Sur mon prof de physique en secondaire, il avait des yeux.....et une de ces voix, et des mains.
S'il m'avait proposé une proposition indécente j'aurais pas dit non ;-).

À l'Université j'ai eu la chance de concrétiser ce fantasme professeur - élève. Mon prof de math. Là c'est moi qui lui ai fait une proposition indécente ;-)

Très franchement? Oh que oui!, On s'est vu en cachette pendant toute l'année, et quand il n'a plus été mon prof, on est resté ensemble pendant 6-7 mois

@ Corto j'aurais pu faire un copié/collé de l'histoire de Jujudefruit, il m'est arrivé exactement la même. Très platonique, mais superbe et mémorable.

Alors je vais parler d'une autre expérience plus originale, car l’initiative est venu de la prof d'abord.

Mlle Vurplillot . Prof de français, visage à la limite de l'ingratitude mais un corps et surtout des jambes.... wah!
Le célibat devait lui peser, et elle avait des velléités d'exhib. Bien sûr c'est plus tard que j'ai compris tout ça.
Bref elle s'est arrangée pour que le jeune sauvage et indiscipliné mauvais élève se retrouve puni sous le bureau.
Que de regrets et frustrations, cela m'inspire maintenant. Quel petit con abruti je pouvais être.  L'indomptable sauvage sous le bureau devenaient un petit puceau timide et paralysé. Je bandais à en avoir mal.
J'ai fait beaucoup de longs séjours sous ce bureau que je vois encore là au moment ou j'écris, mais ce que vous voulez savoir je suppose, c'est ce que je voyais et que je vois encore dans cette fournaise.
Tout à été crescendo au cours de cette seule année mémorable. La première fois normale, Aucun signe "évident" de sa part d'une intention quelconque autre que la punition, bien qu'il faille bien qu'elle "bouge" de temps en temps, rien de flagrant pour le jeune puceau domestiqué. Mais il n'y avait pas besoin de plus, le nez à trois centimètres de ses genoux, si l'on peut donner un nom aussi banal aux deux merveilles qui me fascinait, j’étais comme le petit oiseau devant le cobra. La jupe était un véritable rideau de torture s’arrêtant juste à la limite des genoux, m'empêchant de voir au delà du permis. Après de longues contorsions discrètes au rythme de la grande aiguille d’une horloge je pouvais parvenir lors de ses bougeottes sûrement calculées, à pousser ma vue jusqu’au trois quart des cuisses… Peut-on jouir du cœur ? OUI ! C’est une certitude que j’ai acquis ce jour là. L’adrénaline comme un tsunami emballait mon rythme cardiaque au point que si mon sexe avait explosé je ne l’aurais su que plus tard. Je jouissais du cœur. La science à encore bien des choses à découvrir, car aussi niais que je fusse, j’étais déjà sûr à des signes imperceptibles de son gambette–language que nous pensions ensembles.
Qui décidait des nombreuses visites sous le bureau qui on suivies? Elle qui donnait l’ordre ou moi qui lui fournissait toutes les occasions possibles pour le faire ? Je pense que la réponse se résume dans le fameux « l’homme propose, la femme dispose ».
Je ne vais pas vous faire un récit par épisodes, mais sachez que cela s’est terminé après bien des étapes progressives par un défilé de culottes variées et ne venez surtout pas me parler de foufounes à glabre calvitie, c’est comme si vous me demandiez de raser ma chatte siamoise.
Non une des sensations les plus merveilleuses à été les premiers trop rares poils d’un noir de jais  qui dépassaient de son slip. Subjugué, j’ai été définitivement amoureux de cette première chatte qui représentait toutes celles qui ont suivies. Ce souvenir Me mettant toujours dans tous mes états, vous comprendrez qu’il faut que je m’absente.
Quel con ! Je n’ai jamais osé poser mon doigt ! Svp mesdames et mesdemoiselles dites-moi, même par un pieux mensonge, qu’elle aurait bien voulu, je suis un maso-rêveur…

Dernière modification par Maltese (Le 12-05-2020 à 02h29)

Maltese :

Mais c'est ce fantasme que tu devrais nous raconter, c'est le but du sujet, je que personne n'a rien assouvi à part un ou deux.

J'ai eu plusieurs fantasmes de profs au fil des années, mais l'un était particulièrement fort.

J'entrais à l'université, et j'étais encore une fille timide qui pensait devoir sortir uniquement avec des gars de son âge. Mais ce prof me plaisait tellement, au point de me masturber en pensant à lui. Je crois que c'est la première vraie personne sur laquelle je me suis masturbée à plusieurs reprises. J'ai même rêvé de lui ! Un jour il est venu super bien habillé, chemise légèrement déboutonné... autant vous dire que le soir-même je me touchais en pensant à lui !

Et puis j'ai rencontré l'un de mes copains, et ça a progressivement cessé. Classique quoi.

Dernière modification par chacha90 (Le 12-05-2020 à 00h08)

chacha90 :

Maltese :

Mais c'est ce fantasme que tu devrais nous raconter, c'est le but du sujet, je que personne n'a rien assouvi à part un ou deux.

J'ai eu plusieurs fantasmes de profs au fil des années, mais l'un était particulièrement fort.

J'entrais à l'université, et j'étais encore une fille timide qui pensait devoir sortir uniquement avec des gars de son âge. Mais ce prof me plaisait tellement, au point de me masturber en pensant à lui. Je crois que c'est la première vraie personne sur laquelle je me suis masturbée à plusieurs reprises. J'ai même rêvé de lui ! Un jour il est venu super bien habillé, chemise légèrement déboutonné... autant vous dire que le soir-même je me touchais en pensant à lui !

Et puis j'ai rencontré l'un de mes copains, et ça a progressivement cessé. Classique quoi.

Classique; mais toujours aussi émoustillant...

Mon rêve... bien qu'hétéro, j"aimerais sodomiser un de mes anciens prof. Une vraie peau de vache!
Mais je n'ai pas eu la chance de le recroiser dans un sauna.

OUI  lorsque j'étais ado et que mes hormones travaillaient !
A 16 ans, je suis tombé AMOUREUX de ma prof d'allemand, une femme de 35/38 ans je pense.
Durant les cours, étant un des meilleurs de la classe en allemand, elle me souriait et j'en étais perturbé !
Elle portait très souvent des chemisiers très fins blancs ou crème et je pouvais apercevoir son soutif blanc très souvent un mélange dentelle / tulle transparent !
Elle voyait bien qu'elle me faisait perdre les pédales ! Je ne me privais pas pour mâter sa lingerie et ses petits seins.
Aurait-elle voulu "m'initier" ? Je n'en sais rien ! Etait ce seulement un jeu de séduction ? Plaisir de plaire ?
En tout cas, elle a été pendant pas mal de temps la source de mes plaisirs solos...
Quel beau souvenir !