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Zones érogènes

Chapitre 2

SM / Fétichisme
Et puis les années ont passé et les coquineries de mon épouse Jeanne ne me suffisaient plus ...
J’étais souvent en manque de jouissance via les tétons. Du coup il m’arrivait de me les agacer seul en les "pinçottant" et je réussissais à me faire bander ainsi !
Je faisais ça hors de la présence de Jeanne, lors de mes promenades solitaires dans la nature.
En été, je me mettais souvent torse nu afin de bronzer au soleil montagnard. Mes tétons étaient donc très facilement accessibles et j’avais alors tout loisir de les triturer à tour de rôle. Parfois, je me les pinçais assez fort, ce qui ne manquait pas de me faire bander dans mon slip. D’ailleurs ce dernier (slip) était bien marqué des traces de "pré-cum" comme disent les anglophones ...Bref, j’étais devenu accro aux plaisirs que peuvent procurer les seins chez un homme.
Plus le temps passait et plus j’éprouvais le besoin d’inventer de quoi accentuer ma jouissance !
Un beau jour me vint l’idée d’emporter des pinces à linge dans mon sac à dos.Je n’eus alors de cesse que d’expérimenter ces "instruments" qui me promettaient peut-être un plaisir différent de celui que je connaissais déjà.
A ma première rando, je m’assis sur un vieux tronc à l’écart du chemin, je sortis mes pinces à linge et j’en appliquai précautionneusement une au bout de mon téton gauche ... La douleur fut surprenante, même si c’était très tolérable et, rapidement, j’éprouvai le besoin d’appliquer la même punition à mon sein droit. Le résultat ne se fit pas attendre : je bandais comme un âne alors que les pinces me pressaient fort les tétons. Je dus arrêter ce supplice de peur d’éjaculer sans avoir à me toucher la queue !
C’était une sensation bizarre : une douce douleur qui m’amenait assez vite à une sensation de début de jouissance, c’était assez excitant !
Bien entendu, après m’être torturé plusieurs fois les seins, j’avais le devant de mon slip trempé et je dus me soulager en me masturbant rapidement sur le bord du chemin au risque d’être surpris par un autre randonneur.
Je renouvelai l’expérience à plusieurs reprises, toujours avec les mêmes sensations mais, plus le temps passait, plus j’avais besoin d’accentuer la pression des pinces. J’essayai donc différents modèles plus ou moins "puissants" et je rajoutais parfois une surpression avec mes doigts qui appuyaient sur les mors des pinces : c’était divin !
Et puis, comme on peut s’habituer à tout, ce jeu finit par ne plus me suffire : je devais impérativement trouver autre chose pour me faire jouir ...
Je possédais un jeu de "butterflies" stimulateurs destinés à me muscler le corps sans effort. L’idée me vint de les utiliser avec une électrode sur l’un de mes tétons. Je débutai par une séance à très faible intensité mais je sentais très distinctement les décharges alternées de l’engin : ça me picotait très agréablement le téton, ce qui me fit immédiatement bander. J’augmentai l’intensité (5 positions possibles) et j’aboutis presque à l’éjaculation !
Mon second téton subit le même traitement après que j’eus pris le soin de l’humecter avec ma salive. Le courant électrique passa mieux et ça me fit sursauter à chaque passage ... J’avais trouvé le jouet idéal pour me faire jouir n’importe où sans trop de mal.J’arrivais à "tenir" malgré la position 5 (max) mais j’étais à chaque fois à la limite de juter dans mon slip. Ma pré-jute maculait mon slip à chaque fois. J’arrivai même à me faire juter sans les mains de cette façon mais l’éjaculation était lente et je jutais par surpression, mon sperme s’écoulant lentement par le méat et coulant le long de ma hampe. Néanmoins, l’orgasme était différent et durait plus longtemps qu’avec Jeanne !
A + pour la suite ?
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