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Moochette
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07-07-2022
809 Messages
Genre : Femme
Age : 51 ans
Lieu: J'ai bien une idée...

Encore réveillée à la moitié de la nuit
Mon corps et mon cœur se languit de toi

reviens mon doux, mon amour de minuit
Sous mon édredon, t'assoupir près de moi

Nous attendrons sereins que le noir s'enfui
Nul importun ne viendra troubler nos émois 

Dans tes yeux de doux miel ou l’adoration luit
Je me perdrais comme une biche aux abois

De ta bouche des murmures de désir s'enfuient
Et je me pâme sous tes tendres  mots grivois

Ce moment volé sera court que cela m'ennuie
Non ! Ne part pas encore dans ce matin froid


Viens, mon petit puma, viens... Ma chatte des cimes, ma chatte des lilas...
Colette

Membre de la Bibliothèque de l'impossible
armonia.fred
Membre
25-02-2022
57 Messages
Genre : Homme
Age : 43 ans
Lieu: Hauts de France

En réponse....

J'ai une muse,
Ses mots me médusent.
Mon désir infuse,
Alors que nos coquineries fusent.

J'ai une muse,
Que souvent j'accuse
De jouer de ruse.
En moi elle diffuse
Une lumière profuse.

J'ai une muse,
Qui beaucoup m'amuse.
Que de son corps j'use
Autant que de son esprit j'abuse...

4 mois de beaux échanges et de jeux coquins, merci d'abord pour ce que tu es et ce que tu m'apportes...
Sages pensées à toi ma belle ingénue....


En questionnement perpétuel... c'est lassant non ?
Hannibaal
Super Auteur
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04-10-2022
1206 Messages
Genre : Homme
Lieu: Sud

Aux creux de nos insomnies secrètes
Lorsque la distance s’efface
Et à nos désirs embrasés laisse place
À nos mots crus ciselés d’images indiscrètes
Nous plongeant dans des emportements licencieux
Où ton intimité ruisselle sous ton bouton en feu
Que tes doigts explorent et que rien n’arrête
Mon sceptre dressé sous mes caresses
De vas et viens au rythme tempétueux
Nous emportent jusqu’au besoin impérieux
De la délivrance enchanteresse
D’un orgasme aux hydromels jaillissants
Corps arqueboutés sous les plaisirs déferlants
De l’indécence de nos sexes offerts sans pudeur
Dans l’intimisme de ce moment dévastateur
Nous ne sommes plus deux, nous ne sommes qu’UN
Et sans retenue, nous nous livrons à chacun


MP ouverte pour échanges  sur des textes

Ma mère Aline (2)  Episode 3 le 25/03
Maeva et Martin les jumeaux et leur mère (11)
A_Lux
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13-03-2023
73 Messages
Genre : Femme
Age : 31 ans
Lieu: Au fond de ton regard lubrique

En écho, dans le creux de la nuit,
Résonnent alors brutes étreintes,
Eveillant les bons gens endormis
D'une concupiscence non feinte,

La lune couvant de son oeil rond,
Perchée là dans son ciel étoilé,
Les draps de lin se froisser chiffons
Les bêtes à deux dos s'y muer

Elles grognent et feulent, féroces,
La bave aux lèvres, un pieu au coeur,
Dans des râles soumettent Eros,
Perlant de nacre, velours de fleurs,

Louves, chiennes grondent, animales
Sous l'astre galbée comme leur croupe,
Mât et bélier invoqués primales,
A deux, à trois, en meute et en groupe,

Pleine lune signe lycanthrope
Ascendance luxure soumise
Les obscénités se développent
Babines pourléchées et crocs luisent

Les corps des pécheurs s’endolorirent
Là où s'annonce le point du jour,
Éreintées, canines se polirent
Dans ces bacchanales sans amour


~Vos désirs font des ordres~
"Le Meilleur dans la faim" => 22/10/2023
Ardsy
Compte Supprimé

A_Lux :

En écho, dans le creux de la nuit,
Résonnent alors brutes étreintes,
Eveillant les bons gens endormis
D'une concupiscence non feinte,

La lune couvant de son oeil rond,
Perchée là dans son ciel étoilé,
Les draps de lin se froisser chiffons
Les bêtes à deux dos s'y muer

Elles grognent et feulent, féroces,
La bave aux lèvres, un pieu au coeur,
Dans des râles soumettent Eros,
Perlant de nacre, velours de fleurs,

Louves, chiennes grondent, animales
Sous l'astre galbée comme leur croupe,
Mât et bélier invoqués primales,
A deux, à trois, en meute et en groupe,

Pleine lune signe lycanthrope
Ascendance luxure soumise
Les obscénités se développent
Babines pourléchées et crocs luisent

Les corps des pécheurs s’endolorirent
Là où s'annonce le point du jour,
Éreintées, canines se polirent
Dans ces bacchanales sans amour

<3

Slaanesh
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03-03-2021
4047 Messages
Lieu: DTC... bien au fond.

