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Cette nuit, je veux
Sentir ton poul contre le mien
Cette nuit, mon voeu
Serait ton cou contre mes seins
Un dernier instant t'avoir à mes côtés
Oublier encore une fois tous ces acôtés
Replonger dans notre adolescence
Gratter les souvenirs, allumer l'essence
Regarde, regarde un peu comme je progresse
Cachées sous les draps sont nos promesses
Mon coeur j'crois tu l'as emprisonné
Mais mon corps fait que de zoner
Parce que je suis une menteuse,
Tu n'imagines pas ce qu'ils me font
Parce que je suis une menteuse,
Je crois que je ne tourne pas rond
Inspire, expire, mon souffle te fuit
Inspire, expire, mon souffle te nuit
Tes sentiments me font peur
Le soir je crois que ton coeur me ment
Remplie d'amour jusqu'à l'écoeurement
Plus tu me rassures plus j'ai peur
Trop de faux autour de moi m'ont fait douter
Trop de fauves autour de moi m'ont fait goûter
La langue bien tendue, petite peste
La queue bien tendue, je les déteste
Mais j'ai besoin d'eux pour ne pas t'oublier
Leur étreinte en guise de bouclier
Parce que je suis une menteuse,
Tu n'imagines pas ce qu'ils me font
Parce que je suis une menteuse,
Je crois que je ne tourne pas rond
Inspire, expire, mon souffle te fuit
Inspire, expire, mon souffle te nuit
Alcool, drogue, soigner enfant de cité
Boire lueur de lune jusqu'à la cécité
Bedo après bedo mes yeux se plissent
En draps inconnus je me glisse
Je t'ai trompée mais j'y peux rien
Je voyais pas le visage au bout des reins
Les yeux clos, les paupières qui s'agitent
Autour de son amour mes cuisses palpitent
Les ongles sur son visage, la chair à nue
Mes poils hérissés à sa simple vue
Parce que je suis une menteuse,
Faut bien que je te trompe
Parce que je suis une menteuse,
Je veux pas qu'on rompe
sur les 30 derniers jours
depuis toujours
- 07-09-2021
- 862 Messages
Sharhajar 5.0 :
Cette nuit, je veux
Sentir ton poul contre le mien
Cette nuit, mon voeu
Serait ton cou contre mes seins
Un dernier instant t'avoir à mes côtés
Oublier encore une fois tous ces acôtés
Replonger dans notre adolescence
Gratter les souvenirs, allumer l'essence
Regarde, regarde un peu comme je progresse
Cachées sous les draps sont nos promesses
Mon coeur j'crois tu l'as emprisonné
Mais mon corps fait que de zoner
Parce que je suis une menteuse,
Tu n'imagines pas ce qu'ils me font
Parce que je suis une menteuse,
Je crois que je ne tourne pas rond
Inspire, expire, mon souffle te fuit
Inspire, expire, mon souffle te nuit
Tes sentiments me font peur
Le soir je crois que ton coeur me ment
Remplie d'amour jusqu'à l'écoeurement
Plus tu me rassures plus j'ai peur
Trop de faux autour de moi m'ont fait douter
Trop de fauves autour de moi m'ont fait goûter
La langue bien tendue, petite peste
La queue bien tendue, je les déteste
Mais j'ai besoin d'eux pour ne pas t'oublier
Leur étreinte en guise de bouclier
Parce que je suis une menteuse,
Tu n'imagines pas ce qu'ils me font
Parce que je suis une menteuse,
Je crois que je ne tourne pas rond
Inspire, expire, mon souffle te fuit
Inspire, expire, mon souffle te nuit
Alcool, drogue, soigner enfant de cité
Boire lueur de lune jusqu'à la cécité
Bedo après bedo mes yeux se plissent
En draps inconnus je me glisse
Je t'ai trompée mais j'y peux rien
Je voyais pas le visage au bout des reins
Les yeux clos, les paupières qui s'agitent
Autour de son amour mes cuisses palpitent
Les ongles sur son visage, la chair à nue
Mes poils hérissés à sa simple vue
Parce que je suis une menteuse,
Faut bien que je te trompe
Parce que je suis une menteuse,
Je veux pas qu'on rompe
très beau
- 02-09-2017
- 1681 Messages
Sharhajar la douce
Aussi belle que jalouse
Mon Nord est (d)échu
- 19-07-2020
- 4034 Messages
Violence nocturne :
Sous ce soleil profond,
En amont de ce large,
Ce précipice sans fond,
Attire mon âme, attise ta flamme,
La lune se lève,
Sous cette nuit divine,
Tes cris s'élèvent,
Frémit, ta peau fine,
Fou, mon regard flou,
Ta chair au rouge, par contrecoup,
Contraste la bruine,
Sur ta peau, indiscipline,
Clouée, prise à terre,
Tes ailes déployées,
Ta liberté choyée,
Ébranle mon être
Membre de la loge du Grand Ordre de la Crinière Saillante, Chevalier du Concombre Ardent, Initié du Maître Couille Joufflue, Président du Parloir de la Mycose Recalcitrante, Adepte du Fisting Nasal, Bourreau des Culs Huilés.
