pour moi jenny aurait du prévenir denise de sa décision elle est comme une mère pour jenny et apprécie beaucoup flo

Moi aussi je trouve cette évolution un peu dommage. Mais j'attends la suite pour voir comment va se terminer cette histoire.

Dernière modification par Zabbi (Le 29-04-2019 à 01h17)

Syran :

De plus l'avortement médicamenteux,ne se fait aps chez soit, il se fait a l hopital sur une demi journée en général et se compose que d'une seule prise de médicament, ce qui déclenche les regles et qui permet donc a l oeuf d etre éliminer. IL y as pas de rendez vous aprés car l oeuf est malheureusement ou heureusement visible.

J'ai écumé beaucoup de sites qui parlaient de l'avortement tout comme je me suis promené sur des forums où des femmes qui ont eu recours à cette méthode d'avortement ont racontées leurs expériences vécues. Si, en effet, la méthode médicamenteuse peut se pratiquer à l'hôpital si la femme le demande, si son état l'exige ou bien encore si le délai de 5 semaines est dépassé (méthode médicamenteuse possible après ça et jusqu'à 7 semaines mais uniquement en établissement de santé), elle peut aussi se faire à domicile lorsqu'on ne dépasse pas ce fameux délai de 5 semaines ( voir "ivg.gouv.fr/ivg-medicamenteuse" ou bien "ivg.net/les-risques-de-ivg/ivg-medicamenteuse" ou encore "revho.fr/livg-et-vous/deroulement-avortement-medicamenteux/" ).
Après oui, effectivement, la prise du premier comprimé peut suffire à provoquer l'avortement et à évacuer l’œuf mais ce n'est pas automatique et pour servir mon histoire, j'ai préféré partir sur la prise des deux cachets. Je suis aussi passé sur les saignements très abondants et autres en me concentrant essentiellement sur les solides douleurs ressenties par Jenny, histoire de ne pas transformer le chapitre en un cours de gynécologie appliqué ^^
Loin de moi l'idée de vouloir polémiquer avec toi, j'ai fait en sorte de prendre le maximum de renseignements sur le sujet. Les trois liens que j'ai mis au-dessus sont les plus "sérieux" que j'ai trouvé mais il en existe bien d'autre qui corrobore les infos données sur ces trois-là. J'aurais pu pousser la recherche en allant jusqu'à contacter un vrai gynéco mais je ne suis pas un auteur de best-seller non plus donc je me suis contenté de ça sachant qu'un consensus était clairement établi.
Après, s'il s'avère que tous les sites, dont les plus sérieux, racontent n'importe quoi, je pense qu'il est grand temps de dénoncer ça rapidement dans les médias !

Syran :

Enfin les conséquences physiologque d'un avortement sont que la femmes perd du sang et saignera plus ou moins jusqu au prochains cycles. Donc jenny n'aurait jamais put se faire penetrer puisque les muqueuse aurait été a vif ce quilui aurait déclencher des douleurs atroces.

Là, mea culpa. Dans ma tête, je n'avais nullement l'intention de faire avoir une relation sexuelle immédiatement après à Jenny et j'aurais dû indiquer clairement que ce passage-là s'est déroulé assez longtemps après son avortement pour que ce soit crédible.

Syran :

[...]avorter sera trés traumatisant (j'en connais deux dont ma compagne et les sequelles d'un avortement peuvent durer des années donc le faire passer des le lendemain est strictement impossible.)[...] Faire regresser le personnage est une bonne idée car il y as focement une déchéance aprés cette
preuve, toutefois le manque de renseignement sur le sujet rend l avortement vague voir même dérisoire. Pour une femme c'est une horreur. Il est difficile pour un homme de concevoir le concept d instinct maternelle, mais c'est son enfant, peu importe qu il en soit a 32 cellules ou formés. Le traumatisme, l'angoisse de se dire qu elle as pris la bonne décision, qu elle en est certaine, que c'est fait maintenant qu'elle doit l accepter., tout cela vas forcément la torturer.
Il manque ce fait dans la déchéance de Jenny qui se brise dans ce chapitre, cette part d'elle doit se briser lors de l'avortement et soit vous faite chuter le personnage soit vous le sauver. Mais il manque cette dimension dans ce chapitre. Du moins a mon gout. Aprés qu'il vous manque des renseignement je peux passer outre, mais la dimension psychologique que vous aviez si bien reussit sur florian vs a vis des sentiments amoureux manque vis a vis de jenny pour les sentiments de culpabilité envers flo et son enfant.

Il est clair que je suis sans doute passé trop facilement sur le côté traumatisant de l'acte ainsi que sur l'aspect psychologique. Dans l'absolu, j'aurais pu rajouter plusieurs chapitres pour mettre plus en lumière cet aspect mais je ne l'ai pas fait. Chaque femme a sa sensibilité propre et sa manière de gérer ce genre de traumatisme et sans doute que certaines auront plus de facilité à encaisser que d'autres.
Je m'appuie sur le fait que Jenny est, à la base, une femme qui est assez forte même si elle a aussi une grosse sensibilité qu'elle veut cacher à tout prix. Ce qui la gêne ici n'est pas forcément l'avortement en tant que tel mais sa gestion de toute cette situation par rapport à sa relation avec Florian.
Je peux tout à fait comprendre que tu trouves gênant le fait que je sois passé trop facilement sur le côté traumatisant du fait d'arrêter une grossesse, peut-être que si j'avais eu une connaissance très proche qui avait vécu ça, j'aurais traité le sujet autrement.

Je savais que de mettre en scène un avortement dans mon histoire allait faire réagir et j'ai fait le maximum pour être raccord pour tout ce qui est purement pratique (méthode médicamenteuse, voir ci-dessus). Pour le côté psychologique, la sensibilité et l'expérience de chacun va jouer dans la manière dont le lecteur va juger ma manière de traiter le problème et là, forcément, il y aura des mécontents, c'est le jeu ^^

Dernière modification par flyx13 (Le 29-04-2019 à 14h51)

simson3 :

Je voulais te demander, flyx, si le préfixe I- accompagnant maintenant le titre de cette série est annonciateur d'une suite

Si tout va bien, oui. Par contre, ne me demande pas la date de publication, je n'en sais strictement rien ^^

Merci Tahiti ^^

Je trouve ce passage par des dizaines de bites, sitôt sortie de son souci, et à peine informée par son gynéco, presque à se faire prendre par tous les trous là par terre, sur le trottoir de ce dernier, comme de la viande, un peu dommage...
Une profonde réflexion au salon, chez Denise, quitte à se faire tester par des mains expertes (elle a le choix...) aurait été aussi efficace, un peu moins trash, peut-être moins choquante et dépravante pour certains, la Jenny... Et ça lui aurait permis, en même temps de se faire soutenir, raisonner, et remettre les idées en place...
Ce n'est que mon avis, celui du lecteur....

Dernière modification par Lephil (Le 28-09-2021 à 01h27)