Sharhajar :

Et personne ne répond, bah bravo la jeunesse.

Je suis pas une grosse grosse dominatrice, du coup j'ai un rapport à l'edging assez classique. Il va surtout se retrouver dans les préliminaires - se faire désirer, faire monter la pression sans toucher le sexe de l'autre, se faire supplier et ne céder que pour l'effleurer. Beaucoup jouer avec le gland, jusqu'à la douleur et le "paralyser" avant de reprendre un traitement plus doux. Je me méfie juste des orgasmes explosifs à cause de mon dégoût profond du speuspeu.

A une autre époque je jouais aussi sur un plus long terme. Je faisais espérer, espérer un plan cul de me voir après une longue absence, pour finalement lui poser un plan. Des micro-déceptions à la chaîne jusqu'à apparaître lorsqu'il s'y attend le moins dans sa vie. La brutalité et la motivation au pieu qui en découlent sont assez exceptionnelles. Mais c'est plus faire mariner que de l'edging.

En receveuse c'est pas quelque chose que j'apprécie particulièrement mais j'ai jusqu'ici eu que des expériences pas folles, donc à voir.

Je dirais faire plutôt l'inverse, dans le sens où je privilégie les orgasmes explosifs, mais retarder en approchant du 10 chez la personne, en essayant vraiment d'atteindre le 9,99. Plusieurs fois, en allant jusqu'aux larmes de frustration. (Petite satisfaction personnelle ahah) Et après le premier orgasme, si dans la foulée je peux en enchaîner un deuxième, je le fais. (Et ça marche pas à chaque fois clairement. Enfin pour moi.)

Et dans le côté receveur.. Je crois n'avoir presque jamais eu d'orgasme. Donc rien à dire dessus. (Jouir ouais, mais l'orgasme est beaucoup trop rare pour moi.)

Top

Il y avait une histoire sur le site qui parlait très bien de cette pratique. Elle se déroulait lors d'un 31 décembre, un peu avant minuit...
😉

Erinye :

Disparue dans les méandres de vos mémoires !