Aller, parce que CE soir, c'est la classe à Dallas et que j'en ai envie pour TOI... oui TOI qui que tu sois, quoi que tu fasses... pour TOI, c'est spécial dédicace !! De la poésie comme on en fait plus, du larmoyant et du touchant, un remède à TA morosité... C'est parti mon kiki ( jet d'invocation réussit?) :

Est-ce que tu rappelles quand on prenait le temps
De s'aimer vraiment
Est ce que tu te souviens de tes sourires innocents
On était des enfants
Ce soir je suis là pour toi, j'ai coupé mon téléphone
Je ne veux voir personne
Je veux qu'on soit comme avant
Qu'on ait les mains qui tremblent
Je veux plus attendre
Ho! Ce soir tu vas prendre
Oui tu vas prendre
Comme si je sortais de prison
Après 20 ans de réclusion
Ho! Ce soir tu vas prendre
Oui tu vas prendre
J'ai vu des culs toute la journée
Tant pis c'est toi qui va payer
Ho tu vas prendre!


Je suis fragile comme une fleur
Fragile comme la soie
J'ai besoin de toi.
Je ne tarderais pas mon cœur
Glisses toi dans les draps
Mais surtout ne t'endors pas
Parce que ce soir tu vas prendre
Ho tu vas prendre!
Je vais t'en mettre pour 10 ans
Tu raconteras a tes enfants
Ho tu vas prendre!
Oui tu vas prendre
J'espère que tu es véhiculé
Parce que tu pourras plus marcher
Ho tu vas prendre!
L'amour c'est un peu ca
C'est comme au cinéma
D'ailleurs j'ai pris la caméra
Et ce soir tu va prendre!
Ho tu vas prendre!
Je sais ta bouffé chez ta mère
Mais je t'ai ramené le dessert
Ho tu vas prendre!
Oui tu vas prendre!
Si jamais tu as encore faim
J'ai ramené 2/3 copains
Ho tu vas prendre!
Mais tu vas prendre
Lalala
Lalala
Ce soir tu vas prendre
Oui tu vas prendre
Lalala
Lalala
Je te promets tu va prendre !!!

(Si c'est pas beau autant de délicatesse et une déclaration aussi... touchante.)


Si t'es belle c'est bien... si tu baises c'est mieux !!!
Sunstone
Super Auteur
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02-07-2022
1127 Messages
Genre : Homme
Age : 33 ans

En haut le ciel domine, en bas la mer attend,
Et le jaune soleil se nuance d'orange,
Là-bas, à l'horizon ; voici venu le temps
Pour ciels et océans, à nouveau, du mélange

C'est toujours sous l'azur que s'écoulent les eaux
Qu'à la lumière du jour on peut voir scintiller ;
Le domaine des dieux craindrait de vaciller
Devant cette beauté, muse à tant de tableaux

La mer sait essuyer les colères des cieux,
Les reçoit sans broncher, sans détourner les yeux
De l'orage qui gronde, des ires du tonnerre

Elle attend patiemment la fin de la tempête,
Le début d'une pluie aux lourdes gouttelettes,
Plaisir doux et amer, cadeau du divin Père

Bientôt les ciels s'apaisent et l'harmonie revient
En apparence au moins : qui connait ces amants
Sait qu'elle est permanente entre eux ; à tout moment
L'oeil avisé sait voir la force de leur lien

RitualMine
Membre
21-03-2023
255 Messages

Maintenant. Que tout est figé et réduit au silence
Que cette lumière d’un rouge surgissant
Perd d’elle même - dans son hystérie.

Que dans cette nuit fusionnante,
Moi aussi je me perds doucement.
Bien au delà de cette fenêtre ouverte,
Dans un voyage inachevé,
D’une ville sous la pluie.

Cette musique n’a jamais vibrée de sons aussi vivants,
De ces murs résonnants en milliers de minuscules tambours,
D’éclats doux de transparences dansant sur tuyaux métalliques,
Mélangeant, poussières, saletés et crasse,
D’une clarté douce,
Consumant l’atmosphère embrasé.
Certaines s’échappant à peine au contact,
Éclatant de chaque impact,
Comme une fontaine sous les airs.

