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Week-end triolisme zoo

Chapitre 3

Zoophilie
Je dormis mal cette nuit là, j’étais encore sous le choc de l’intense plaisir que j’avais pris de m’être faite prendre analement par un chien, pour la première fois.
Je me levais discrètement, pour ne pas réveiller Cédric, qui dormait toujours profondément et pris une douche rapide. Hier soir, nous étions trop crevés pour nous laver et voulions aussi garder nos odeurs de mélange de spermes et de cyprine.
Je décidais de préparer le petit déjeuner, Gypsis, était réveillé, quand je le vis, mon sang ne fit qu’un tour et les souvenirs de notre baise bestiale d’hier soir commencèrent à me faire perdre mes esprits. Je n’avais plus qu’une envie : me jeter sur la queue de ce chien, le sucer à nouveau et me faire prendre vaginalement cette fois-ci. Mais dans l’immédiat, j’avais faim et Gypsis bien qu’il sembla également excité, avait d’autres besoins à assouvir : une petite promenade matinale.
Je réveillais donc Cédric, car bien que son chien m’eut donné beaucoup de plaisir, je ne me sentais pas le droit de le promener seule. Nous prîmes un rapide petit déj., j’en profitais pour révéler à Cédric que bien que notre baise d’hier soir était super pour moi, j’en voulais plus, je voulais me libérer totalement de toute pudeur et entrave de moralité.
Il me précisa qu’il avait déjà planifié quelque chose pour moi, mais c’était une surprise. Nous nous sommes préparés rapidement, toute excitée à l’idée de ce qu’il m’avait préparé, imaginant les plus folles parties de sexe, avec d’autres hommes peut être ou me faire prendre publiquement par son chien ?
Gypsis fit son petit tour très rapidement et ensuite en voiture dans le break de Cédric, pour une destination inconnue. Cédric s’arrêta en cours de route pour récupérer un copain de son âge, Patrick, qui s’avéra être également Escort Boy. Il avait un sac avec lui, je me demandais pourquoi. Je m’imaginais des scénarios à quatre au lieu de trois. Comme il y avait environ une heure de route, Cédric fit basculer les sièges arrières et me proposa de passer derrière avec Patrick, pour que nous fassions plus amplement "connaissance", et Gypsis. Cédric me demanda en redémarrant si je voulais être sa "soumise" pour ce week end et faire tout ce qui me serait demandée. J’avais trop envie de continuer de jouir, alors ce fut UN GRAND OUI !!!!!!
Il me demanda de m’occuper de Patrick et de faire tout ce que ce dernier me demanderait. J’étais devenue leur pute. Patrick voulait me voir pour commencer, branler Gypsis, je m’exécutai aussitôt, non sans déplaisir. Rapidement Gypsis banda très sec et voulu me monter. Patrick me demanda d’enlever mon slip et de me mettre en position levrette, tout en gardant ma jupe et le haut. Dès que je fus en position, Gypsis vint derrière moi, tâtonna un peu en donnant des coups de butoir en l’air et rapidement trouva l’entrée de mon vagin cette fois-ci. Dieu que c’était bon, j’étais déjà très mouillée, mais là je me transformais en femme fontaine. Patrick qui voulait en profiter également commença à remonter mon haut, dégagea mes seins du soutien gorge et les caressa doucement. Puis, il me dit : "tu veux souffrir", je répondis "oh oui" en criant de jouissance continue, alors il décida de me maltraiter mes seins : il les pinça, les malaxa fortement, puis tordit mes tétons, il me téta comme un bébé en me mordant mes tétons. J’avais mal, mais c’était trop bon à nouveau, comme la sodomie à sec d’hier soir par Cédric. Il me redit, "tu veux vraiment souffrir", "oh oui" répondis-je en criant car Gypsis qui était en super forme, vu qu’il ne m’avait pas baisée depuis hier soir, me pilonnait toujours ardemment.
C’était plus intense qu’hier soir encore, alors j’hurlais de plaisir, pendant que Cédric conduisait et je m’aperçus que Patrick avait sorti de son petit attirail une bougie et des allumettes. Je lui dis que j’avais peur, c’était une première pour moi. Il fit fondre de la cire, releva mon haut et en fit couler sur mon dos, je criais de douleur cette fois-ci. Il me demanda de me redresser un peu, et en fit couler sur mes seins, puis sur mes tétons, j’eus très mal et je continuais de crier de douleur. Il ne me laissa aucun répit et me tordit mes tétons couvert de cire. J’en pleurais, Gypsis lui, était en train de jouir, j’avais à peine senti son noeud se former et j’étais à nouveau bloquée, mais vaginalement cette fois-ci. J’attendais comme hier d’être libérée du sexe de Gypsis, mais le chien ce samedi en décida autrement. Patrick lui lança un "vas-y Gypsis" et tout à coup, Gypsis tenta de libérer son sexe de mes entrailles, il voulu s’éloigner de mon sexe en tirant au maximum. J’ai très peur, j’avais l’impression qu’il allait m’arracher mon vagin et mon utérus. J’essayai de le retenir en attrapant ses pattes arrières, mais Patrick en profita pour me lier les poignées avec une corde sortie également de son attirail. Patrick et Cédric encouragèrent Gypsis à continuer de tirer pour libérer son sexe de mon vagin.
La situation m’échappait complètement, mes seins et mon vagin n’étaient que douleur. Patrick, lui, mes fesses en l’air étant dégagées partiellement de l’emprise du chien, en profita alors que j’hurlais de douleur, pour me sodomiser d’un coup. Je n’avais pas vu son sexe, mais d’après ce que je ressentis, il semblait plus épais et plus court que celui de Cédric. Je n’avais plus aucune envie de sexe dans l’immédiat, et bien que j’adorais la sodomie en général, cette enculade me fit énormément souffrir, tellement j’étais contractée. Après le chien, ce fut au tour de Patrick de me pilonner violamment en m’insultant : "ah tu aimes la queue, tu vas en avoir aujourd’hui de la queue, ce n’est qu’un début, tu ne sais pas ce qui t’attends salope, tu n’es qu’une grosse merde, un sac à foutre et tu vas en bouffer du foutre." Mon week-end d’initiation à la zoophilie commençait à tourner en viol humain. Gypsis avait finalement, sans que je puisse résister pour l’en empêcher, à se libérer de mon vagin, qui n’aurait pu supporter aucune autre pénétration avant un bon moment, humaine ou canine.
Cédric prévint Patrick que nous n’allions pas tarder à arriver, et d’éviter d’éjaculer pour l’instant, vu la suite qu’ils me réserveraient. Qu’elle suite me demandais-je ? Un nouveau sentiment de peur intense me prit.
Suite au prochain épisode.
Fantasmant vôtre.
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