L'histoire est (ré)écrite par les grandes gueules.
sur les 30 derniers jours
depuis toujours
- 03-03-2013
- 5257 Messages
Je voulais vous faire partager, ce texte, car j'adore cette façon de jouer avec les mots :
Étonnamment monotone et lasse
Est ton âme en mon automne, hélas !
On se veut
On s'enlace
On se lasse
On s'en veut
Je t'enlacerai
Tu t'en lasseras
Là les pères vont en mer
Là les mères vont en paire
— L'alphabet des aveux, Louise de Vilmorin
PM
sur les 30 derniers jours
depuis toujours
- 07-09-2021
- 862 Messages
pierheim :
Je voulais vous faire partager, ce texte, car j'adore cette façon de jouer avec les mots :
Étonnamment monotone et lasse
Est ton âme en mon automne, hélas !
On se veut
On s'enlace
On se lasse
On s'en veut
Je t'enlacerai
Tu t'en lasseras
Là les pères vont en mer
Là les mères vont en paire
— L'alphabet des aveux, Louise de Vilmorin
PM
très beau en effet
- 13-08-2021
- 134 Messages
Sharhajar 5.0 :
Je vais te baiser, te baiser, te rebaiser
A ce qu'il parrait t'aimes plus ton ex
Je vais te baiser, te baiser, te rabaisser
Blueberry89 :
C'est dingue comme c'est musical, t'as pensé à écrire des chansons ?
Complètement d'accord.
Les textes aussi ont une musicalité.
Suite des poèmes postés, impression renforcée
Fait nous du sale et pose le sur du son
Le Beat comme bouclier, sa peau à déshabiller
Je ne me lasse pas du vrai des émotions
(C'est vite parti en couille, la fin est éclatée)
Chatte sans tact au bigot plein de vices
Neuf queues en contact mais une seule vie
Trop secouée, je crois que mon cerveau dévie
Une lumière dans le crâne qu'ils dévissent
Des pensées magistrales quand je dors
Assise sur un banc dont rien ne sort
Box des accusées face à famille aimante
Ceux qui me ressemblent le plus me mentent
Parasiste de l'arbre, et ça vous démange
Du ziste sous teint arabe et ça vous dérange
Une saveur amère dans la bouche
Les pleurs de ma mère sous la douche
Vos erreurs dans la peau pendant l'autopsie
Tout roule mais je vrille et l'auto aussi
J'aime quand mon corps se tort
J'aime quand mes pores se colorent
J'ai joué à la roulette au bar hier
Tize, drogue et sexe dans le barillet
Shit marocain et rhum antillais
Au casino y a pas de barrières
Tremblotte à mort sur la gâchette
Jusqu'à devenir corps qu'on achète
Parle moi argent, pas de honte
Pas des gens qui me démontent
Juste de la soie, de l'or et de l'ivoire
Quoi que je sois, qu'ils adorent mon miroir
C'est pas tant que j'aime mes pairs
Mais je les aime plus que mon père
Les souvenirs résonnent quand je sors
Comme si j'avais jamais pris mon essor
Bloquée dans quartier de gros menteurs
Plein de clios éclatées aux gros moteurs
Dans ma famille, hier ressemble à demain
Entre eux et toi, j'ai toujours du trancher
Marquée des épaules aux deux mains,
Je cache mon dégoût au fond des tranchées
Depuis ma naissance je cotoie des gens sombres
Ma renaissance depuis là où les gens sombrent
Entourée de bras cassés j'ai du me ré-élever
Même les jambes cassées faut se relever
Je compte plus jamais m'affaisser
Sauf si c'est pour te baiser
Jagger, haleine boisée
Ce soir faudra pas se croiser
Dernière modification par Sharhajar 5.0 (Le 16-09-2021 à 23h26)
sur les 30 derniers jours
depuis toujours
- 11-04-2020
- 1871 Messages
Sous le feuillage épais, parmi la calme forêt,
Innocente demoiselle, avec la nature se mêle.
