J'ai mis trop longtemps à découvrir tes histoires...

Tant de superlatifs pour encenser un style ne peuvent qu'attirer l'attention.
On relève rapidement une euphonie avec « arrive-je » en début de texte. Plus loin, on trouve de même un disgracieux « soupire-je ». De quoi presque faire oublier les carences orthographiques qui émergent çà et là.
Des répétitions à répétition, avec entre autres odeur et odorat utilisés quatre fois en trois lignes.
Quant à la puissance du récit, elle demeure à l'état embryonnaire comme il sied à un texte écrit à l'infinitif.
Les adverbes en formations massives achèvent de rendre le style poussif.
Les textes zoophiles sont prisés ici, de même que les jeunes auteures. Quand les secondes écrivent les premiers, l'appréciation devient plébiscite.