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Zorro

Chapitre 1

Trash
La vengeance de Zorro sera terrible. Il sait que le sergent Garcia lui veut du mal. Or le sergent d’extraction discutable a une femme, pas plus belle qu’une autre, mais suffisamment pour lui permettre lui montrer ce qui en faisait un homme. Il savait bien quelles différence entre un garçon et une fille. Lui le savait par ouï dire, mais elle ? Dans un endroit à l’ombre, juste à coté du soleil de la Californie *, il avait une envie simple, lui monter son zizi. En plus si elle voulait bien le lui toucher, le caresser comme on lui avait dit, il était d’accord. Carmen n’était pas de celles qui succombent. Elle suivait les coutumes de l’époque (fin XIX°) : si tu touche zigounette, tu maris d’abord ! La rareté des filles, le besoin, le désir inexprimé, la coutume ont fait que presque obligé, Garcia se trouve marié presque contre son gré, pour le bonheur de Carmen. Il savait bien qu’il pourrait s’échapper de cette encombrante moitié en partant faire des campagnes de chasse à l’homme : Zorro.Pourtant tout commençait bien. Leur première nuit, dans une auberge de l’ouest futur américain était presque une catastrophe. Carmen, instruite pas sa mère savait déjà ce qui l’attendait. Il lui tardait de gouter au sexe de Garcia qui disait on était bien doté. Elle savait bien que la moitié de son bonheur futur passait par le sexe d’un homme. Elle était presque nue (pas totalement pour obéir aux coutumes locales), offerte, dans la position recommandée par maman. Garcia, dans un mouvement généreux était lui, tel que la nature l’avait fait. Carmen savait vaguement qu’un homme était muni d’un engin en haut des jambes. La vision d’un sexe, surtout de Garcia la rendait nerveuse. A quoi ce machin allait lui servir. Ce truc venait presque sur elle, écartait une vague culotte pour s’introduire dans fente ? Cette fente qu’elle défendait depuis le début avec insistance. Pourtant cette bite (appelons les choses par leur noms) était pressée d’entrer, de perforer le ventre de Carmen ; Garcia sans se préoccuper de sa femme venait en elle. Il la baisait plusieurs fois devant, derrière (où lui avait dit que ce n’était pas mauvais par ce chemin embourbé). Carmen ne ressentait que des faibles douleurs, pensait que c’était normal. Pour Garcia, le fait de jeter son sperme montrait qu’il avait jouit et donc qu’elle aussi…..C’est un peu après qu’il pourchasse Zorro, le brave Zorro. Il rumine longtemps sa vengeance. Il voit madame Garcia une seule fois. Il en tombe raide amoureux. Il voudrait bien la faire tomber dans ses filets. Séduire une femme d’un sous officier mexicain n’est pas simple. Un sous off chicano a une belle situation, stable, enviable. Alors aller se compromettre avec un rien du tout comme Zorro, qu’elle femme sérieuse pourrait y penser ? Carmen, sensible aux on dits pensais bien que Zorro était un homme, un véritable homme avec tout ce qu’il fallait, mieux que Garcia. La malheureuse !Bien sur Zorro avait une queue, deux couilles, des mains caressantes, une bouche enveloppante certains endroit féminins. Ah, ces endroits féminins que personne ne lui touchait. Elle le voulait et Garcia détestait se salir la main avec un liquide nauséabond venant d’un endroit par où elle faisait pipi. Tout en pensant à Zorro, comme beaucoup de femme de Californie, elle se caressait souvent, le soir, après le souper léger, au lit en cachette de Garcia. Elle avait des pensées indignes en se voyant la victime consentante de Zorro. Elle imaginait même des instants chauds, très chauds où elle était sur Zorro, son sexe emboité dans celui de son héros. Ses doigts servaient pour l’amour fait avec lui en pensées. Et Garcia restait en dehors de ses rêves, de ses orgasmes. Carmen faisait pas mal de randonnée à cheval, le seul moyen pratique de se promener. Un jour, elle tombe, légèrement mais une fois au sol la seule personne qui la relève est un beau cavalier blanc : Zorro. Un éclair monte aux nuages, où l’inverse, comme vous voulez, un désir inavoué se montre. Lui aussi a brusquement envie d’elle. Elle était muni de ce qu’il fallait pour une femme de l’époque : des seins à rallonge, de larges hanches, des jambes longues jusqu’au fesses.En un espagnol parfait que je n’oserai reproduire ici par peur de diminuer ce récit de tout le suspense requis, il lui dit, en vrac, qu’elle est belle, qu’elle lui plait, qu’il la veut qu’il est près à franchir le pacifique (le Rubicon est trop loin) au cas improbable où elle ne voudrait pas de lui. Elle en rajoute en disant qu’il est vrai Caballero, un amant possible, un bel homme….Ils ne roucoulent pas longtemps. L’hacienda proche est plus que parfaite pour eux. Bien sur en femme bien élevée, elle met un long moment avant de se mettre toute nue comme le veut Zorro. Quand elle voit les attributs parfait de cet homme, elle est conquise rien qu’à l’idée de se faire mettre par une si belle queue. Il est à peine sur elle, près à entrer dans son con, qu’elle a déjà les jambes sur son dos. Elle ne se donne, pas, elle ne s’octroie pas, elle se sacrifie pour l’honneur de Garcia, dont elle se fiche éperdument. En parfait gentleman-farmer Zorro devrait la niquer……. Et ça la légende n’en parle pas, ne dit pas comment était sa bite, comment était la chatte de madame, comment était le jus des deux. Nous vivions dans une ignorance voulue. On nous cache tout. Honte à la censure opiniâtre, délibérée !!!!!!*La Californie était espagnole jusqu’au moment où les yankees, exploiteurs conquérants y mette la main et le reste dessus dans leur course vers l’ouest (En allemand nacht West)
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