(L)<3 :

Il ne faut pas oublier que des femmes fantasmant sur le viol ne vont pas forcément vouloir réellement se faire violer: il y a déja eu des témoignages d'homme ET de femme racontant comment ils avaient convenue d'un scénario et d'un endroit pour simuler un viol (ce qui n'en est pas réellement un puisque chacun des partenaire est consentant et sait que l'autre est consentant). Celui qui m'a marqué le plus est celui d'une femme qui racontait avoir parlé de ce fantasme à son mari et convenue un jour de simuler un kidnapping suivi d'un "viol". Bref pas besoin de mettre en danger soit pour réaliser celui-ci, tu peux le faire avec quelqu'un de confiance

Mouais, alors, il y a intérêt à en discuter plus que sérieusement avant, et surtout, surtout, s'il y a des tiers impliqués, d'être sûr d'eux à 10 000 %. Parce que si ça se passe mal, techniquement, ce n'est pas "une blague qui a mal tourné", c'est effectivement un viol.

Donc, je pense que, très généralement, vouloir "l'aider à satisfaire ce fantasme" est une mauvaise idée.

J'ai déjà pensé ce fantasme mais jamais je voudrais le vivre en vrai ! Je pense que c'est comme une soumission poussée à l'extrême. Mais je pense pas que ça dépasse le fantasme.

LeRenardetLaDuchesse :

Le genre de sortie de corps dont les rangs féministes se passeraient bien. C’est précisément ce genre de conneries que les virilistes et les détracteurs des féministes aiment brandir pour nous discréditer ( les féministes),

Oui, en effet, avec certaines militantes féministes extrémistes, le féminisme n'a pas besoin d'ennemis....

C'est aussi vrai, hélas, pour l'écologie.

Darksad :

il y avait une corrélation entre le fait d'être sexuellement libérée et le fait d'avoir ce gendre de fantasmes, en gros plus l'étudiante avait eu de partenaires, et plus elle fantasmait sur le viol.

De même, une autre corrélation, plus elle avait confiance en elle, se sentait belle et désirable, et plus elle fantasmait sur le viol.

Aussi contre-intuitif que cela puisse paraître, ça ne m'étonne pas au vue des conversations que j'ai pu avoir sur le sujet.

Autre étude, faite aussi par le même centre, 30% des hommes violeraient une femme si aucune loi ne les en empêchaient ou s'ils étaient certains de ne pas être punis. Ou encore 70% des hommes ne violeraient pas une femme même si c'était légal.

Il suffit de voir les zones de conflit pour se rendre compte que c'est un minimum. Je trouve effarant que l'humain soit tellement con qu'un "Dieu" soit nécessaire pour le calmer. Sans la crainte de la punition, une bonne moitié de l'humanité n'est bonne à rien (source : bibi). C'est consternant.

donico :

Il suffit de voir les zones de conflit pour se rendre compte que c'est un minimum. Je trouve effarant que l'humain soit tellement con qu'un "Dieu" soit nécessaire pour le calmer. Sans la crainte de la punition, une bonne moitié de l'humanité n'est bonne à rien (source : bibi). C'est consternant.

Je pense aussi que 30% est un minimum, certains mecs n'ont surement pas osé dire oui, ou pensent qu'ils ne le feraient pas alors que si.

C'est le même cas que ces études sur le nombre de partenaires où les filles avouent 6 partenaires et les mecs 12 car les filles minimisent et les garçons en rajoutent.

Darksad :

Le centre de recherche en psychologie sociale de l'Université du Texas avait fait une expérience intéressante. Les psychologues avaient réunis 600 étudiantes et leur avait donné un questionnaire très détaillé sur leurs fantasmes sexuels.

Environ 60% fantasmaient sur le fait d'être contrainte à un rapport sexuel avec un homme (ce qui est un viol mais la question du formulaire excluait le mot viol).

Environ 30% fantasmaient sur le fait d'être violée (la question précisait le mot viol).

il y avait une corrélation entre le fait d'être sexuellement libérée et le fait d'avoir ce gendre de fantasmes, en gros plus l'étudiante avait eu de partenaires, et plus elle fantasmait sur le viol.

De même, une autre corrélation, plus elle avait confiance en elle, se sentait belle et désirable, et plus elle fantasmait sur le viol.

En conclusion cette expérience met à mal les explications foireuses qu'on lit souvent dans les rubriques psychos des magazines féminins.

Autre étude, faite aussi par le même centre, 30% des hommes violeraient une femme si aucune loi ne les en empêchaient ou s'ils étaient certains de ne pas être punis. Ou encore 70% des hommes ne violeraient pas une femme même si c'était légal.

Ah mais sur le papier, c'est très probable.
Mais IRL, c'est pas sûr...

VictorVecteur :

Mouais, alors, il y a intérêt à en discuter plus que sérieusement avant, et surtout, surtout, s'il y a des tiers impliqués, d'être sûr d'eux à 10 000 %. Parce que si ça se passe mal, techniquement, ce n'est pas "une blague qui a mal tourné", c'est effectivement un viol.

Donc, je pense que, très généralement, vouloir "l'aider à satisfaire ce fantasme" est une mauvaise idée.

Non juste il faut s'etre mis daccord avec elle pour le réaliser, pas lui faire la surprise