Pages: 1 … 73 74 75 76 77 … 127
sur les 30 derniers jours
depuis toujours
- 01-01-2012
- 32311 Messages
Tu as failli te prendre pour le douanier Jean-Jacques Rousseau...
Un loup qui ne se laissera pas déconstruire !
sur les 30 derniers jours
depuis toujours
- 28-03-2019
- 1349 Messages
Mon métier m'amenait à visiter de nombreuse région de France à la recherche de mousse végétal . Un jour au hasard de mes recherches , à Moussey petite commune de Moselle, j'entrais dans le seul bar du village . Un bar à l'ancienne, j'avais l'impression de faire un bon le temps. Un comptoir fait de formica et d'inox, des tables et des chaises en bois qui me semblaient être centenaires comme la patronne qui se tenait, je ne sais par quel miracle derrière , un torchon à l'aspect douteux sur l'épaule . Accoudés en face d'elle deux poivrot fêtaient , je ne sais quoi, à l'aide d'un mousseux dont la qualité n'était certainement pas sa qualité première.. Dans un coin un vieux monsieur à l'air renfrogné mangeait une espèce de moussaka qui était la spécialité de la maison car le seul plat au menu.
L'étonnement de voir un inconnu pénétrer dans leur intimité passé, l'un des deux poivrots me demanda ce que pouvait bien chercher un étranger loin de la grande ville. Après leur avoir expliqué mon travail et mes recherches, le plus jeune Mocktar était sont prénom me dit en riant, certainement sous l'effet du mousseux que je n'étais pas dans la bonne région et que lui avait voyagé et connaissait un endroit dans le Jura où je trouverais la plus belle des mousses .
Muni de ses précieux renseignements j'appelais ma mousmé qui était resté au Japon pour lui annonçais la bonne nouvelle puis le coeur confiant, je partais à Moussières dans le Jura.
Deux jours plus tard , j'arrivais à l'endroit précis que m'avait indiqué ce surprenant monsieur pourtant imbibé d'alcool.
Sur une colline balayée par un petit vent du nord , d'abord une multitude de mousserons n'attendait qu'à être cueillis. J'avançais le coeur battant quand je vis les premières mousses je levais les yeux , j'étais ébloui , il y en avait partout . Des mousses à perte de vue , presqu'à faire peur. J'ai ôté chaussures et chaussettes et j'ai piétiné ce doux tapis de mousseline . J'en ai pissé de bonheur presque sans fin , j'ai tout arrosé j'en ai mis partout . Jamais mousse n'aura été traité avec tant de passion.
Pour fêter cette découverte je descendais au village , direction la pâtisserie, tout en me trémoussant de bonheur , pour me régaler de talmouses. Car demain il me faudra me courber car comme dit le proverbe:
" Aussi haut que mousse pousse jamais hauteur des pieds n'atteint."
elle habite ma tête je l'aime, je la hais.
Ma personnalité c'est celle que je suis, mon apparence c'est celui que je montre.
sur les 30 derniers jours
depuis toujours
- 01-01-2012
- 32311 Messages
Holà, Syl, tu te fais copieusement mousser !
Tout à l'heure j'ai vu mon pote Pierre, le célèbre coureur automobile, et je lui ai dit : "Fais gaffe : Pierre qui roule n'amasse pas mousse !" Du coup, il m'a répondu que je le rasais ; je lui ai conseillé d'adopter une mousse compatible avec la dureté de sa barbe. Et comme il était à court d'arguments, il a déclaré : "Je fous le camp. Je m'engage comme mousse sur le premier navire en partance pour le triangle des Bermudes."
Fais attention à ne pas te faire sucer le sang par des moustiques, mon pote ; et ne renverse pas ton verre de bière car la mousse tache.
Dernière modification par Lioubov (Le 08-10-2020 à 21h01)
Un loup qui ne se laissera pas déconstruire !
sur les 30 derniers jours
depuis toujours
- 03-03-2013
- 5261 Messages
Lioubov :
Holà, Syl, tu te fais copieusement mousser !