Venant lécher rebords de fenêtre,
D’éclaboussures argentées surgissant de la pénombre,
Révélant leurs écailles tels de petits morceaux vivants de chair.

S’infiltrant et glissant sous chaque ouverture,
Dans un monde souterrain bien lointain,
Relevant des itinéraires si secrets…
Oú respire une terre engloutie.

De ces lumières jaunes de la ville,
De ces courants électriques bourdonnant de vapeurs limpides,
Des flots m’emmènent bien loin,
Lavé de toute fatigue,
Reposé de tout air fétide.

Je suis retourné vers cet endroit où tu dormais,
Nageant doucement à travers ces heures matinales passées,
Vers un matin… irrésolu.

Et même si je sais bien,
Que tout commence et tout finit,
Comme l’aube dans le ciel.

Ce soir tout est étincelant,
Tel un bijou sous la pluie.

Tout ce soir dans la ville est un silence.
Abandonnée sous la tempête.

Anne Clark - Empty Me


Protecteur des chemins lointains.
Mettre au centre ceux qui se sentent dans les coins.
A_Lux
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13-03-2023
73 Messages
Genre : Femme
Age : 31 ans
Lieu: Au fond de ton regard lubrique

Noire d'encre, cette nuit est obscure,
Dans mon Imper' plastique sur le dos,
Les cieux voilés, propice à la luxure,
Je quitte donc la bouche de métro,

L'habit de pluie renvoie aux réverbères,
Leur incandescence mole et blafarde,
Dans mon col, luit un sourire pervers,
Devant les racoleuses qui se fardent,

Ce soir, je fais de moi leur concurrente,
Sans chercher là à être apprivoisée,
Elles montrent vraiment jusqu'à leur fente,
En dessous, je ne suis pas mieux sapée,

Le trench-coat vinyle noue ma taille,
Mais rien de plus sur ma peau toute nue,
Je sens l'air frais s'infiltrer dans mes failles,
Et frissonne en croisant ces inconnus

J'arpente ainsi donc les grands boulevards,
Je sais ma condition qu'ils devinent,
Là derrière leurs lubriques regards,
Ils réalisent que je suis coquine,

Je laisse bailler un peu le manteau,
Jouant des ombres et des contre-jours,
Leur dévoile la blancheur de ma peau,
Exhibent mes formes et leurs contours,

Ils voudraient plus, serait prêt à payer,
Poliment leur refuse leur désir,
Je suis pas faite pour être touchée,
Je vagabonde juste par plaisir,

Errante dans les nuits parisiennes,
En proie aux lourds regards des nyctalopes,
Je ne me traine pas comme une chienne,
Dans leurs fantasmes, je suis une salope,

Cause toujours, passant, tu m'intéresses,
Sous tes yeux, je suis le marchand de sables,
Tes paupières lourdes comme une laisse,
J'expose tes rêves, Allée des Erables.


~Vos désirs font des ordres~
"Le Meilleur dans la faim" => 22/10/2023
Lestat de Lioncourt
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20-02-2023
4200 Messages

Regrets pour ma muse.

Quand je n'ai plus de toi, qu'une image en mes songes,
Il ne me reste plus, que mes yeux pour pleurer,
Et regretter en vain, tout le mal qui me ronge,
De t'avoir fait souffrir, de t'avoir tant peinée.

Je ne me sens pas digne, de voir mon mal guéri,
Mériterais je un jour, ta si belle confiance ?
Après t'avoir trop faite espérer qu'aujourd'hui,
Serait le dernier acte de toutes mes errances.

Alors que mon coeur saigne et que ce jour n'est plus,
Que le pâle demain d'un hier que je maudis,
Trouveras tu sincère, cet humble repenti ?

Mais malgré tout je sais qu'au fond de moi c'est sûr,
Si tu reviens demain, ce sera le grand jour,
De belles retrouvailles, qui dureront toujours...

