Par exemple :
Une femme est découverte pendant une séance de selfbondage.
La personne qui l'a découverte en profite pour abuser d'elle et prend des photos pour la faire chanter et l'amener à se soumettre.
Soit la femme accepte volontairement et se soumet.
Soit elle essaye de refuser mais doit se rendre à l'évidence qu'elle n'a pas le choix.

A noter que au fond d'elle même, le selfbondage n'est souvent qu'une façon de vivre la servitude et d'être attachée sans être dominée par quelqu'un d'autre alors que le bondage un fantasme très fort.

Donc dans une histoire ( fictive ) une femme pratiquant le selfbondage pourrait aimer être surprise et forcée de devenir la soumise de celui ou celle qui la découvre dans cette situation.

Dernière modification par Barbu94 (Le 20-08-2021 à 07h53)

Merci pour le conseil Beemo.
Je suis contre toute forme de viol sauf dans le cas d'un jeu de rôle entre adultes consentants.
Donc j'avais déjà l'intention de préciser que la femme en séance de selfbondage s'attendait un jour ou l'autre à être découverte et que les risques étaient de devoir laisser la personne qui la surprendrait dans cette situation faire tout ce qu'elle voudrait d'elle. C'est souvent un fantasme pour les personnes pratiquant le selfbondage.
J'ai lu la charte et je serais le premier à dénoncer ce qui dépasserait les limites que j'y ai lues car ces limites sont déjà les miennes dans le BDSM même dans des histoires fictives..