Malicieuse Nymphe des bois, attend patiemment son roi,
Adossée à l'écorce rêche, pieds nus dans la mousse fraîche,
Savourant de tous ses sens, ces interminables secondes d'absence.
Enfin les feuilles mortes craquent, son rythme cardiaque se détraque,
Arrive alors la délivrance, première salve d'offense,
Lignes rouges écarlates, cicatrices sur sa peau délicate.
Il suffit d'un souffle, une simple brise, et la voici à son maître, soumise,
Se délectant de cette emprise, de cette douleur si exquise.
Entre ses mains, elle quitte son armure,
Sous ses coups de reins , savoure cette luxure
Jusqu'à ce qu'enfin, s'achève la torture,
Que son souverain, appose sa signature.
"Ceux qui rêvent éveillés ont conscience de mille choses qui échappent à ceux qui ne rêvent qu’endormis. " E.A.Poe
sur les 30 derniers jours
depuis toujours
- 10-12-2017
- 2327 Messages
L'ivresse des maux
Le soleil se levait avec l'aurore
Et il s'embrasait encore une fois
Il était parti au bout du monde
Défendre son pays pour leurs droits
Il revenait au bercail en autocar militaire
L'amour dans l'âme, le cœur fébrile
Il avait hâte de revoir sa tendre et chère
Il fut longtemps parti, souvent en péril
Il entrait dans la maison, scandant son nom
Aucune réponse, il déposait son baluchon
Montant vers leur chambre, il voyait illuminer son sourire
Seulement, il aurait préféré rester au front et y mourir
La surprise parut dans ses yeux immoraux
Lorsqu'elle s'est aperçue de sa présence
Il lui tournait le dos et partit sur sa moto
Malgré le fait qu'elle l'appelait avec instance
Il la laissait là, les bras ballants, avec son amant
Elle l'avait jeté comme une vieille cigarette
Elle lui avait brisé le cœur en mille fragments
Il essayerait de passer sa vie à la mettre aux oubliettes
Ils l'avaient vu boire, essayant d'adoucir sa peine
Chaque jour un peu plus, pour essayer de l'effacer
Il n'avait de cesse, jour et nuit, de faire cette rengaine
Mais il n'était jamais assez saoul pour enfin l'oublier
Son service terminé, il avait souhaité partir avec elle
Jusqu'à l'autre bout du monde tout comme avant
Il l'avait aimé et il l'aimait encore, quelle ritournelle
Sa reine était allé vers un autre, c'était différent
Seul avec sa peine, il allait de bar en bar
Elle le manquait toujours de peu
Le cherchant sans relâche de part en part
Pour se faire pardonner cet acte honteux
Il posait contre sa tête la bouteille de bourbon
Et appuyait sans condition sur la gâchette
Il l'avait finalement oubliée dans la boisson
Il partit aussi vite que passe une comète
La vie est courte mais cette fois s'en était trop
Il n'avait plus la force de se relever de sa chute insonore
Ils l'ont retrouvé le visage dans un coussin rétro
Avec un mot disant qu'il l'aimerait jusqu'à sa mort
Ils l'ont enterré à l'orée du grand saule pleureur
Ses amis, sa famille étaient tous là pour pleurer
Ce soldat de la seconde guerre qui recevait les honneurs
Cependant, tous murmuraient de sa présence non désirée
Les rumeurs couraient au travers de la grande foule
