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SYL30 :
Ce matin, j'étais émerveillé
Car une belle journée s'annonçait
le chant des oiseaux me réveillait
Mais sitôt éveillé,
Le charme c'est rompu
C'était toi qui ronflais
C'est surprenant, on ne s'attend pas à ça. Et ça sent le vécu un peu...
sur les 30 derniers jours
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- 28-03-2019
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black and white
J'voudrais écrire
Mais ma pensée, tarie
Par une chaleur torride
Me refuse se plaisir
Ma muse métisse et celtique
Du haut de ses douze ans
Me manque
elle habite ma tête je l'aime, je la hais.
Ma personnalité c'est celle que je suis, mon apparence c'est celui que je montre.
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- 03-03-2013
- 5259 Messages
SYL30 :
black and white
J'voudrais écrire
Mais ma pensée, tarie
Par une chaleur torride
Me refuse se plaisir
Ma muse métisse et celtique
Du haut de ses douze ans
Me manque
Black and white
Une marque britannique,
D'une boisson tonique,
Appréciée des alcooliques,
Au regard mélancolique.
Pardon pour ces vers,
Hips! j'en reprends un verre!
« Gwenn ha du »
Du blanc et du noir
Neuf bandes belles à voir,
Onze mouchetures d'hermine
Complètent cette étamine.
Symbole affiché des bretons
Que l'on voit en toutes occasions.
Et pour la qualité,
Merci Bernard Lavilliers.
Noir et Blanc
C'est une ville que je connais
Une chanson que je chantais
Y a du sang sur le trottoir
C'est sa voix, poussière brûlée
C'est ses ongles sur le blindé
Ils l'ont battu à mort, il a froid, il a peur
J'entends battre son cœur
De n'importe quel pays, de n'importe quelle couleur
Po Na Ba Mboka Nionso Pe Na Pikolo Nionso
Il vivait avec des mots
Qu'on passait sous le manteau
Qui brillaient comme des couteaux
Il jouait d'la dérision
Comme d'une arme de précision
Il est sur le ciment, mais ses chansons maudites
On les connaît par cœur
La musique parfois a des accords majeurs
Qui font rire les enfants mais pas les dictateurs
De n'importe quel pays, de n'importe quelle couleur
La musique est un cri qui vient de l'intérieur
Ça dépend des latitudes
Ça dépend d'ton attitude
C'est cent ans de solitude
Y a du sang sur mon piano
Y a des bottes sur mon tempo
Au-dessous du volcan, je l'entends, je l'entends
J'entends battre son cœur
La musique parfois a des accords mineurs
Qui font grincer les dents du grand libérateur
De n'importe quel pays, de n'importe quelle couleur
La musique est un cri qui vient de l'intérieur
C'est une ville que je connais
Une chanson que je chantais
Une chanson qui nous ressemble
Moti Kayé Astali Nini Penza
C'est la voix de Mandela
Le tempo docteur Fela
Écoute chanter la foule avec tes mots qui roulent
Et font battre son cœur
De n'importe quel pays, de n'importe quelle couleur
La musique est un cri qui vient de l'intérieur
De n'importe quel pays, de n'importe quelle couleur
La musique est un cri qui vient de l'intérieur
De n'importe quel pays, de n'importe quelle couleur
La musique est un cri qui vient de l'intérieur
Po Na Ba Mboka Nionso Pe Na Pikolo Nionso
La musique est un cri qui vient de l'intérieur
Po Na Ba Mboka Nionso Pe Na Pikolo Nionso
La musique est un cri qui vient de l'intérieur
Po Na Ba Mboka Nionso Pe Na Pikolo Nionso
PM
- 07-05-2019
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Ne vis pas pour que ta présence se remarque mais pour que ton absence se ressente.
Vivre sa vie pour soi.
Etre heureuse sinon ça donne trop de pouvoir à nos détracteurs
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- 28-03-2019
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Qui pourrait, sans tricher, deviner qui a écrit ce poème ? Auteur du 19 -ème siècle.
*
lamentations d'un poil de cul de femme
Il est dur lorsque sur la terre
Dans le bonheur on a vécu
De mourir triste et solitaire
Sur les ruines d’un vieux cul.
Jadis dans une forêt vierge,
Je fus planté, sur le versant
Qu’un pur filet d’urine asperge,
Et parfois un filet de sang.
