Cela faisait quelques années que je lisais les histoires avant de franchir le pas pour m’inscrire.

Au début, c’était uniquement pour avoir accès aux options pratiques y étant lié. Ensuite pour participer aux discussions.

Ma vie réelle est constituée de conflits, juridiques, politiques, défense des droits, etc.

Mon quotidien n’est constitué que de cela. Je ne le recherche pas. Mais me battre pour les plus faibles est une vocation et un devoir civique.

Donc, quand je viens ici. C’est dans le but de me détendre et d’échanger. Pas de polémiquer et me perdre dans des débats stériles.

J’aime échanger des idées, débattre et même confronter des opinions opposées avec des gens de bonne foi.

Je suis conscient d’être de nature passionné et avoir une personnalité polarisante. Je n’y peux rien. C’est la mienne.

Faute de pouvoir contesté le contenu. On s’attaque au contenant. C’est ce que je réponds à ceux qui s’imaginent avoir frappé fort en soulignant mon orthographe déficiente.

Le mot choc post traumatique, ça vous dit quelque chose?

Arrêtons ici. Je n’ai pas envie de me lancer dans un règlement de compte. Joué la victime non plus.

C’est ce refus de jouer la victime et de faire pitié qui cause le peu de sympathie que je stimule. Je m’y suis fait.

Depuis plusieurs semaines une ambiance malsaine s’est installé.

Propos détourné, fausses intentions attribué, détournement des faits, malhonnêteté intellectuelle, débats stériles, attaques personnelles et encore plus. Ont pris toutes la place. Le débat serin n’a plus sa place ici.

Impossible de venir participer à un fil de discussions sans que cela tourne à la foire d’empoigne.

Bien que très compétent dans le domaine, je n’ai pas désiré intervenir. Je n’en connais que trop bien les conséquences et les ravage auprès des victimes collatérales.

J’ai choisi de ne pas riposter ni intervenir en m’inscrivant. Je m’en suis tenu à cette position jusqu’à il y a quelques jours.

J’ai le verbe acerbe et le propos tranchant.

Vous devez vous imaginer l’énergie nécessaire à vouloir avancer les deux pieds sur le frein?

Il est arrivé que j’échappe une riposte, malgré moi. Je ne suis ni infaillible ni parfait.

Maintenant c’est rendu qu’on pratique le harcèlement incessant. J’ai beau demander qu’on me lâche la grappe. On y redouble d’effort. On va jusqu’à me provoquer sur des fils auxquels je n’ai même pas participé.

J’ai pourtant géré plusieurs forums de discussions et autres sites fréquenter majoritairement par des citoyens français. Jamais eu de soucis.

Je suis très conscient que ma culture et la culture française sont différentes.

Mais je ne pouvais me douter que la culture française. C’était ça aussi.

Tout le monde agissant comme si de rien n’était. Ce climat malsain paraissant normal et banal.

Je n’ai aucun problème à me défendre tout seul. J’ai évité ne voulant pas envenimer une situation, dès mon arrivée.

Mais quand c’est rendu que des gens, que tu tentes d’ignorer, te poursuivent et te harcèle sans cesse. Au bout d’une semaine tu ne peux que constater que ça ne disparaîtra pas tout seul.

Sauf qu’on te dit très clairement que si tu te défends. Tu devras faire faces à des conséquences (Le bannissement j’imagine)

On m’oblige à supporter l’intenable sans avoir le droit de réagir.

Je suis sorti de mes gonds hier, suite à une autre provocation stérile. Je n’aime vraiment pas quand ça arrive. Jamais rien de positif en résulte.

J’ai réagi en donnant un avertissement très clair et fort. Je n’aurais pas dû. Dès que je me suis rendu compte que j’étais tombée dans un piège posé par un troll. Je suis venu retirer le propos posté par réflexe.

J’ai choisi de me retirer quelques jours pour laisser le temps à la poussière de retomber.

Je suis juste venu faire un tour rapide pour répondre à un message privé. J’ai reçu une avalanche de haine de gens que je ne connais même pas. Mais ils sortent de où pour me lancer autant de haine?

Pas que ça m’impressionne. Mais me surprend.

Soyons clairs. J’assume toujours mes propos. Je sais, normalement, d’avance si une de mes interventions va déclencher ce genre de réactions et l’accepte sans broncher. Ça fait partie du métier.

Mais là on parle d’un fil de discussion auquel j n’a pas participé et que je n’ai pas crée. Sauf une petite intervention inutile demandant, indirectement, qu’on me foute la paix.

Cette haine m’a fait comprendre que le harcèlement ne cessera jamais, que je n’ai pas le droit de me défendre et que je n’ai aucun pouvoir là-dessus.

Ça ne sert à rien d’attendre patiemment que ça passe. Ça ne passera pas.

Une seule constatation s’impose. Partir pour ne pas revenir. Aucune autre option n’est possible pour avoir droit à un minimum de paix et de quiétude.

Ce pavé, encore trop long, avait pour but de ne pas partir comme un voleur. Vous avez le droit de savoir.

Je suis heureux d’avoir eu le privilège de rencontrer une bonne partie d’entre vous. Certains d’entre vous ont reçu mon adresse courriel par message privé.

C’est surtout ceux qui m’ont offert leur support pour le récit que j’ai enfin débuté à rédiger, après plus de 1 an de préparation. À mon grand regret ils seront les seuls ici à le lire.

Vous pouvez maintenant déverser tout votre fiel. Je sais que chaque mot et chaque virgule sera contesté en me donnant des intentions que je n’ai pas et en déformant mes propos.

J’en ai rien à ciré. Je ne suis plus là.

Adieu