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Homme-jouet
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Circlure a une base latine.
Si on veut utiliser une base grecque, ça donne "péricolper" je dirais. Mais ce n'est guère mieux

Animus.Anima
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Ce n'est pas l'invention d'un nouveau mot qui va les rendre plus fortes, si elles ont besoin de ça pour se sentir moins soumises aux hommes et plus fortes psychiquement, c'est que le problème est ailleurs.

Une femme qui est sûre d'elle n'a pas besoin d'un nouveau mot pour s'affirmer ou pour avoir confiance en elle. La force de la masculinité ou de la féminité d'une personne n'a rien à avoir avec l'invention d'un quelconque nouveau vocabulaire.

D'ailleurs il paraît que Marguerite Stern, a eu une vie personnelle difficile, abusée par un conjoint, et en réponse elle hait les mecs, je me demande si c'est le cas pour toutes les néo-féministes (je sais pas comment victorya arrive à se qualifier de féministe quand on voit ça étant elle-même contre ce genre de nouveaux mots), si c'est le cas ça confirmerait l'idée que le problème est ailleurs.

Duchesse
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Animus.Anima :

Ce n'est pas l'invention d'un nouveau mot qui va les rendre plus fortes, si elles ont besoin de ça pour se sentir moins soumises aux hommes et plus fortes psychiquement, c'est que le problème est ailleurs.

Une femme qui est sûre d'elle n'a pas besoin d'un nouveau mot pour s'affirmer ou pour avoir confiance en elle. La force de la masculinité ou de la féminité d'une personne n'a rien à avoir avec l'invention d'un quelconque nouveau vocabulaire.

D'ailleurs il paraît que Marguerite Stern, a eu une vie personnelle difficile, abusée par un conjoint, et en réponse elle hait les mecs, je me demande si c'est le cas pour toutes les néo-féministes (je sais pas comment victorya arrive à se qualifier de féministe quand on voit ça étant elle-même contre ce genre de nouveaux mots), si c'est le cas ça confirmerait l'idée que le problème est ailleurs.

Qui a dit qu’elles sont sûres d’elles...? Je comprends pas ce que tu veux dire.


Les mauvaises langues parlent, les bonnes donnent des orgasmes.
Animus.Anima
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LeRenardetLaDuchesse :

Animus.Anima :

Ce n'est pas l'invention d'un nouveau mot qui va les rendre plus fortes, si elles ont besoin de ça pour se sentir moins soumises aux hommes et plus fortes psychiquement, c'est que le problème est ailleurs.

Une femme qui est sûre d'elle n'a pas besoin d'un nouveau mot pour s'affirmer ou pour avoir confiance en elle. La force de la masculinité ou de la féminité d'une personne n'a rien à avoir avec l'invention d'un quelconque nouveau vocabulaire.

D'ailleurs il paraît que Marguerite Stern, a eu une vie personnelle difficile, abusée par un conjoint, et en réponse elle hait les mecs, je me demande si c'est le cas pour toutes les néo-féministes (je sais pas comment victorya arrive à se qualifier de féministe quand on voit ça étant elle-même contre ce genre de nouveaux mots), si c'est le cas ça confirmerait l'idée que le problème est ailleurs.

Qui a dit qu’elles sont sûres d’elles...? Je comprends pas ce que tu veux dire.

Justement je dis qu'elles ne sont pas sûres d'elles du tout, et que ce n'est pas inventer un nouveau mot qui leur donnera la confiance qui peut leur manquer.

Victorya
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Animus.Anima :

Ce n'est pas l'invention d'un nouveau mot qui va les rendre plus fortes, si elles ont besoin de ça pour se sentir moins soumises aux hommes et plus fortes psychiquement, c'est que le problème est ailleurs.

Une femme qui est sûre d'elle n'a pas besoin d'un nouveau mot pour s'affirmer ou pour avoir confiance en elle. La force de la masculinité ou de la féminité d'une personne n'a rien à avoir avec l'invention d'un quelconque nouveau vocabulaire.

D'ailleurs il paraît que Marguerite Stern, a eu une vie personnelle difficile, abusée par un conjoint, et en réponse elle hait les mecs, je me demande si c'est le cas pour toutes les néo-féministes (je sais pas comment victorya arrive à se qualifier de féministe quand on voit ça étant elle-même contre ce genre de nouveaux mots), si c'est le cas ça confirmerait l'idée que le problème est ailleurs.

Je suis plutôt d'accord avec toi. En plus le côté exagéré de certaines féministes extrêmistes rend cette cause inaudible pour beaucoup. L'écriture inclusive par exemple, ça dégoûte tout le monde et ça finit par nuire à la bonne idée que ça défendait au départ.