Alors dans ce taillis sauvage,
Les poils poussaient par mes sillons,
Et sous leur virginal ombrage,
Paissaient de jolis morpions.
Destin fatal ! Un doigt nubile
Un soir par là vint s’égarer,
Et de sa phalange mobile
Frotter, racler et labourer.
Bientôt au doigt le vit succède,
Et, dans ses appétits ardents,
Appelant la langue à son aide;
Il nous déchire à belles dents.
J’ai vu s’en aller nos dépouilles
Sur le fleuve des passions,
Qui prend sa source dans les couilles,
Et va se perdre dans les cons.
Hélas ! L’épine est sous la rose,
Et la pine sous le plaisir
Bientôt au bord des exostoses,
Des chancres vinrent à fleurir.
Les coqs de leur crête inhumaine
Se parent dans tous les chemins :
Dans le département de l’Aine
Gambadent les jeunes poulains.
Mais, quand le passé fut propice,
Pourquoi songer à l’avenir ?
Et qu’importe la chaudepisse
Quand il reste le souvenir ?
N’ai-je pas vu tous les prépuces,
Avoir chez nous un libre accès,
Alors même qu’ils étaient russes,
Surtout quand ils étaient français.
J’ai couvert de mon ombre amie
La grenette de l’écolier,
Le membre de l’Académie,
Et le vit du carabinier.
J’ai vu le vieillard phosphorique,
Dans un effort trop passager,
Charger avec son dard étique,
Sans parvenir à décharger.
J’ai vu – mais la motte déserte
N’a plus de flux ni de reflux,
Et la matrice trop ouverte,
Attend vainement le phallus.
J’ai perdu, depuis une année,
Mes compagnons déjà trop vieux,
Et mes beaux poils du périnée
Sont engloutis dans divers lieux.
Aux lèvres des jeunes pucelles,
Croissez en paix, poils ingénus.
Adieu, mes cousins des aisselles,
Adieu, mes frères de l’anus !
J’espérais à l’heure dernière,
Me noyer dans l’eau des bidets,
Mais j’habite sur un derrière
Qu’hélas on ne lave jamais.
– Il eut parlé longtemps encore,
Lorsqu’un vent vif précipité,
Broyant, mais non pas inodore,
Le lança dans l’éternité.
Ainsi tout retourne dans la tombe,
Tout ce qui vit, tout ce qui fut,
Ainsi tout change ainsi tout tombe,
Illusions… et poils du cul.
elle habite ma tête je l'aime, je la hais.
Ma personnalité c'est celle que je suis, mon apparence c'est celui que je montre.
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- 28-03-2019
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IL est surtout connu pour ses romans que pour ses poèmes .
elle habite ma tête je l'aime, je la hais.
Ma personnalité c'est celle que je suis, mon apparence c'est celui que je montre.
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- 28-03-2019
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Un "visionnaire" , là , j'ai tout dis. j'avoue que je n'aurais jamais trouvé
elle habite ma tête je l'aime, je la hais.
Ma personnalité c'est celle que je suis, mon apparence c'est celui que je montre.
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- 28-03-2019
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megalosex :
Jules Verne ?
Je dirais bien , bravo mais mon indice rendait la réponse trop facile. Merci à tous , d'avoir joué le jeu.
elle habite ma tête je l'aime, je la hais.
Ma personnalité c'est celle que je suis, mon apparence c'est celui que je montre.
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- 28-03-2019
- 1349 Messages
Auteur du 17èe siècle dont le nom est connu de tout le monde.
Aimons, foutons, ce sont des plaisirs
Qu’il ne faut pas que l’on sépare;
La jouissance et les désirs
Sont ce que l’âme a de plus rare.
D’un vit, d’un con et de deux cœurs
Naît un accord plein de douceurs
Que les dévots blâment sans cause.
Amaryllis, pensez-y bien :
Aimer sans foutre est peu de chose,
Foutre sans aimer, ce n’est rien.
elle habite ma tête je l'aime, je la hais.
Ma personnalité c'est celle que je suis, mon apparence c'est celui que je montre.
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- 01-01-2012
- 32311 Messages
La Fontaine était-il un homme fontaine ?
Je remarque que le premier vers a 9 pieds au lieu de 8 : c'est indigne de lui.
Un loup qui ne se laissera pas déconstruire !