Tout est dit ci-dessus mais ici c'est le top de la médiocrité. Dommage, l'histoire aurait pu être agréable.

Ce texte n'a bénéficié que d'une correction très rapide de manière à désengorger le stock de récits en attente de publication, Mira. Eh oui... chacun se sent une âme d'auteur sans en avoir les talents !

Sucré-Salé, je ne m'en prends pas à Mira, pour qui j'ai beaucoup de sympathie : je ne lui apportais qu'une information. Et si je m'adressais à elle, c'est d'une part parce qu'elle était la dernière intervenante et que, d'autre part, nous avions déjà débattu de ce sujet auparavant. Pourquoi y voir de l'agressivité ? Je ne comprends pas ta réaction.

Quant au recrutement de correcteurs pour la période des vacances, je suppose que les rares qui se sont proposés n'ont pas franchi avec succès les épreuves de sélection. Je le déplore, car même en laissant passer quelques (rares) fautes, les corrections qu'ils auraient effectuées auraient été de bien meilleure qualité que celles qui ont été appliquées "à la louche" depuis quelque temps.

Sans rancune !

Dernière modification par Lioubov (Le 15-10-2012 à 18h06)

Cool

C'était une méthode différente à cette époque.
Chaque texte passait par un correcteur qui était chargé d'en corriger les fautes (et, je suppose, de vérifier sa conformité à la charte). Sauf que ça prenait du temps et, par moment, le nombre trop important de textes bloquait le processus. Les délais de publications devenaient alors trop énormes. L'administrateur n'avait donc pas d'autre choix que d'ouvrir les vannes pour soulager les correcteurs et réduire les délais. En conséquence, plusieurs récits de ce genre ont ainsi pu être publiés.