Je me dis féministe dans le sens où les femmes devraient être considérées comme égales aux hommes dans tous les domaines et c'est pas encore le cas. Par contre je suis anti-féministe dans le sens que tu décris. J'aime les hommes et j'ai rien contre eux. Si le féminisme se définit contre les hommes c'est qu'il y a un problème.


Ne venez pas me parler, je suis un fake.
Team Jérémy
Doogy Woogy
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Lioubov :

* Pour les incultes, une harpie n'est pas une joueuse de harpe.

Celle qui verse du harpic dans les toilettes ?


Elle était tellement rousse que même les carottes la vouvoyaient.
"La tolérance atteindra un tel niveau que les personnes intelligentes seront interdites de toute réflexion pour ne pas offenser les imbéciles." Dotoïevski. "Je préfère viser la perfection et la rater, que viser la médiocrité et l'atteindre" F. Blanche.
Duchesse
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De toutes façons il y a moult courant féministe. Et je ne me revendique d’aucun, je vis avec ma philosophie et mes valeurs que je prend plaisir à partager pour éveiller les consciences et aider celles et ceux qui en ont besoin.
En revanche aucun courant féministe n’est « anti-mec» sinon c’est de la misandrie. Taxer les féministes d’être anti-mec c’est dépassé c’est ce que font leurs détracteurs « anti-mec, gouines, mal baisées» et j’en passe. Ce n’est qu’une stratégie pour jeter le discrédit qui est aussi vieille que le féminisme.

Quant au fait de juger l’extrémisme ou la manière de s’exprimer des féministes. C’est un point qui m’agace particulièrement. Quand on a été victime de viol, de harcèlement de rue, de discrimination de genre, de plafond de verre, de violences conjugales étc étc On porte en soi de profonds traumatismes et la parole se libère comme elle peut! Alors quand on ne sait pas élevé contre la violence illégitime des agresseurs fut un temps, on ne s’élève pas contre la violence supposée des victimes qui prennent la parole ou on nie le statut de victime de ces dernier-es.
Ça commence tout de même à bien faire. On croirait la justice. Y a un cahier des charges de la victime parfaite pour avoir droit à être entendu . Et puis quoi encore ?
J’ai vu ça bien trop de fois et ça me débecte. La virulence des mouvements est à la hauteur de la violence du système patriarcale. Le féminisme existait avant metoo et internet.  Ras le cul de se faire entendre dire comment on devrait s’exprimer pour gagner du crédit. C’est de l’infantilisation. La scène publique est occupée par différents orateurs aux styles différents, les féministes en font de même. Y a de tous les styles.
Quand il y a des émeutes dans les banlieues  les sociologues cherchent à en comprendre l’origine. Un malaise profond. Malheureusement lorsque l’on reste poli et courtois et qu’on incarne une minorité, on es juste ignoré, faut s’imposer et jouer des coudes. Qu’on fasse une part belle aux gens qui ont des revendications et qu’on les écoute avant qu’ils n’arrivent à saturation et on aura moins de problème de communication. C’est trop facile de violenter les gens et ensuite de juger leur réaction .
On fait ce que l’on peut !

Je suis féministe, j’ai été victime de violence conjugale, je manifeste, j’ai été victime d’inceste, de viol adulte, je fout des coups de savate dans le portières des mecs qui me sifflent au feu rouge, des droites dans la gueule des mecs qui me disent que j’ai les tétons qui pointent en joignant le geste à la parole. Quand un homme commente ma tenue en me disant que je n’ai qu’à pas m’habiller comme ça si je ne veux pas qu on me regarde ( oui ça m’est arrivé), je lui réponds que moi je trouve que son polo le boudine et que je me sens pour autant pas légitime à venir lui dire. Je prend tout SAUF des pincettes pour me défendre.

Et je n’ai aucun problème avec les hommes. Ma vie sociale est composée d’hommes et de femmes, j’évolue dans des milieux mixtes, ici il y a une majorité d’homme avec qui j’échange avec plaisir et je n’ai même jamais couché avec une fille. Par contre viens m’emmerder dans la rue et tu prends un marron. Et quand j’ai qqch à dire je le dis sur le ton qui me chante .
Le problème c’est pas les « hommes» mais la masculinité toxique de certains qui perdurent... y’a qu’à voir la gueule de nos boîtes mail.

