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Homme-jouet
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LeRenardetLaDuchesse :

Homme-jouet :

Bon, tout le monde s'en fout, mais j'ai un problème avec le professionnalisme sexuel. C'est le, à priori, manque de désir sexuel de ma partenaire pour ma petite personne. La dame ne fera pas l'amour par envie mais elle va me décharger le poireau contre rémunération.

Je reconnais le côté vaniteux.

Bref, je ne suis pas attiré par ce genre de rapports

Tout le monde ne s’en fout pas joujou! J’ai clairement un pbm avec le fait que ça ne pose pas pbm aux client-es d’avoir un rapport avec qqn qui, manifestement, n’en a pas envie.
Attention sortez les petits cailloux pour me lapider en place publique: j’appelle ça s’offrir un viol tarifé, ni plus ni moins.

Une fois sur le fofo je voyais une discussion sur le porno. Même questionnement chez moi.  Perso je ne peux pas. Des gros plans sur des chartes sèches comme des ergs et des bites souvent à demi bandées. Je trouve ça très malaisant et je ne vois pas comment faire abstraction. Ici dans tout ce que l’on lit (ou presque), il apparaît que toutes les chattes dégoulinent de cyprine et que tout les mecs bandent sur comme le fer à en avoir la bite plaquée au nombril. Pourtant c’est pas le cas dans le porno et vu ce que les gens écrivent ici, ils ont dans l’idée qu’une nana qui prend du plaisir mouille . Mais ça dérange pas les amateurs d’avoir des gros plans sur des foufounes sèches. Rien que de voir des nanas se masturber avec les doigts alors qu’elles sont toutes sèches. Ça me met profondément mal à l’aise car je sais comme c’est désagréable . Comment faire abstraction ca .... bonne question. Vraiment le porno, je peux pas. Ou il faudrait que cela soit un couple amateur qui choisit, par goût, de partager ses ébats .

Je ne serai pas aussi catégorique que toi sur la notion de viol.
C'est un rapport non désiré, dans le sens sexuel, mais il est consenti contre dédommagement financier.

Comparer une passe à un viol, me semble criticable vis à vis de celles qui ont véritablement subit un viol, qui est un acte non consenti et forcé.

La prostitution est, pour moi, plus un rapport commercial que criminel

Dante67
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LeRenardetLaDuchesse :

j’appelle ça s’offrir un viol tarifé, ni plus ni moins.

Le viol a une définition claire et précise.
C'est une pénétration sexuelle commise avec violence, contrainte, surprise ou menace.
De même, il n'y a même pas de soucis de consentement puisque selon la définition du consentement sexuel, une personne peut consentir à faire quelque chose qu'elle n'aime pas (si tel était le cas) pour diverses raisons dès lors qu'il n'y a pas de refus, de volonté d'interrompre qui n'a pas été suivie, etc.

Je vois un danger à chaque fois que la morale dépasse la loi.

Les filles avec qui j'ai parlé se faisaient près de 10000€ par mois. J'y vois un mobile suffisant pour une activité pendant une période donnée. Est-ce plus ou moins satisfaisant, ou violent ou déshonorant qu'un autre métier ?
Louer son temps, ses efforts, son savoir faire contre de l'argent, c'est à mes yeux pareil quel que soit le travail. Si certains travails sont déshonorables, cela signifie que d'autres sont honorables, du coup j'attends une liste pour savoir si le carreleur vaut autant qu'un flic ou qu'un notaire ou qu'un assistant ou qu'un vendeur en prêt à porter.
A moins que le sexe ne doive avoir lieu qu'avec le conjoint ?
Qu'est ce qui fait que le sexe soit si spécial pour être autant séparé de toute autre activité ?

Peut-être que ton propos ne concernait que celles qui font ça sous la contrainte d'un proxénète ? Auquel cas, ma réponse serait différente.

Dernière modification par Dante67 (Le 31-03-2021 à 11h33)

Dante67
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Comparer une passe à un viol, me semble criticable vis à vis de celles qui ont véritablement subit un viol, qui est un acte non consenti et forcé.

La prostitution est, pour moi, plus un rapport commercial que criminel

Tout à fait.

Docmature
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Je ne serai pas aussi catégorique que toi sur la notion de viol.
C'est un rapport non désiré, dans le sens sexuel, mais il est consenti contre dédommagement financier.

Comparer une passe à un viol, me semble criticable vis à vis de celles qui ont véritablement subit un viol, qui est un acte non consenti et forcé.

La prostitution est, pour moi, plus un rapport commercial que criminel

Je partage ton avis : une passe ne peut pas être comparée à un viol même si il y aurait à dire sur le réel  consentement de la part de la prostituée.

Lioubov
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Dante67 :

A moins que le sexe ne doive avoir lieu qu'avec le conjoint ?

