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- 11-10-2016
- 293 Messages
L'histoire «Monsieur, Marianne et moi (2)» a été publiée. N'hésitez pas à en discuter ici !
Extrait :
L'odeur du café me chatouille les narines. Quelle heure peut-il bien être ? En tous cas, le jour est levé et inonde le couloir dès que j'y mets le nez. Dans un déshabillé marron sombre, maman est à la cuisine.
— Alors ma grande, bien dormi ?
Je fais le tour de la cuisine des yeux et elle s'ape...
Cliquez ici pour lire cette histoire
Pour une littérature érotique aux lettres de noblesse incontestables. Pour qu'elle devienne et reste incontournable...
Bien cordialement!
- 14-11-2016
- 5867 Messages
Voilà un épilogue qui surprend...
On doit donc en conclure que Bertrand est revenu ensuite et qu'il a dépucelé et fait un enfant à Aline.
- 14-03-2012
- 119 Messages
Soulagé avant le dernier chapitre, de prime abord, je n'ai pas aimé la chute. Mais, Son petit fils va sortir la voiture. Il a donc au moins 18 ans. Le saut temporel est donc d’une quarantaine d’années. Marianne est morte il y a 20 ans. Et Bertrand? En laissant cette deuxième date inconnue, Anthinea nous manipule Et nous laisse le choix entre morale et perversion. Bien joué.
- 29-11-2015
- 67 Messages
c etait superbe ! mais trou enorme entre la fuite de bertrand et l episode du cimetierre ?
sur les 30 derniers jours
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- 29-02-2020
- 632 Messages
Récit d'une terrible perversité mais c'est tellement bon de franchir les limites de temps à autre
Je suis un homme qui aime le plaisir. Je suis adepte de jeux SM et d'exhib. J'adore donc être nu chaque fois que c'est possible surtout à l'extérieur.
- 19-07-2011
- 246 Messages
Oui, comme le disent les autres commentateurs, cette histoire est surprenante.
Personnellement, je la trouve remarquable parce qu'elle est beaucoup plus humaine que la plupart des récits érotiques qui se dépêchent de tomber dans la fange avec des détails graveleux sans autre intérêt que "d'allonger la sauce", si j'ose dire...
Là, on sent bien qu'il s'est produit des choses que la "morale bourgeoise" réprouve, mais qui ne furent pas nécessairement suffisantes pour conduire leurs acteurs au bûcher. L'amour humain demeure présent, le plaisir physique aussi, mais finalement, presque à leur place pour chacun.
C'est d'autant plus remarquable que c'est rare. Et appréciable.
Merci, Anthynea.
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