Dernière modification par LeRenardetLaDuchesse (Le 28-02-2021 à 12h29)


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Shabanou
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J'ai pas d'avis mais j'aurais au moins appris un mot


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Duchesse
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Shabanou :

J'ai pas d'avis mais j'aurais au moins appris un mot

En voilà un autre qui englobe la fraternité et la sororité. Parce que dans le genre la devise française est bien excluante . Adelphité.

Le mot adelphe a pour dérivés « adelphique », « adelphité » et « adelphie ». Adelphique s’emploie comme synonyme non genré de fraternel. Adelphité est synonyme à la fois de fraternité et de sororité. Adelphie quant à lui est synonyme de fratrie ou de communauté, là encore sans référence au genre des membres.

En 2018 le Haut conseil à l’Égalité entre les femmes et les hommes (HCE) proposait neuf recommandations pour réviser la Constitution. Parmi elles, l’idée de remplacer la devise française « Liberté, Égalité, Fraternité » par « Liberté, Égalité, Adelphité ».


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Shabanou
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Je connaissais pas l'adelphité mais je l'utiliserai, il sonne bien en plus.

Merci ! wink


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Duchesse
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Shabanou :

Je connaissais pas l'adelphité mais je l'utiliserai, il sonne bien en plus.

Merci ! wink

Il sonne bien et à le mérite qu’on ne discrédite pas d’entrée de jeu la personne qui se revendique du courant adelphiste. Alors que les féministes ne sont ni plus ni moins que des adelphistes . T’étais réclamée sur un topic hier !


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Shabanou
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LeRenardetLaDuchesse :

Il sonne bien et à le mérite qu’on ne discrédite pas d’entrée de jeu la personne qui se revendique du courant adelphiste. Alors que les féministes ne sont ni plus ni moins que des adelphistes . T’étais réclamée sur un topic hier !

Je suis optimiste sur la question des sexes : il y a encore beaucoup de chemin mais on gagne du terrain.
Je le suis moins sur d'autres (religion, cultures) mais raison de plus pour rien lâcher.

Un jour on sera libres !

Je crois que j'ai vu pour le topic, si c'est celui auquel j'ai répondu

Dernière modification par Shabanou (Le 28-02-2021 à 13h01)


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Zeltron
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LeRenardetLaDuchesse :

aucun courant féministe n’est « anti-mec» sinon c’est de la misandrie.

Tu te voiles la face, tu utilises l'argument fallacieux du "vrai Écossais" ou du "bon/mauvais chasseur" : bien sûr que si, des féministes sont misandres.
Il faut savoir vivre avec son temps, et qu'on le veuille ou non, le terme est aujourd'hui galvaudé. Par ailleurs, pourquoi se revendiquer de quelque chose quand on veut l'égalité, plutôt que de le faire de manière "naturelle" ? Je ne dis pas qu'il faut se taire, plutôt agir au lieu de dire.
Les hommes sont majoritairement pour l'égalité des femmes (et qu'on ne parle pas de différences de fiches de paie ou de "plafond de verre" : c'est simplement illégal et mathématiquement incohérent. Les chaînes Youtube OsAlnef et RDZ l'expliquent très bien et de manière documentée). Simplement par le fait qu'ils ne les considèrent pas comme différentes socialement. Après, si vous avez un entourage toxique ou quoi, la question est ailleurs.

Pour ce qui est du terme, ce n'est pas un simple ajout dans le vocabulaire. Il y a derrière une volonté d'occulter le terme "pénétration" qui est, selon le discours ambiant, une marque patriarcale (el famoso responsable de tous les maux). J'avais lu un article il y a quelques temps que tout rapport hétéro était en réalité un viol, on s'en rapproche.
Et dire que la pénétration laisse la femme passive, ça a été écrit par des gens qui ne savent pas baiser. C'est pas parce que l'homme fait des va-et-vient que sa partenaire est en étoile de mer à chaque fois.

Encore un article qui pousse à une défiance et à nourrir une guerre des sexes plus toxique que tout le reste.

LeRenardetLaDuchesse :

En 2018 le Haut conseil à l’Égalité entre les femmes et les hommes (HCE) proposait neuf recommandations pour réviser la Constitution. Parmi elles, l’idée de remplacer la devise française « Liberté, Égalité, Fraternité » par « Liberté, Égalité, Adelphité ».

Ca ne marchera pas, en tout cas pas comme ça. On ne parle pas d'ajouter un mot dans le dictionnaire, mais de modifier une devise nationale qui est là depuis plus de 200 ans, c'est pas la même chose. Une devise, ça ne se change pas sur un coup de tête ; c'est du même ordre que de modifier le drapeau ou l'hymne national.
Il faut savoir contextualiser : les gens qui avaient créé la devise étaient des hommes, à une époque où les hommes étaient sur le devant de la scène. C'était comme ça, et on n'y peut rien aujourd'hui. Se sentir exclue en jugeant une devise ancienne simplement parce que c'est basé sur "frère", sérieusement... Autant dire que Dieu est mon droit exclue les athées et autres apostats.

