DarkSad :

Fallait pas me dire ça, je passe bientôt une IRM du cerveau, mais bon, ceci explique surement pourquoi je suis aussi con.

Tu vas enfin savoir si tu as une bite à la place du cerveau

DarkSad :

Homme-jouet :

DarkSad :

Fallait pas me dire ça, je passe bientôt une IRM du cerveau, mais bon, ceci explique surement pourquoi je suis aussi con.

Tu vas enfin savoir si tu as une bite à la place du cerveau

Oui je la posterai ha ha ha, on pourra dire que je suis une tête de nœud !

Quand on dit que les juristes sont adeptes de la branlette neuronale…

isara :

Et que peut-on faire dans ce cas ? C'est possible de drainer le liquide ?

Il y a un test qui permet de dire si c'est efficace ou pas : la ponction lombaire.

Le neurologue (enfin les externes sous l'oeil vigilant de l'interne du service) plante un trocart entre 2 vertèbres lombaires pour aller ponction le liquide céphalo-rachidien, ou LCR pour les intimes, car c'est le même LCR qui circule autour de la moelle épinière et du cerveau. Ce geste permet de libèrer la pression et de voir si l'état du patient s'améliore ou pas, en fonction des troubles qu'il présentait lors du diagnostic.

Si la ponction est efficace, un neurochirurgien pratiquera ce qu'on appelle sauvagement une dérivation ventriculaire péritonéale ou atriale (DVP ou DVA pour les intimes). La première abouche dans le péritoine et la 2nde dans le coeur. Le LCR en trop pour être évacué par ces 2 voies et naturellement éliminé.

Après ce geste, le patient peut récupérer tout ou une partie de ses capacités déficitaires d'avant l'intervention.

J'ai essayé de faire au plus simple car c'est super galère à expliquer, même à nos stagiaires.