La réponse est dans votre question, Signore Alighieri.

Dante67 :

Qu'est ce qui fait que le sexe soit si spécial pour être autant séparé de toute autre activité ?

Durant longtemps, le sexe a été associé à la reproduction de l'espèce humaine.
Imagine qu'au décès d'un noble ou d'un bourgeois son patrimoine soit partagé entre ses rejetons "de sang" et un vilain petit coucou venu de l'extérieur pour profiter de l'aubaine d'un nid confortable... Quel scandale !


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Jibwakku
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LeRenardetLaDuchesse :

Rien que de voir des nanas se masturber avec les doigts alors qu’elles sont toutes sèches. Ça me met profondément mal à l’aise car je sais comme c’est désagréable . Comment faire abstraction ca .... bonne question. Vraiment le porno, je peux pas. Ou il faudrait que cela soit un couple amateur qui choisit, par goût, de partager ses ébats .

Mais, ça existe de plus en plus ce genre de vidéo sur le net. Je sais que c'est pas ton truc, mais beaucoup sont de plus en plus attiré vers ce genre de porno, qui se veut, cette calqué sur le commercial, plus authentique d'une certaine façon

Sharhajar 3.0
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A ce compte là, employer quelqu'un qui n'a pas envie de bosser mais qui a besoin d'argent, c'est de l'esclavagisme tarifé.

Il y a une énorme différence entre ne pas avoir envie de coucher avec quelqu'un mais le décider, et simplement ne pas avoir envie et se le faire imposer.

Après je parle pour les prostituées indépendantes/consentantes. Sinon bien sûr que c'est du viol.

Duchesse
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Bon, tout le monde s'en fout, mais j'ai un problème avec le professionnalisme sexuel. C'est le, à priori, manque de désir sexuel de ma partenaire pour ma petite personne. La dame ne fera pas l'amour par envie mais elle va me décharger le poireau contre rémunération.

Je reconnais le côté vaniteux.

Bref, je ne suis pas attiré par ce genre de rapports

Tout le monde ne s’en fout pas joujou! J’ai clairement un pbm avec le fait que ça ne pose pas pbm aux client-es d’avoir un rapport avec qqn qui, manifestement, n’en a pas envie.
Attention sortez les petits cailloux pour me lapider en place publique: j’appelle ça s’offrir un viol tarifé, ni plus ni moins.

Une fois sur le fofo je voyais une discussion sur le porno. Même questionnement chez moi.  Perso je ne peux pas. Des gros plans sur des chartes sèches comme des ergs et des bites souvent à demi bandées. Je trouve ça très malaisant et je ne vois pas comment faire abstraction. Ici dans tout ce que l’on lit (ou presque), il apparaît que toutes les chattes dégoulinent de cyprine et que tout les mecs bandent sur comme le fer à en avoir la bite plaquée au nombril. Pourtant c’est pas le cas dans le porno et vu ce que les gens écrivent ici, ils ont dans l’idée qu’une nana qui prend du plaisir mouille . Mais ça dérange pas les amateurs d’avoir des gros plans sur des foufounes sèches. Rien que de voir des nanas se masturber avec les doigts alors qu’elles sont toutes sèches. Ça me met profondément mal à l’aise car je sais comme c’est désagréable . Comment faire abstraction ca .... bonne question. Vraiment le porno, je peux pas. Ou il faudrait que cela soit un couple amateur qui choisit, par goût, de partager ses ébats .

Je ne serai pas aussi catégorique que toi sur la notion de viol.
C'est un rapport non désiré, dans le sens sexuel, mais il est consenti contre dédommagement financier.

Comparer une passe à un viol, me semble criticable vis à vis de celles qui ont véritablement subit un viol, qui est un acte non consenti et forcé.

La prostitution est, pour moi, plus un rapport commercial que criminel

J’entends bien ton raisonnement, c’est globalement celui apposé par tout le monde et le mien qui sort de la norme. A titre personnel, j’ai été violée 3 ans par mon père qui a été condamné, des années par mon ex qui me lavait le cerveau et me rendait illégitime à dire non et même le faisait payer au quotidien et une fois par un sac à merde qui me courrait après depuis des mois et à qui je disais non. Le monsieur a collé je ne sais quoi dans mon verre. Et je me suis réveillée sans aucun souvenir quasiment et des capotes usagées dans mon appartement. Il m’a fallut 48h pour redescendre de la perche ( sûrement des tas). Alors je me sens parfaitement légitime à avoir cette opinion.
Tu sais ce que c’est le point commun à tous ces viols: je n’ai jamais dit non, voire même j’ai dit oui. Pour plusieurs raisons: j’étais mineur, j’avais honte, je savais pas que c’était mal, j’étais sous emprise, j’étais droguee, j’étais manipulee, j’étais mineure etc etc Est-ce que ça n’en est pas moins des viols? Non. Le fait qu’une personne ne dise pas non ou même dise oui n’exclus pas de facto qu’il s’agisse d’un abus. Pour moi ce n’est pas argument.
Y a quelques jours qqn parlait d’Africaines célibataires avec trois gosses à charge etc Elles peuvent dire oui hein! Mais dans quelle mesure elles ont la possibilité de dire non?