Victoryia :

L'écriture inclusive par exemple, ça dégoûte tout le monde et ça finit par nuire à la bonne idée que ça défendait au départ.

Je ne suis pas certain que c'était une "bonne" idée dès le départ, car cette façon d'écrire ne fait qu'amplifier l'exclusion. C'est ouvrir la boîte de Pandore : si aujourd'hui on se met à intégrer une variante féminine, alors tous les autres voudront leur part du gâteau : trans, "non-binaires" et compagnie. Parce qu'après tout, pourquoi pas ?
De toute façon, il suffit de voir les arguments pro-écriture inclusive pour se rendre compte que ce sont des gens sans aucune notion linguistique, qui n'ont pas étudié l'évolution des langues et les origines de la nôtre. Les mots n'ont pas été sortis d'un chapeau comme le voudrait cette façon d'écrire (et c'est pour ça qu'elle ne peut pas s'intégrer au reste de la grammaire). Si on en est arrivé là, c'est parce qu'on a un mélange de latin, de grec, de celte, de langues germaniques, de norrois, un mélange qui a pris du temps pour se former clairement.

Par ailleurs, se sentir lésée à cause d'un terme général mis au masculin (on ne parle pas ici de la féminisation des termes pour un contexte individuel), c'est quand même faire preuve d'une profonde fragilité. Aucune sage-femme homme ne se sentira touché dans sa virilité/masculinité pour être appelé au féminin dans "le congrès des sages-femmes s'est bien passé" ou "les sages-femmes sont bien considérées". Et c'est plus simple que le terme à rallonge dont j'ai oublié le nom. C'est pareil que nounou/baby-sitter : je l'ai été (comme sûrement pas mal de mecs), et quand on me disait "C'est vous la nounou ? / J'ai besoin d'une baby-sitter, vous êtes disponible ?" je m'en foutais, et ce même s'il y avait un autre mot pouvant être masculin. Parce que je sais ce que je suis et ce que j'ai dans le pantalon, et c'est pas un accord grammatical qui va me l'enlever.

Dernière modification par Zeltron (Le 28-02-2021 à 13h25)


"Je crois avoir fait à cheval à peu près tout ce qu'un homme peut faire, excepté l'amour. Mais je ne désespère pas d'y parvenir un jour."
Duchesse
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Zeltron :

LeRenardetLaDuchesse :

aucun courant féministe n’est « anti-mec» sinon c’est de la misandrie.

Tu te voiles la face, tu utilises l'argument fallacieux du "vrai Écossais" ou du "bon/mauvais chasseur" : bien sûr que si, des féministes sont misandres.
Il faut savoir vivre avec son temps, et qu'on le veuille ou non, le terme est aujourd'hui galvaudé. Par ailleurs, pourquoi se revendiquer de quelque chose quand on veut l'égalité, plutôt que de le faire de manière "naturelle" ? Je ne dis pas qu'il faut se taire, plutôt agir au lieu de dire.
Les hommes sont majoritairement pour l'égalité des femmes (et qu'on ne parle pas de différences de fiches de paie ou de "plafond de verre" : c'est simplement illégal et mathématiquement incohérent. Les chaînes Youtube OsAlnef et RDZ l'expliquent très bien et de manière documentée). Simplement par le fait qu'ils ne les considèrent pas comme différentes socialement. Après, si vous avez un entourage toxique ou quoi, la question est ailleurs.

Pour ce qui est du terme, ce n'est pas un simple ajout dans le vocabulaire. Il y a derrière une volonté d'occulter le terme "pénétration" qui est, selon le discours ambiant, une marque patriarcale (el famoso responsable de tous les maux). J'avais lu un article il y a quelques temps que tout rapport hétéro était en réalité un viol, on s'en rapproche.
Et dire que la pénétration laisse la femme passive, ça a été écrit par des gens qui ne savent pas baiser. C'est pas parce que l'homme fait des va-et-vient que sa partenaire est en étoile de mer à chaque fois.

Encore un article qui pousse à une défiance et à nourrir une guerre des sexes plus toxique que tout le reste.


Victoryia :

L'écriture inclusive par exemple, ça dégoûte tout le monde et ça finit par nuire à la bonne idée que ça défendait au départ.

