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zavez pas vu mon sexe ?

Chapitre 1

Divers
Zavez pas vu mon sexe ? Vous ne le verrai qu’en vous masturbant. Je suis doublement sexué: si une femme se donne du plaisir je suis les trois quart du temps avec une belle bite. Si vous êtes un hommes j’ai une chatte. Je sers souvent, heureusement que je ne suis pas seul nous « couvrons » en principe plusieurs quartiers: les gens se masturbent séparément à n’importe qu’elle heure. J’en tire un plaisir immense: j’ai mes préférences, si les mâles se branlent un peu plus que les femmes, je gagne de plus en plus de terrain de ce coté là. Nous avons du augmenter nos effectifs à cause des nanas. J’aime être leur accompagnateur de leur fantasmes que je crée à leur demande. En plus leurs orgasmes sont plus profonds que ceux des hommes qui ne contentent de peu, alors que les femmes se laisse aller à plusieurs branles consécutifs. Et puis physiquement je suis bien mieux servi avec les gonzesses. D’abord j’adore leur corps et leur chatte. C’est quand même plus attrayant un corps de femme avec des jolis seins qu’un corps quelconque avec une poitrine de gringalet. Sans parler d’une chatte qui mouille à coté d’une bite qui bande pour un rien. Tout à l’heure j’étais aux cotés d’un fille de 18 ans, tout juste qui après de multiples essais infructueux, hors de ma présence,(j’ai des oublis parfois) s’est remise à un dernier essai avant abandon: J’ai réussi à la faire se déshabiller, elle s’en ai caresser les seins, chose à laquelle elle n’avait jamais penser: ces jeunes oublient souvent les principes. Ses mains sont descendues le long de son corps pour caresser le ventre et les cuisses. Elle a osé (heureusement que je l’ai poussé) caresser l’intérieur de ses jambes pour arriver sur sa chatte qui cette fois mouillait normalement. Je suis entré dans son esprit pour lui donner des idées cochonnes. Elle voyait son voisin de lycée, celui qui lui disait qu’elle était désirable, il était nu. Je m’efforçais de lui montrer le sexe bien dressé. Comme elle n’en avait jamais vu, pour moi c’était facile: je lui montrais Rocco Sifredi. Sa main droite était sur son clitoris. Elle l’avais déjà caresser sans arriver à ressentir le plaisir envahir son ventre. Aujourd’hui, mercredi après midi, seule dans l’appartement elle pourrait donc profiter de sa solitude. Elle voyait bien ce que je lui montrais: une bite en extension, prête à lui transpercer le cul. A peine touché son bouton commençait à réagir. Il lui semblait être prise par une grosse bite. Je l’avais assez excité pour qu’elle sente la bite entrer dans son vagin. Il lui semblait sentir la pénétration. Son bas ventre allait et venait d’avant en arrière comme si elle baisait. D’un seul coup elle sentait l’explosion de son orgasme dans son ventre. Elle se tendait des talons à la tête. En arc de cercle, elle subissait ce nouveau plaisir qui la faisait jouir pour sa première fois. Je la laissais avoir envie encore de jouir. Sa première découverte la poussait grâce à moi vers la recherche d’encore un plaisir. Elle avait raison j’étais là pour ça. Cette fois, mon esprit libertin me poussait à lui fournir un autre fantasme. Je choisissait un rêve érotique bien différent. Je lui donnais une compagne, une de ses copines qu’elle aimait bien comme camarade, pourquoi pas comme amante ?Elles étaient couchées, nues sur la plage déserte (il ne faut pas mettre des idées folles dans la tête des débutantes) où elles bronzaient. Sa copine avait envie d’elle et lui donner sa bouche. La langue de ma protégé sortait de sa bouche comme pour échanger un baiser, celui que lui donnait sa copine. Bien sur elle lui caressait encore la poitrine. Cette fois elle se faisait mal en tirant sur les tétons qui durcissaient. Elle a passé ses deux mains sur ses fesses jusqu’à