Personne ne se doutait à quel point elle s'en voulait
Pendant des années, elle essayait de cacher cette boule
Se remord et cette haleine teintée de whisky à jamais
Elle buvait pour oublier sa peine, toujours un peu plus
Mais elle n'était jamais assez saoule pour l'oublier
Elle essayait de se punir en allant vers les inconnus
Mais au moment de conclure elle ne pouvait continuer
La vie est courte mais cette fois elle avait atteint le fond
Elle n'avait plus la force qu'elle aurait dû avoir pour se relever
Elle posa contre sa tête la bouteille de whisky de contrefaçon
Et appuyait sur la détente pour finalement pouvoir l'oublier
Ils l'ont retrouvé la tête dans un coussin aux motifs d'alvéoles
Se cramponnant fortement au cadre contenant sa photo
Ils l'ont mise auprès de lui, côte à côte, sous le grand saule
Sur sa pierre tombale fut inscrit : l'amour est plus fort que les maux
(Cette poésie est inspirée de la chanson "Whisky lullaby" de Brad Paisley et Alison Krauss)
Dernière modification par Donatien A.F. de Sade (Le 10-10-2021 à 05h07)
Tout le bonheur des hommes est dans l'imagination.
- Donatien Alphonse François de Sade alias Le Marquis de Sade
Ce sont les écrivains qui manquent au peuple, ce ne sont pas les lecteurs qui manquent aux écrivains. - Alphonse de Lamartine
Sous drogue je suis un peu imbécile
Souris au battement d'un de tes cils
Ma tête plongée entre tes seins
Je sussure tous mes sales desseins
J'ai pensé à toi tout l'été
Ton parfum m'a entêtée
Rien qui puisse me délivrer
Juste tes cuisses enivrées
Excuse moi je suis un peu maladroite
Mais ce soir t'auras juste mal aux oid
Laisse moi un peu soulever ta robe
Laisse moi un peu goûter ton arôme
Ton plaisir est une oeuvre d'argile
Sculpté à la pointe d'une langue agile
Sentir ta fleur contre la mienne un peu affamée
Goûter ton eau de rose avant qu'elle n'ait fânée
J'ai pris ta main pour ne jamais la lâcher
Mais demain tu seras toujours fâchée
Entre mes lèvres un filet d'écume
C'est pas demain que je décuve
J'souris que quand mon caramel frit
J'souris que quand mon cerveau fuit
Quand mon canapé devient mer sans remous
Pas adaptée à mes pairs, un peu réboue
Yeux plissés mais bien ouverts
Tout voir autour de moi s'agiter
Les gens dans l'ivresse s'abriter
Cheveux lissés, body tout vert
Ton gros boule dans ma ligne de mire
Ca te chamboule que je t'admire
Le voir autour de moi s'agiter
Et dans son ombre venir m'abriter
Juste un collé pour te voir danser
Juste un call pour te voir penchée
Juste un coup pour te voir penser,
A ce qu'on fera toute la noche
Je veux te couvrir de mille caresses
Jusqu'à ce que le Soleil apparaisse
Demain tu vas sûrement m'abandonner
Alors ce soir je vais tout donner
Je compte l'heure au rythme de ton coeur
Jouis avec moi, je veux qu'on crie en coeur
Ton corps est une oeuvre d'art
Mais je me suis levée en retard
Ton corps n'était plus contre moi
Et mon coeur compte les mois
Tu seras encore un peu fâchée
Mais on va encore un peu baiser
(Cette poésie est inspiré par une meuf que j'ai niqué.)