Je ne suis pas certain que c'était une "bonne" idée dès le départ, car cette façon d'écrire ne fait qu'amplifier l'exclusion. C'est ouvrir la boîte de Pandore : si aujourd'hui on se met à intégrer une variante féminine, alors tous les autres voudront leur part du gâteau : trans, "non-binaires" et compagnie. Parce qu'après tout, pourquoi pas ?
De toute façon, il suffit de voir les arguments pro-écriture inclusive pour se rendre compte que ce sont des gens sans aucune notion linguistique, qui n'ont pas étudié l'évolution des langues et les origines de la nôtre. Les mots n'ont pas été sortis d'un chapeau comme le voudrait cette façon d'écrire (et c'est pour ça qu'elle ne peut pas s'intégrer au reste de la grammaire).
Par ailleurs, se sentir lésée à cause d'un terme général mis au masculin (on ne parle pas ici de la féminisation des termes pour un contexte individuel), c'est quand même faire preuve d'une profonde fragilité. Aucune sage-femme homme ne se sentira touché dans sa virilité/masculinité pour être appelé au féminin. Et c'est plus simple que le terme à rallonge dont j'ai oublié le nom. C'est pareil que nounou/baby-sitter : je l'ai été (comme sûrement pas mal de mecs), et quand on me disait "C'est vous la nounou ?", je m'en foutais, et ce même s'il y avait un autre mot pouvant être masculin. Parce que je sais ce que je suis et ce que j'ai dans le pantalon, et c'est pas un accord grammatical qui va me l'enlever.

Ç est tellement pas difficile de s’en foutre quand on n’y est confronté qu’exceptionnellement. C’est tellement facile de choisir un corps de métier visiblement progressiste pour illustrer ce que prétendument  les hommes en général ressentent. Taxer les gens qu’on ne connaît pas de profondes fragilités est grotesque et si c’est le cas, d’où vient cette fragilité narcissique justement, en grande partie du patriarcat.
Les premiers chiottes pour femme ont été installées en 2020 dans les navettes spaciales par la NASA. La première sortie dans l’espace exclusivement féminine vient à peine d’avoir lieu et seule 10% des astronautes sont des femmes et moins de 10% des sorties sont effectuées par les femmes. Aucun patron du cac 40 est une femme et on représente plus ou moins la moitié de l’humanité. C’est pas les gènes qui l’expliquent hein .
Tu prouves rien du tout avec tes exemples à part qu’il existe des mecs bien qui ne sentent pas agressé et des exceptions. Merci beaucoup lol

J’ai peut être que 36 ans mais j’ai élevé 4 enfants parce que j’ai perdu mes parents. Ils ont 24/22/8 et 4 ans.  Alors le marketing, la scolarité, les injonctions sociales qui pèsent sur les enfants je les connais. Je me cogne de ce que disent les autres . Quand je fais les magasins pour bébé je lis « fort comme papa» vs « belle comme maman». On en sort petit à petit ouf ! Même dans les taches traditionnellement féminine, les hommes occupent le podium, les femmes font la bouffe à la maison mais qui sont les chefs cuisiniers? Encore un milieu vérolé par le sexisme et le harcèlement de manière général d’ailleurs.
Ma sœur a fait un cursus pro et mon frère un général ( c est eux que j ai élevé ). CAP service à la personne : 100% de femmes , les infirmières, les aides soignantes, les auxiliaires de vie sont des femmes et les médecins des hommes ( oui blabla y a des exceptions ).
On ne propose pas plus le service à la personne aux petits garçons qu on ne propose la mécanique aux petites filles. C’eT comme ça et c est tout. Mais ça avance et je suis optimiste. On invite pas les gamines à être ambitieuse et à se surpasser. On les oriente vers les métiers du soin et du service à la personne, ce qui se retrouvent dans la structure familiale généralement. Si les hommes participent de plus en plus aux tâches ménagères, le partage reste généralement en la défaveur des femmes. Quant à l’éducation des enfants, les pères s’impliquent de plus en plus et essentiellement sur le versant ludique.
Je suis élue au conseil d’école, parent au foyer, membre de l’asso des parents d’élève. Les hommes sont moins intéressés ou occupés par leurs carrières.
Ça change, ça change .... Pas la peine de me répondre que tu passes le balai. On s’en fout et y a même pas de quoi pavoiser. T’imagines bien que chez moi aussi ça se passe comme ça . Mais faut arrête l’entre soi. On ne fréquente que des gens qui nous ressemblent et on oublie la réalité. Je ne connais que des couples paritaires ca n’en fait pas la réalité .


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