Les mauvaises langues parlent, les bonnes donnent des orgasmes.
Duchesse
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j’appelle ça s’offrir un viol tarifé, ni plus ni moins.

Le viol a une définition claire et précise.
C'est une pénétration sexuelle commise avec violence, contrainte, surprise ou menace.
De même, il n'y a même pas de soucis de consentement puisque selon la définition du consentement sexuel, une personne peut consentir à faire quelque chose qu'elle n'aime pas (si tel était le cas) pour diverses raisons dès lors qu'il n'y a pas de refus, de volonté d'interrompre qui n'a pas été suivie, etc.

Je vois un danger à chaque fois que la morale dépasse la loi.

Les filles avec qui j'ai parlé se faisaient près de 10000€ par mois. J'y vois un mobile suffisant pour une activité pendant une période donnée. Est-ce plus ou moins satisfaisant, ou violent ou déshonorant qu'un autre métier ?
Louer son temps, ses efforts, son savoir faire contre de l'argent, c'est à mes yeux pareil quel que soit le travail. Si certains travails sont déshonorables, cela signifie que d'autres sont honorables, du coup j'attends une liste pour savoir si le carreleur vaut autant qu'un flic ou qu'un notaire ou qu'un assistant ou qu'un vendeur en prêt à porter.
A moins que le sexe ne doive avoir lieu qu'avec le conjoint ?
Qu'est ce qui fait que le sexe soit si spécial pour être autant séparé de toute autre activité ?

Peut-être que ton propos ne concernait que celles qui font ça sous la contrainte d'un proxénète ? Auquel cas, ma réponse serait différente.

Je trouve pas tout à fait honnête de se retrancher derrière les exceptions pour argumenter. Quelle est la proportion de prostitué.es qui fait ça par amour du métier ? On ne confirme pas une regle sur une exception.
La loi n’a rien de morale selon moi. Jusqu’à il y a peu un violeur pouvait dire qu’un enfant était consentant si il avait pris du plaisir ou pas dit « non». La loi le permettait et bon nombre d’agresseur se défendait comme ça. N’était il pas temps que la morale supplante la loi?
Par ailleurs tu n’as pas tout à fait raison. La pression morale ou psychologique est prise en compte par la loi. Service public.fr:
« La victime n'a pas émis un refus clair et explicite et/ou ne s'est pas défendue, car elle faisait l'objet d'une contrainte morale (par exemple agression sexuelle d'un ou d'une salariée par son chef)»
L’ascendant moral peut expliquer qu’une victime n’a pas dit non et que pour autant il s’agisse bien d’un viol.


Les mauvaises langues parlent, les bonnes donnent des orgasmes.
Sharhajar 3.0
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Facho : on
Si t'es immigrée, dans la misère, célibataire, et mère de trois enfants, tu cherches quand même un peu la merde. Tu peux faire la manche, tu peux voler, tu peux te prostituer à contrecoeur c'est vrai. Mais faut pas séparer les gens de leurs propres responsabilités. Naître pauvre c'est pas ouf, ça aide pas dans la vie et tu commences le jeu en difficile, ok. Faire des choix de merde - et entrainer trois enfants qui ont rien demandé dans ton délire -, c'est ta responsabilité.

Dernière modification par Sharhajar 3.0 (Le 31-03-2021 à 12h25)

sets
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Ton point de vue est parfaitement compréhensible vu ton vécu mais ton raisonnement exclu totalement la personne qui exerce volontairement, par choix mûrement réfléchi cette activité sans aucune contrainte ou persuasion externe.
Je n’ai jamais été client mais j’ai souvent discuté avec une fille qui exerçait près de mon lieu de travail et elle me disait préférer faire ça que caissière chez Carrefour ou faire des ménages dans des bureaux.
Elle a eu un mac pendant quelques temps (son mec était son mac) mais elle l’a foutu dehors avec un coup de couteau avant de le jeter par la fenêtre (ce qui lui avait valu un séjour de quelques mois entre les barreaux) mais ensuite elle avait repris son activité en « indépendante » comme à ses débuts.
En l’occurrence, elle avait clairement fait le choix de fournir des prestations sexuelles contre rémunération plutôt que fournir un travail de ménage ou hôtesse de caisse contre rémunération également.

Il est clair que ce type de cas n’est certainement pas une majorité car il y a aussi celles qui font ça sous la contrainte physique, sous la contrainte « mentale » et celles qui croient n’avoir pas d’autres choix.
Et on ne parle ici que de ceux et celles qui exercent contre rémunération, on ne parle pas du reste.