Tout à l'heure j'ai vu mon pote Pierre, le célèbre coureur automobile, et je lui ai dit : "Fais gaffe : Pierre qui roule n'amasse pas mousse !" Du coup, il m'a répondu que je le rasais ; je lui ai conseillé d'adopter une mousse compatible avec la dureté de sa barbe. Et comme il était à court d'arguments, il a déclaré : "Je fous le camp. Je m'engage comme mousse sur le premier navire en partance pour le triangle des Bermudes."
Fais attention à ne pas te faire sucer le sang par des moustiques, mon pote ; et ne renverse pas ton verre de bière car la mousse tache.
Me voila consterné (pas le con accouplé avec un oiseau marin),
il me faut retourner au jardin de Maurice, il parait que le pample-mousse...
Et qu'attend Syl pour que son créateur mousse...
PM
sur les 30 derniers jours
depuis toujours
- 28-03-2019
- 1349 Messages
J'ai connu un mousse à Hillion (22) il avait une drôle de fri mousse.
elle habite ma tête je l'aime, je la hais.
Ma personnalité c'est celle que je suis, mon apparence c'est celui que je montre.
sur les 30 derniers jours
depuis toujours
- 03-03-2013
- 5261 Messages
Connaissant bien Hillion (22), c'est une mousse aux algues vertes!
sur les 30 derniers jours
depuis toujours
- 08-12-2015
- 5217 Messages
Un petit chef-d’œuvre de drôlerie animale concocté par Jean d'Ormesson
Le français une langue animale...
« Myope comme une taupe », « rusé comme un renard » « serrés comme des sardines »... Les termes empruntés au monde animal ne se retrouvent pas seulement dans les fables de La Fontaine, ils sont partout.
La preuve : que vous soyez fier comme un coq, fort comme un bœuf, têtu comme un âne, malin comme un singe ou simplement un chaud lapin, vous êtes tous, un jour ou l'autre, devenu chèvre pour une caille aux yeux de biche.
Vous arrivez à votre premier rendez-vous fier comme un paon et frais comme un gardon et là , ... Pas un chat !
Vous faites le pied de grue, vous demandant si cette bécasse vous a réellement posé un lapin.
Il y a anguille sous roche et pourtant le bouc émissaire qui vous a obtenu ce rancard, la tête de linotte avec qui vous êtes copain comme cochon, vous l'a certifié: cette poule a du chien, une vraie panthère
C'est sûr, vous serez un crapaud mort d'amour. Mais tout de même, elle vous traite comme un chien.
Vous êtes prêt à gueuler comme un putois quand finalement la fine mouche arrive.
Bon, vous vous dites que dix minutes de retard, il n'y a pas de quoi casser trois pattes à un canard.
Sauf que la fameuse souris, malgré son cou de cygne et sa crinière de lion est en fait aussi plate qu'une limande, myope comme une taupe, elle souffle comme un phoque et rit comme une baleine. Une vraie peau de vache, quoi !
Et vous, vous êtes fait comme un rat. Vous roulez des yeux de merlan frit, vous êtes rouge comme une écrevisse, mais vous restez muet comme une carpe.
Elle essaie bien de vous tirer les vers du nez, mais vous sautez du coq à l'âne et finissez par noyer le poisson.
Vous avez le cafard, l'envie vous prend de pleurer comme un veau (ou de verser des larmes de crocodile, c'est selon).
Vous finissez par prendre le taureau par les cornes et vous inventer une fièvre de cheval qui vous permet de filer comme un lièvre.
Ce n'est pas que vous êtes une poule mouillée, vous ne voulez pas être le dindon de la farce. Vous avez beau être doux comme un agneau sous vos airs d'ours mal léché, faut pas vous prendre pour un pigeon car vous pourriez devenir le loup dans la bergerie.
Et puis, ça aurait servi à quoi de se regarder comme des chiens de faïence. Après tout, revenons à nos moutons: vous avez maintenant une faim de loup, l'envie de dormir comme un loir et surtout vous avez d'autres chats à fouetter.
