait pas que j’aille voir ailleurs. J’en ai profité sans vraiment y trouver un grand plaisir. C’était pour sentir que je plaisais. Cela me réconfortait.
Je me suis tournée vers le travail et j’ai créé cette société de rencontre. Elle a pris de l’ampleur, j’en suis la PDG et Rémy est le directeur. Nous faisons un bon chiffre d’affaires et notre bénéfice a été multiplié par 5 en deux ans.
Quand votre annonce est arrivée, nos modérateurs voulaient la supprimer, c’est moi qui leur ai dit de la laisser paraître. J’ai demandé aussi, à ce qu’il fasse une enquête sur vous. Votre annonce a réveillé en moi tous ces merveilleux souvenirs. Le soir même, je suis allée au grenier ressortir tous les jouets que vous avez vus. J’ai caressé longuement la cravache et je me suis masturbée. La jouissance a été forte, intense.
Le lendemain, j’ai demandé aux modérateurs où en était l’enquête. Ils n’avaient rien trouvé de spécial, vous aviez l’air clean. Vu votre âge, vous ne pouviez pas être le maître que j’avais eu.
J’ai longuement cherché un moyen de vous rencontrer quand on s’est aperçu que votre annonce était lue plusieurs fois par la même personne. C’est à ce moment que j’ai eu l’idée de faire ce séjour. J’ai dit à Carole que vous y seriez et, pour être sûr que vous veniez, je vous ai fait la gratuité. Vous connaissez la suite.
Voilà, il est 9 heures, Rémy est parti travailler. Je vais aller à la boîte aux lettres. Je suis très excitée.
J’ai bien trouvé l’enveloppe comme promis. J’ai ouvert le cadenas et j’ai tiré sur la ceinture. Le gode de devant est sorti sans souci, plein de mouille, celui de derrière a eu plus de mal mais après une ou deux tentatives est sorti aussi. Je me suis sentie toute vide. Je me suis caressée et j’ai tout de suite joui.
Mon anus a du mal à se refermer et mon vagin est irrité et j’ai très mal à mes tétons. Mais, je vous dis merci, merci, monsieur pour tout. Le fait que j’ai mal me rappelle qui je suis et qui je veux être.
Alors, Monsieur, pour vous convaincre encore plus, si cela est nécessaire, je vous ai fait une lettre manuscrite de servilité et d’esclavage. Je l’ai scanné et je vous la mets en pièce jointe. Si vous acceptez, elle sera sur la table de la salle à manger.
Votre chienneAurélie
Pièce jointe
Le 26 mai 2015
Moi, Aurélie Montout, saine d’esprit, accepte par la présente d’être l’esclave de Monsieur Thomas Martin.
Monsieur peut disposer de moi comme bon lui semble. Il a tout droit les droits. Mon corps lui appartient.
J’obéirai à tout ordre quel qu’il soit. J’accepte d’avance toutes exigences.
Monsieur peut me punir quand il veut, comme il veut où il veut.
Moi, Aurélie Montout, promet d’obéir et d’être toujours prête à satisfaire les désirs de monsieur.
En signe de soumission, je remets à Monsieur les numéros de mes comptes en banque, lui donne mes cartes bancaires ainsi que tous les codes. Il a une procuration et peut disposer de mes comptes comme bon lui semble. Je ne disposerai d’argent que si Monsieur veut bien m’en donner.
Monsieur pourra accéder à mes mails, lire tous mes courriers. Que ce soit professionnel ou personnel.Monsieur a la jouissance de mes biens, maison et appartements.
Signé Aurélie Montout
— Elle vous a envoyé cela ? Je n’en reviens pas .  Quand nous étions au lit, elle m’a dit qu’elle rêvait de vous appartenir mais je ne pensais pas qu’elle mettrait son projet à exécution. Et vous avez accepté ?
— Oui, elle est une de mes esclaves.
— Pensez-vous qu’elle est heureuse.
— Oui, je crois, même j’en suis sûr. Elle est resplendissante depuis qu’elle est annelée. Elle est annelée aux tétons, grandes et petites lèvres. Elle a un anneau dans le nez. Elle a aussi une barrette sur le capuchon du clitoris. Je lui fais mettre de temps en temps, ainsi son clitoris ressort et a une sensibilité exacerbée. Vu qu’elle a déjà une tendance à jouir facilement, je te laisse imaginer ce que cela donne. C’est d’ailleurs la même chose pour Carole.
— Vous en avez d’autres ?
— Oui Carole et Céline
— Bien sûr, je suis bête
Elle bouge un peu sur sa chaise.
— Il y a quelque chose qui te gêne dis je avec un petit sourire ironique
Manon me regarde, souris.
— Je me suis dit que pour ce rendez-vous, il fallait que je me mette dans de bonnes dispositions. J’ai mis le plug, celui que vous m’aviez mis dans le car et j’ai ajouté des pinces à tétons. J’ai acheté sur internet les mêmes que celles d’Aurélie.
J’ai remarqué que l’on voyait bien ses tétons, je comprends mieux. Elle continue.
— Depuis ce fameux week-end, de temps en temps, quand l’envie se fait trop forte, je mets le plug et je circule ainsi. Je me demande à chaque fois ce que vous diriez. Je vous imagine à mes côtés en train de faire des commentaires et surtout de me donner des ordres. A chaque fois c’est la même chose, il faut que je rente vite à mon appartement. Aussitôt arrivée, je me caresse.
Nous avons terminé le repas et venons de prendre le café. Je propose à Manon d’aller marcher sur le chemin de halage. Elle accepte. Nous nous promenons tout en discutant. Je lui dis que mes trois femelles sont très obéissantes et que c’est un vrai plaisir de les avoir. Carole vit avec nous. Rémy, le mari d’Aurélie, a choisi de rester. J’ai accepté à la condition qu’il s’occupe de tout ce qui est administratif. En fait, je me suis aperçu qu’il aimait cela. Il aimait être cocu, il aimait que je lui donne des ordres. J’en ai profité, je lui ai ordonné de commander des cages de chasteté, une en fer et une autre en plastique. Depuis, il est toujours avec une cage et il sert de larbin.
Nous nous asseyons sur un banc, je regarde Manon, je continue :
— Céline, c’est autre chose, elle n’est pas encore annelée, mais je m’amuse à la fister. C’est une femme fontaine. Ses tétons sont très sensibles, j’adore jouer avec. Par contre, c’est une piètre suceuse, je suis en train de l’éduquer à ma manière. Elle a très souvent le cul rouge mais elle fait beaucoup de progrès.
Nous recommençons à marcher. Je regarde Manon, elle a les yeux brillants.
— Accepteriez-vous une quatrième femelle ? J’ai tellement envie que vous vous occupiez de moi.
-Déboutonne le haut de ta robe.
Manon le fait sans hésiter. Je regarde. Les pinces sont là, les tétons légèrement aplatis. Je fais un tour de vis supplémentaire. Les tétons sont bien aplatis. Manon reboutonne sa robe.
— J’ai tellement rêvé de ce moment, me dit Manon.
Nous nous écartons du chemin, il y a un bosquet pas loin. Je baisse mon pantalon, lève la robe de Manon et la prends. Elle est trempée. Je jouis très vite sans m’occuper d’elle. Je me rhabille. Manon baisse sa robe. Je la regarde.
— Demain soir, tu viens avec ta valise. Voilà l’adresse.
Manon prend le papier que je lui tends, me regarde.
— Merci Monsieur, je serais une bonne femelle.
Je m’en vais sans me retourner, heureux.
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