Dernière modification par Lestat le Vampire (Le 10-04-2023 à 23h14)


Soutiens la BDI
Jinnzo7
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06-05-2022
708 Messages
Genre : Homme
Age : 44 ans
Lieu: Pays de la betterave

Un soir il était tard, je ne pensais pas ça voir
Je pensais la connaitre, je pensais tout savoir
Comme au soleil Icare, Ma vie s'est écroulée
Quand j'ai vu ces images, ces bulles colorées

Envie de tout taper, envie de tout casser
Plus la force de bouger ni de respirer mais
Prêt à aller ramper pour aller démanteler
Cette pute de marionnette qui l'a manipulée

Putain c'que j'ai trinqué, putain j'ai dérouillé
Mon esprit torturé, mon âme était brisée
J'étais comme un tonneau qui peut même plus rouler
Plus envie de me battre, juste celle de chialer

Comment est-ce arrivé, comment ai-je pu m'tromper
Je pensais notre amour empli de vérité
Elle me l'a voilé et quand elle m'a encorné
Tout mon être gelé j'ai senti mon cœur bruler

Pour soi-disant s'aimer, quelle merveilleuse idée
Elle couche avec des mecs, suffit d'lui demander
Surtout avec des loups, en brebis égarée
Elle aurait pu baiser l'univers tout entier

Elle dit qu'elle croit en rien, elle dit qu'elle broie du noir
Axiome ou prétexte pour aller sortir le soir
Aller trainer la nuit, aller trainer les bars
Sexy, habillée pour se faire payer à boire

Ben ouais son cœur ne bat, que quand elle est bourrée
Dans des meli-melo, par ses amants damnés
Pendant ce temps je pleure par mes cornes écorché

Elle disait n'pas pouvoir si pas de sentiments
Que son corps est sacré, qu'à l'amour ne se vend
Pourquoi donc ce besoin, cette envie extrême et
Soudaine

Dans son mal-être synonyme de liberté
Prête à fondre et détruire tout c'qu'on avait forgé
Elle n'a vu que comme porte de sortie cette idée
Malsaine

Comme une fureur de vivre, Elle s'y est embarquée
Comme une envie de souffrir pour mieux se pardonner
Moi anéanti, par un sentiment violé
La haine

Elle veut des mots d'amour, attention nuit et jour
Pourtant je lui donnais, c'était ma Pompadour
Elle pensait le contraire, s'est faussé son avis

Dans les bras de ces couche-tard, le cœur empreint de noir
Elle pleure son désespoir, matin midi et soir
Elle veut un peu parler, elle veut surtout baiser
Et donc cette nuit-là, était-ce la destinée ?

Moi j'ai tout découvert, je m'suis senti clamser
Le cœur détruit, en miettes, les pupilles dilatées
A lire tous ces messages, ces photos encaisser
Ne pas la reconnaitre, voir notre vie défiler

Putain j'ai pris des baffes, j'étais désemparé
Mais je crois en la vie, pas du genre à prier
J'dois vraiment être taré, j'dois vraiment être cinglé
Mais tout le temps j'ai pensé pouvoir la pardonner

Même si de nos enfants, elle est, restera mère
J'ai forcément songé à partir à la guerre
Réapprendre à nager et changer de ruisseau
Jusqu'à lui faire payer, lui mettre la tête sous l'eau

Et bien la maintenir, la priver de ses loupiots
Mais quitte à en souffrir, passer pour un blaireau
Au milieu d'ma tristesse, au milieu d'mes sanglots
J'ai écouté mon cœur, ignoré mon ego

Pris conscience à quel point elle pouvait compter pour moi
Pas souhaité mort aux cons, Même pas souhaité mort à
Ce loup qu'j'ai dans la bergerie laissé entrer
Et qui l'a dans ce cercle vicieux faite s'enfoncer

Comme une envie d'frapper, comme une envie d'tuer,
Comme une envie d'guérir, comme une envie d'aimer,
Les rasoirs aux poignets, je n'y ai pas pensé,
La vie est éphémère, l'amour éternité

Elle dit qu'elle va partir si j'veux pas essayer
Elle dit qu'elle va souffrir si j'peux pas pardonner
J'imagine pas fléchir, sans même tenter,
Car moi à en crever

Je l'aime

Ensemble toutes ses années, de ma vie la moitié
Elle est ma destinée, dans la vie ma moitié
Elle est l'onguent d'argile de mes nuits torturées
Elle est l'étoile qui brille quand je suis mal luné

Quand elle est dans mes bras, je me sens éthéré
Quand elle chante sans retenue, je me sens transporté
Elle, elle se sous-estime, n'aime pas se regarder
Moi quand je la regarde, je n'ressens que fierté

Par ses lèvres embrassé, par ses lèvres embrasé
Je me sens frissonner, je me sens enflammé
Totalement enveloppé d'une chaude humidité
Comme quand entre ses cuisses ma langue vient s'immiscer

Elle est là-haut, mon but, elle est mon cœur sacré
Je crois en son amour, même si elle m'a berné
Elle est mon étendard, même au vent va rester
Au milieu de mon cœur à tout jamais planté

Je l'aime

Brunsportif
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19-04-2015
1960 Messages
Genre : Homme
Age : 56 ans
Lieu: Drôme

Je pose mon regard sur ses fesses,
J'adore ce cul, sa forme et sa peau,
C'est un trésor digne d'une déesse.
Chaque fois c'est un emoi nouveau,
De voir ce bout de chair ensorceleur,
Tout comme ses seins provocateurs.