Sharhajar 5.0 :
Sous drogue je suis un peu imbécile
Souris au battement d'un de tes cils
Ma tête plongée entre tes seins
Je sussure tous mes sales desseins
J'ai pensé à toi tout l'été
Ton parfum m'a entêtée
Rien qui puisse me délivrer
Juste tes cuisses enivrées
Excuse moi je suis un peu maladroite
Mais ce soir t'auras juste mal aux oid
Laisse moi un peu soulever ta robe
Laisse moi un peu goûter ton arôme
Ton plaisir est une oeuvre d'argile
Sculpté à la pointe d'une langue agile
Sentir ta fleur contre la mienne un peu affamée
Goûter ton eau de rose avant qu'elle n'ait fânée
J'ai pris ta main pour ne jamais la lâcher
Mais demain tu seras toujours fâchée
Entre mes lèvres un filet d'écume
C'est pas demain que je décuve
J'souris que quand mon caramel frit
J'souris que quand mon cerveau fuit
Quand mon canapé devient mer sans remous
Pas adaptée à mes pairs, un peu réboue
Yeux plissés mais bien ouverts
Tout voir autour de moi s'agiter
Les gens dans l'ivresse s'abriter
Cheveux lissés, body tout vert
Ton gros boule dans ma ligne de mire
Ca te chamboule que je t'admire
Le voir autour de moi s'agiter
Et dans son ombre venir m'abriter
Juste un collé pour te voir danser
Juste un call pour te voir penchée
Juste un coup pour te voir penser,
A ce qu'on fera toute la noche
Je veux te couvrir de mille caresses
Jusqu'à ce que le Soleil apparaisse
Demain tu vas sûrement m'abandonner
Alors ce soir je vais tout donner
Je compte l'heure au rythme de ton coeur
Jouis avec moi, je veux qu'on crie en coeur
Ton corps est une oeuvre d'art
Mais je me suis levée en retard
Ton corps n'était plus contre moi
Et mon coeur compte les mois
Tu seras encore un peu fâchée
Mais on va encore un peu baiser
(Cette poésie est inspiré par une meuf que j'ai niqué.)
Tu lui ferais lire ?
Quand elle sera moins fâchée krkrkr
Sharhajar 5.0 :
Sous drogue je suis un peu imbécile
Souris au battement d'un de tes cils
Ma tête plongée entre tes seins
Je sussure tous mes sales desseins
J'ai pensé à toi tout l'été
Ton parfum m'a entêtée
Rien qui puisse me délivrer
Juste tes cuisses enivrées
Excuse moi je suis un peu maladroite
Mais ce soir t'auras juste mal aux oid
Laisse moi un peu soulever ta robe
Laisse moi un peu goûter ton arôme
Ton plaisir est une oeuvre d'argile
Sculpté à la pointe d'une langue agile
Sentir ta fleur contre la mienne un peu affamée
Goûter ton eau de rose avant qu'elle n'ait fânée
J'ai pris ta main pour ne jamais la lâcher
Mais demain tu seras toujours fâchée
Entre mes lèvres un filet d'écume
C'est pas demain que je décuve
J'souris que quand mon caramel frit
J'souris que quand mon cerveau fuit
Quand mon canapé devient mer sans remous
Pas adaptée à mes pairs, un peu réboue
Yeux plissés mais bien ouverts
Tout voir autour de moi s'agiter
Les gens dans l'ivresse s'abriter
Cheveux lissés, body tout vert
Ton gros boule dans ma ligne de mire
Ca te chamboule que je t'admire
Le voir autour de moi s'agiter
Et dans son ombre venir m'abriter
Juste un collé pour te voir danser
Juste un call pour te voir penchée
Juste un coup pour te voir penser,
A ce qu'on fera toute la noche
Je veux te couvrir de mille caresses
Jusqu'à ce que le Soleil apparaisse
Demain tu vas sûrement m'abandonner
Alors ce soir je vais tout donner
Je compte l'heure au rythme de ton coeur
Jouis avec moi, je veux qu'on crie en coeur
Ton corps est une oeuvre d'art
Mais je me suis levée en retard
Ton corps n'était plus contre moi
Et mon coeur compte les mois
Tu seras encore un peu fâchée
Mais on va encore un peu baiser
(Cette poésie est inspiré par une meuf que j'ai niqué.)
J’aimerais avoir juste un fragment de ton talent d’écriture…..