Alors je comprends la frustration, que vos attentes n’aient pas été répondues comme vous le souhaitiez, que vous ne lisez pas l’histoire avec la même optique avec laquelle je l’ai écrite, etc. C’est tout à fait légitime et compréhensible. En revanche, je trouve certaines critiques négatives assez dures et violents.

Suite le premier septembre pour ceux qui continueront la lecture.

jeanmont :

L'histoire originale dont est inspirée celle-ci est disponible sur un autre site. Pas aussi longue et fade en plus.

Oui, tellement fade que t’as tenue 22 chapitres. Je crois que votre frustration vous fait un peu vite oublier les éléments qui vous ont plu.
Et au passage, merci de ne pas affirmer des choses avec un tel aplomb sans savoir. Non, cette histoire n’est pas du tout inspirée de celle à laquelle vous pensez. J’ai eu l’idée du pitch principal fin 2013, début 2014. J’avais commencé à la rédiger à l’époque. J’avais écrit plusieurs chapitres mais j’ai presque tout perdu à cause d’un problème d’ordinateur. Dégoûté, j’ai laissé dormir l’histoire des années. J’ai fini par sentir le moment de la reprendre. Du coup, j’ai recommencé du début. J’ai fini la rédaction fin septembre 2020. Je l’ai publié sur le forum du Jardin d’Aphrodite pour que Lioubov puisse effectuer la dernière correction. S’il passe par là, il pourra confirmer. A côté, le récit auquel tu fais référence a été publié au mois d’avril. Comment aurais-je pu m’en inspirer ?
Mais oui, sinon, comme je l’ai déjà fait, j’invite les lecteurs à aller lire cette histoire (voir commentaires du chapitre 17 pour le nom et le site), vous devriez y trouver un peu plus votre compte.

Pamarciset :

(c'est ce qui a perdu les spectateurs de la série "Sex Education", excellente sur les deux tiers de la première saison, puis insultante à souhait sur la suite en prenant explicitement les spectateurs comme des générateurs de statistique).

Là c'est pareil.

Dans un autre genre de commentaires négatifs des chapitres précédents, j’apprenais presque que je cherchais à duper mes lecteurs. Là, je les insulte et je les prends comme des générateurs de statistique. Eh ben ! Faut redescendre sur terre un peu…

Je suppose par « générateur de statistique » que tu sous-entends que cette histoire n’a pour but que de faire des vues comme une grosse boîte capitaliste qui se fait de la tune sur le nombre de vues ?
Perdu, ça n’a jamais ma façon de travailler. J’ai toujours écrit mes récits comme je le sentais en ne me préoccupant pas du nombre de lecteurs que j’aurais. J’ai par exemple écrit une histoire de cinquante chapitres tout en pensant qu’elle ne ferait pas beaucoup de vues (parce que ça demandé un public de niches et que beaucoup de chapitres ne sont pas érotiques), tout en ayant prévu une suite, plus longue, en sachant par expérience, qu’une suite ferait encore moins de vues. Au final, l’histoire a mieux marché que ce à quoi je m’attendais.

Pour en revenir à L’admirateur secret, toute la seconde partie du récit, je l’ai écrit il y a un an à une période où ça n’allait pas du tout psychologiquement (j’en avais d’ailleurs parler sur le forum du site). Alors oui, ça traîne sûrement en longueur, c’est une critique légitime, mais c’est en très grosse partie parce que ça me faisait un bien fou d’écrire et que je n’avais pas envie de quitter l’histoire. Encore aujourd’hui, je les aime beaucoup ces chapitres, j’ai une affection particulière pour le plaisir intellectuel qu’ils m’ont apporté.

J'avais trouvé le chapitre précédent un peu en dessohs, dans le cenre "scène de cul random, improbable et qui sort de nul part", mais je suis totalement client de ce nouveau chapitre. D'ailleurs, heureux de lire que le chapitre 21 n'aurait aucun impact sur la suite.

Je trouve que certains commentaires sont effectivement extrêmement violents, et je ne les comprends pas....
On est sur un site où 6 a 7 histoires sont publiées chaque jour. Forcément que l'on ne peut pas tout aimer.
Pour ma part, je suis bien content de lire une histoire qui prend son temps et dans lequel les personnnages ont des doutes,. Surtout, heureux de lire autre chose qu'un heros qui se tape la voisine au chapite 1, la babysitter au 2, sa fille au 3, sa cousine au 4, etc... juste histoire de donner du cul au lecteur...

Le seul point qui commence à m'interroger, c'est que j'ai du mal à comprendre Maëlle qui, entre son admirateur et son père, joue sur deux tableaux. Est-elle perdue ? En est-elle consciente ? Où va t-elle avec l'admirateur ? Bref... Vivement la suite !

Cette fois je rejoins les commentaires précédents, ca devient lassant 22 chapitres pour en arriver à presque rien, à des hésitations et à un renoncement.
Évidement c'est toujours aussi bien écrit et l'auteur sait toujours aussi bien faire monter la sauce mais là la chantilly franchement elle retombe. J'ai bien conscience qu'un écrivain est libre de ses récits et de la manière dont il souhaite faire évoluer son histoire et ses personnages mais là j'ai de plus en plus de mal à accrocher.
Autre problème on dirait qu'il ne s'est rien passé la nuit précédente, c'est étrange car Lulu et son copine ne sont plus là et personne n'aborde ou ne fait des allusions au sujet. J'ai même relu le chapitre précédent en me disant que j'en avais sauté un.

Dernière modification par lauly25 (Le 30-08-2021 à 13h37)

Je trouve la scène de la cabine d'essayage bien vue.
En fait moi je m'en fiche de la chute et de savoir si ils vont baiser, ou quand ils vont baiser. Je lis cette histoire comme un policier, l'intrigue c'est forcément toute l'histoire et tout le plaisir délectable. Quand on aura la chute ce sera la fin ; j'aime cette atmosphère et la dimension psychologique des personnages, pourvu que ça dure.

D.

Le passage par le magasin de vêtements et de lingerie entretient un climat d'un érotisme subtil qu'accentue encore la présence des boules de geisha. Climat susceptible de faire avancer très sérieusement les choses. Quant à la fête foraine, c'est un lieu propice, par l'atmosphère qui l'entoure, à faire tomber les défenses. Celles de Maëlle, si tant est qu'elle en ait jamais eu, semblent sur le point de céder. Ce sont celles de son père qui prennent le relais