Duchesse
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Sharhajar 3.0 :

A ce compte là, employer quelqu'un qui n'a pas envie de bosser mais qui a besoin d'argent, c'est de l'esclavagisme tarifé.

Il y a une énorme différence entre ne pas avoir envie de coucher avec quelqu'un mais le décider, et simplement ne pas avoir envie et se le faire imposer.

Après je parle pour les prostituées indépendantes/consentantes. Sinon bien sûr que c'est du viol.

Le salarié a le choix. Je connais des gens sur x-sto et ailleurs qui ne travaillent pas. Ils vivent, mal ou pas, de manière marginale, du RSA ou autre. Est ce que les femmes qui bossent pour un mac, les étrangères sans papiers avec trois gosses à charge, les adolescentes fugueuses ou les junkies ont un réel choix...
Je suis très sceptique.

Dans tous les cas messieurs, n’allez pas croire que je vous mets tous dans la catégorie des violeurs. C’est une réflexion morale personnelle.
La morale c’est soumis au lieu, à l’époque. Dans l’état actuel des choses, cela n’à rien de surprenant ni de choquant et je ne sous entend pas que vous violeriez en toute impunité. Je l’ai déjà dit: bon nombre de mes potes sont allés ou vont voir des prostitués. En France mais surtout à l’étranger pendant les vacances. Je suis contre la prostitution. Pas contre ni les prostitues ni leur client. Je vois bien les problématiques que ça revêt derrière des deux côtés de la barrière .


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sets
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Sharhajar 3.0 :

Facho : on
Si t'es immigrée, dans la misère, célibataire, et mère de trois enfants, tu cherches quand même un peu la merde. Tu peux faire la manche, tu peux voler, tu peux te prostituer à contrecoeur c'est vrai. Mais faut pas séparer les gens de leurs propres responsabilités. Naître pauvre c'est pas ouf, ça aide pas dans la vie et tu commences le jeu en difficile, ok. Faire des choix de merde - et entrainer trois enfants qui ont rien demandé dans ton délire -, c'est ta responsabilité.

En phase.
Quand mon grand-père est arrivé d’Italie en 1925, a l’âge de 12 ans, il travaillait dans les bois avec son père et ses frères qui faisaient du charbon de bois. Il n’a jamais volé, jamais truandé et quand il a eu les moyens d’élever des enfants (dans la pauvreté mais de quoi les loger presque décemment, les nourrir, les habiller et les envoyer à l’école), il l’a fait.
Il a fait le choix de trimer comme un fou honnêtement.
Il aurait pu devenir mac, voleur, etc... ça aurait été son choix.

Duchesse
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sets :

Ton point de vue est parfaitement compréhensible vu ton vécu mais ton raisonnement exclu totalement la personne qui exerce volontairement, par choix mûrement réfléchi cette activité sans aucune contrainte ou persuasion externe.
Je n’ai jamais été client mais j’ai souvent discuté avec une fille qui exerçait près de mon lieu de travail et elle me disait préférer faire ça que caissière chez Carrefour ou faire des ménages dans des bureaux.
Elle a eu un mac pendant quelques temps (son mec était son mac) mais elle l’a foutu dehors avec un coup de couteau avant de le jeter par la fenêtre (ce qui lui avait valu un séjour de quelques mois entre les barreaux) mais ensuite elle avait repris son activité en « indépendante » comme à ses débuts.
En l’occurrence, elle avait clairement fait le choix de fournir des prestations sexuelles contre rémunération plutôt que fournir un travail de ménage ou hôtesse de caisse contre rémunération également.

Il est clair que ce type de cas n’est certainement pas une majorité car il y a aussi celles qui font ça sous la contrainte physique, sous la contrainte « mentale » et celles qui croient n’avoir pas d’autres choix.
Et on ne parle ici que de ceux et celles qui exercent contre rémunération, on ne parle pas du reste.

Mais sets, je suis d’accord et je sais bien qu’elles existent. Je ne suis ni butée ni miro haha
Mais pourquoi tu veux que je me penche sur les exceptions, ou plutôt la minorité dont tu parles?  C’est déjà la minorité sans cesse brandit comme une réalité représentative  par les gens favorables à la prostitution, ou qui cherchent à se déculpabiliser. Je vais pas prendre l’exception pour en faire une règle qui dessert mon propos.
Vous réagissez comme la présomption d’innocence en justice . Vos faites comme si, par défaut et jusqu’à preuve du contraire, une prostitué le ferait librement par choix plutôt que d’être caissière.
Alors qu’il serait plutôt vraisemblable, au regard de la réalité de terrain, de considérer par défaut que ç est un non choix, jusqu’à preuve du contraire .


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