Billet d'humour de Jean d'Ormesson
Histoire vraie : Mes premiers pas d'auteur débutant ou comment se déroule l'édition d'une histoire sur XStory : Cliquez ici
sur les 30 derniers jours
depuis toujours
- 08-12-2015
- 5217 Messages
POÉSIE SUR LA BISTOUQUETTE.................et là, pour un petit sourire !
Aucun rapport avec les personnages que vous connaissez
Ceci n'est qu'une pure fiction.
Comme c’est bête,
Pauvre « Quéquette ».
Ma libido pourtant si parfaite ...
Est finalement partie en retraite.
Mes jours de gloire sont révolus
Ma libido ? Finie, foutue !
Ce par quoi tant de femmes ont joui
Ne sert maintenant qu'à faire pipi.
Y' avait un temps ou la coquette
Sortait hors de mes bobettes.
Aujourd'hui, c'est presque une corvée,
Simplement de la retrouver.
C'en était même embarrassant
De la voir grimper en l’air tout le temps;
Même le matin quand je me rasais,
Le nez bien haut, elle me regardait.
Et comme j'avance dans la vie,
Je sens comme une nostalgie
De voir maintenant cette pauvre chose
Me regarder les pieds quand je me chausse.
Pour résumer : dans le temps elle me faisait courir, maintenant je la promène ! ! !
Encore une petite :
Un petit garçon demande
— Maman, comment je suis né ?
— Euh ... Eh bien dans un chou ! Ton père et moi, nous t'avons trouvé dans un chou ...
— Et ma sœur, comment elle est née ?
— Elle ? Dans ... une rose ! Nous l'avons trouvée dans une magnifique rose …
Le soir, le petit garçon, entrant sans frapper dans la chambre de ses parents, les trouve en train de faire l'amour et il leur lance : « Alors, les vieux, on jardine ? »
Histoire vraie : Mes premiers pas d'auteur débutant ou comment se déroule l'édition d'une histoire sur XStory : Cliquez ici
sur les 30 derniers jours
depuis toujours
- 08-12-2015
- 5217 Messages
Pourquoi, tu t'es reconnu ?
Histoire vraie : Mes premiers pas d'auteur débutant ou comment se déroule l'édition d'une histoire sur XStory : Cliquez ici
sur les 30 derniers jours
depuis toujours
- 01-01-2012
- 32311 Messages
Pikatchu :
Pourquoi, tu t'es reconnu ?
Comment le sais-tu ?
Tiens, je vais m'envoyer un verre de ton excellente Farigoule pour oublier mon triste sort.
Un loup qui ne se laissera pas déconstruire !
sur les 30 derniers jours
depuis toujours
- 01-01-2012
- 32311 Messages
Je te présente mes condoléances, Tilia.
Un loup qui ne se laissera pas déconstruire !
Parfois, un "au revoir" qui sonne comme un "adieu" est étrangement ambivalent : la tristesse de voir une amie s'éloigner et le bonheur de savoir qu'elle le fait pour son bien.
ZORTE ON E.
Eskerrik asko
sur les 30 derniers jours
depuis toujours
- 27-11-2020
- 1838 Messages
Je viens de passer un moment ridiculement long à écrire ce truc. Espérons que ça en fasse rire un...
Une brune aimant les poèmes coquins,
Récitant du Rimbaud à tous ses bons copains,
Un baiser coincé au bout d’ses lèvres rougies
Par le froid de l’hiver qui sur la plain’ sévit,
Traversait la brume, toute seule, en solitaire.
Un matin tôt au réveil lui vint une envie.
Et alors qu’elle avait rêvé d’un beau corsaire,
Tout ce qu’elle désirait en elle était un vit.
La vilaine chercha de quoi assouvir cette
Si soudaine et fulgurante envie de quéquette.
Ne trouvant pas de quoi se soulager, la belle
Désespérant d’enfin sentir en elle un jonc,
Se rabattit sur un long manche a balais qu’elle
Avec force de soupirs se mit dans le fion.
Dernière modification par maisondecampagne (Le 08-12-2020 à 15h47)
🍑🍑🍑
Vive les putains en col roulé !