Elle est excitée, sans aucune crainte,
Ligotée par les techniques du shibari,
Art des cordes pour une solide étreinte.
Mise en position fœtale, Momo shibari
Les poignets avec un double column Tie
A genoux, ses bras entre ses jambes.
Expose son derrière et son entrejambe.

La vu de ce spectacle est un vrai delice,
Qui ne me laisse pas du tout indifférent.
Vient le moment où mes mains glissent,
Jouant des courbes de ce cul si troublant.
Obsèdé tout le temps par ses jolies fesses,
Des tentations et invitations aux caresses.

Elle est en attente du châtiment tant espéré,
Ses fesses offertes frémissent d’impatience
En attendant la claque cinglante immodérée.
Son corps s’agite, sa croupe dans l’indécence
Soumise à mes caresses toniques et subtiles,
Elle sait que ça va enfin commencer, elle jubile.



Ma main claque doucement ce charnu popotin
Son cul apprécie énormément et en redemande
Faire attendre, prendre son temps, je suis coquin.
Le cul en l'air, elle en veut plus, une gourmande,
Mes mains fermes gifles ces fesses à nouveau,
Ðes traces de doigts apparaissent sur la peau.

Mains vigoureuses tapant de plus belle par jeu
Ses fesses rougissent et deviennent ardentes
Douceur et douleurs mixent son derrière en feu.
Cette situation pour nous deux devient exaltante.
Au comble de l'excitation,  elle en à des frissons,
Elle est aux anges, sexe trempé, je suis polisson...5


Tous les évènements sont enchaînés dans le meilleur des mondes possibles ; ...

Vous pouvez lire mes histoires ICI
Ardsy
Compte Supprimé

Sunstone :

En haut le ciel domine, en bas la mer attend,
Et le jaune soleil se nuance d'orange,
Là-bas, à l'horizon ; voici venu le temps
Pour ciels et océans, à nouveau, du mélange

C'est toujours sous l'azur que s'écoulent les eaux
Qu'à la lumière du jour on peut voir scintiller ;
Le domaine des dieux craindrait de vaciller
Devant cette beauté, muse à tant de tableaux

La mer sait essuyer les colères des cieux,
Les reçoit sans broncher, sans détourner les yeux
De l'orage qui gronde, des ires du tonnerre

Elle attend patiemment la fin de la tempête,
Le début d'une pluie aux lourdes gouttelettes,
Plaisir doux et amer, cadeau du divin Père

Bientôt les ciels s'apaisent et l'harmonie revient
En apparence au moins : qui connait ces amants
Sait qu'elle est permanente entre eux ; à tout moment
L'oeil avisé sait voir la force de leur lien

Aube, qui t'évertues, d'audace impétueuse,
A désunir l'Astre du jour et l'eau de Mer,
Cruelle !, tu ne peux ôter l'iode amer
Qu'exhale en le pleurant sa houle d'amoureuse !

Loin du lit d'océan, sur le char du labeur,
Il s'en monte au zénith, pour, sous son drap d'écume
Qu'elle cache sa peine, et qu'encapée de brume,
Tu vêtes ses sanglots d'un linceul de pudeur !

Comme elle est triste, Aurore, après qu'épanouie,
Tu laisses la Journée poursuivre ton forfait,
Et comme elle languit d'enfin, le Jour défait,
Gronder de son Amant l'absence évanouie !

Mais ce n'est point son heure : il n'est que tôt matin.
Sa pâle nudité se gèle sur sa couche ;
Elle est seule et n'a plus, dans sa liquide bouche,
Qu'un relief de bonjour au parfum palatin.

"Reviens-moi de ton ciel et déserte le monde !
A quand l'heure, ô Soleil, d'amorcer ton déclin !
,
Supplie-t-elle, Reviens... mais reviens-moi enclin
A plonger tout entier dans l'amour de mon Onde !
"

Dernière modification par Ardsy (Le 23-06-2023 à 16h31)

P3t9r
Compte supprimé
29-03-2024
Message

Magnifique !