passer un doigt entre les deux. Elle a aimé beaucoup quand elle a entré le doigt dans l’anus. Elle la fait aller et venir jusqu’à le rentrer complètement: elle l’a laissé dedans comme ça, rien que pour le plaisir d’avoir son cul occupé. Ensuite je l’ai poussé à revenir sur son clitoris. Elle s’est encore caressé jusqu’au moment où je lui ai soufflé de mettre deux doigts dans le con. Elle a hésité un instant avant de le faire, elle avait peur d’en perdre sa virginité. (Je me fous totalement de la virginité des filles) Elle a lentement mis ses deux doigts. Quand elle a compris qu’elle en retirait du plaisir elle a continué longtemps.Elle était donc avec sa copine, sur le plage, quand la main est venir sur sa chatte pour mettre deux doigts dans son vagin. Ca la faisait frémir, elle savait qu’elle allait jouir de cette intrusion. Elle a senti la bouche de sa copine venir sur son sein lui léché le téton. Son sein gonflait comme jamais. Elle a encore jouit quand les bouches ont échangé un ultime baiser. Je l’ai laissé digéré cet orgasme. J’avais un autre client, juste en face. C’était un jeune de 16 ans qui se masturbait souvent, trop souvent, au risque de devenir sourd, lui avait dit le médecin de famille alerté par sa mère. La surdité ne lui faisait pas peur, alors plusieurs fois par jour il se branlait. Je n’aimait pas trop les jeunes ados. Je préfère les adultes mariés qui sont plus sages en se branlant beaucoup moins, qu’ils sont hommes ou femmes, quoique les femmes exagèrent aussi souvent: je suis payé pour le savoir. Enfin j’arrivais chez ce jeune qui assis sur son lit, habillé, avait déjà une belle queue dehors Je n’hésitais pas, je lui donnais de rêves insensés: il était avec une tante bien plus vieille que lui. Il l’avait vu une fois presque nue quand elle prenait son bain. Son vague souvenir était un sein mal caché ainsi qu’une fesses coincée dans un slip. Je lui faisait voir le reste, sa chatte épilée, son petit trou dans lequel il entrait sa queue. Je m’arrangeait pour que le cul soir très serré pour qu’il jouisse rapidement. Son jet peu abondant montrait qu’il n’en était pas à sa première fois du jour. J’ai été chez une autre fille: une femme marié qui venait d’être baisée par son amant. Je ne savais pas ce qu’ils avaient fait: en tout cas, elle voulait encore jouir. Ce n’est qu’en entrant dans son esprit que j’ai su qu’elle voulait une sodomie, qu’il l’avait simplement baisée par manque de temps. C’était relativement simple pour moi: comme elle était toujours nue, qu’elle avait déjà jouit, je savais que je la ferais partir facilement. Elle était encore avec son amant qui couché sur le dos, la lui mettait dans le sexe. Elle appelait à l’aide pour son cul: son mari l’entendait et venait la sodomiser. Son mari est bien venu, pas pour l’enculer comme elle le voulait, il l’a simplement entré sa main en commençant par l’index et le pouce, toute sa main dans l’anus: elle en criait de douleur, au début, d’autant plus que c’était sa main qui agissait. En réalité ses cris n’étaient pas de douleurs, elle jouissait continuellement. Normalement son mari se contente de l’enculer, c’est son amant qui la fiste longuement comme elle se fait seule. J’étais fier de moi: c’était la première fois qu’elle se branlait ainsi. Quand elle s’est levé, je suis resté un moment à ses cotés: elle avait toujours le trou ouvert qui se refermait lentement. Pour la contenter totalement je lui ai soufflé de se masturber normalement. Les doigts de sa main droite on simplement changés d’endroit; cette fois elle en a mit deux dans le vagin, les autres sur le clitoris. J’étais réellement fier de mon travail de pousseur à la masturbation. J’ai souvent affaire aux anges gardiens: je gagne toujours sur eux grâce à mon arme, la tentation.
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