Illégitimes :

Pour moi, c'est l'aspect vraiment invraisemblable qui me sort d'une histoire. Pourtant j'écris du fantastique, mais les situations le mecs claquent des doigts et ont des légions de femmes qui se prosternent... c'est assez lourd et souvent beauf dans la façon d'écrire dans ces cas là en plus. C'est aussi pourquoi je trouve ça hallucinant que certaines histoires commencent par des viols avant d'assumer totalement d'en faire l'apologie avec des femmes qui en redemandent, en plus d'être hors charte (et que ça ne devrait pas passer la validation), c'est souvent pas très intéressant à lire.

+1, par ailleurs, j'ai lu une de tes histoires, une d'heroic fantasy, et je l'ai trouvée bien écrite.

Petite Chérie :

Aussi je suis sensible au déroulement ou la "psychologie" de la trame, très important à mon avis et font 50% du succès.
A travers l'écrit comprendre la psychologie du/des personnage(s) voir où l'auteur veut en venir ou pas et être totalement surprise et emportée.

+1
J'ai hâte de lire ton histoire

Néron :

Les coups de butoirs puissants, les gigantesques poitrines, les bouches pulpeuses et les chattes qui crachent de la lave .

Je lis une histoire, pas un épisode de Dragon Ball Z

Ha ha ha
+1

EPuma :

Moi ce qu'il m'énerve le plus c'est les pénis surdimensionner pour nous faire croire que le type c'est un super baiseur... mdr petite bite

+1

Manounou :

Les dialogues gnangnan et les situations peu réalistes que l'on retrouve notamment sur les récits incestueux.

+1

Dick Smith :

Des descriptions exagérées, faites pour faire imaginer le personnage au lecteur, mais qui en fait correspondent au fantasme de ce que le rédacteur veut imposer. Ou quand ça devient trop appuyé : le jeune homme timide qui détaille la mère de sa copine dans tous les points, pour bien faire comprendre qu'il l'a maté, sauf qu'il y a des éléments qui sont impossible à détailler. Ca tue certaines situations qui débutent banales et qui vont érotiser, là on est d'entrée de jeu dans une description de porno, donc ça n'augure rien de bon pour la suite.

+1

Merci pour vos remarques et conseils, j'espère que mon histoire vous plaira

Les incohérences du type : « je découvre qu’il s’est rasé le pubis » et au paragraphe suivant, après une pipe en gorge profonde:  « je me rends compte qu’il a le sexe rasé »....
Ou les « il s’asseya » voire « il s’essaya ».... depuis quand le verbe s’assoir se conjugue ainsi ?
Et en effet, les :
- chibres surdimensionnés qui permettent à son propriétaire de baiser 8 nanas par jour et qui toutes vont avoir au minimum 6 orgasmes monstrueux
- « petits » seins en 95c
- mecs à qui aucune femme ne résiste plus de 15mn et qui se mettent à littéralement produire des décilitres de « jus de chatte » à la vue du braquemart géant en l’appelant mon maître, mon roi, etc...
ont tendance à me lasser.
Ça peut me faire rire quand c’est sur le ton de la parodie mais quand ça dure, je zappe.

Je reste compréhensive sur l'orthographe,  la grammaire et la syntaxe. Tout le monde n'est pas doué d'écriture (moi en premier) et il m'arrive aussi de laisser quelques fautes. Je ne jette pas la pierre, Pierre !
...mais trop c'est trop ! C'est comme tout, faut pas en abuser

Je suis plus intransigeante envers les histoires sans imagination, mal construites, improbables... où tout le monde baise au bout de 2 paragraphes.
C'est tellement ennuyeux!

agatheblg :

Pas repéré des trucs qui me gênent et qui n'ont pas déjà été cités.
Je suis là surtout pour repérer les fautes que je vais éviter de faire (ou du moins essayer ;-) )

Petite question d'ailleurs, vous aimez être surpris ? Du genre vous imaginez la suite ainsi, de telle manière, l'auteur fait tout pour guider les suppositions dans cette direction, et au final, beau pied de nez, l'auteur prend une direction différente.

ça dépend, il ne faut quand même pas casser le climax érotique.

Dernière modification par Strangemax (Le 16-05-2021 à 16h45)