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Romainsoumis
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Bonjour à tous et toutes,

Comme l'indique le titre je pense de plus en plus à tout quitter de ma vie pour devenir le soumis à demeure d'une maîtresse. Pas un esclave, je cherche une relation de complicité, de confiance.
Mais m'éloigner du monde, plus de travail... Être une sorte d'homme au foyer et soumis sexuellement.
Mais ça me semble hyper difficile à trouver pour une relation sérieuse, j'ai 31 ans, j'aimerais trouver une femme dominatrice pour ça.
Avez vous déjà vécu cela ? Qu'en pensez vous ?


Soumis expérimenté à la recherche de sa maitresse.
Dante67
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Il fut un trmps j'etais dominant et cher hais une esclave pour une vie de ce style. Je dis bien esclave, pas soumise. La difference etant que pour moi l'esclave obéit par desir de servir alors que le soumis obéis à une personne par amour.
C'est très difficile à réaliser en réalité parce que subvenir aux besoins de deux personnes n'est pas une mince affaire. Surtout si on veut conserver de la disponibilité pour s'occuper du soum/esclave.

Hellangel
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A titre personnel (puisqu'on demande notre avis) je trouve ce genre de relations extrêmement malsain. Le fait d'abandonner consciemment une part de son identité, de son autonomie, à quelqu'un d'autre; je ne vois pas en quoi cela peut être profitable à son développement.

C'est ce que font les sectes.

Sensuelle Emilie
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Dante67 :

Il fut un trmps j'etais dominant et cher hais une esclave pour une vie de ce style. Je dis bien esclave, pas soumise. La difference etant que pour moi l'esclave obéit par desir de servir alors que le soumis obéis à une personne par amour.
C'est très difficile à réaliser en réalité parce que subvenir aux besoins de deux personnes n'est pas une mince affaire. Surtout si on veut conserver de la disponibilité pour s'occuper du soum/esclave.

Il n'y a pas forcément de relation amoureuse entre un/e Maître/sse et son/sa soumis/e. Les deux répondent à un désir de soumission et de s'offrir. Des sentiments amoureux peuvent s'instaurer entre les 2 partenaires.
La différence entre esclave et soumis/e réside dans son degrés de soumission.



Qu'est-ce qu'un/e soumis/e ?

Personne qui va offrir le pouvoir de décision à une autre dans le cadre d'une relation BDSM. Le/la soumis/e à aussi le pouvoir de tout arrêter.

Qu'est-ce qu'un/e esclave ?

Degrés extrême de la soumission, l'esclave s'en remet totalement à son Maître, qui devient son Propriétaire. Il/elle n'a plus aucune possibilité de se défausser face à la volonté de son Propriétaire (caractérisé par l'absence de safeword). L'esclave, dans sa vision traditionnelle, n'a pas d'activité professionnelle à l'extérieur et se consacre exclusivement au bien être de son Propriétaire. Mais de nos jours, les circonstances imposent parfois qu'elle ait un travail en dehors du domicile.

Dernière modification par Sensuelle Emilie (Le 04-11-2021 à 13h19)


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Néron
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Hellangel :

A titre personnel (puisqu'on demande notre avis) je trouve ce genre de relations extrêmement malsain. Le fait d'abandonner consciemment une part de son identité, de son autonomie, à quelqu'un d'autre; je ne vois pas en quoi cela peut être profitable à son développement.

C'est ce que font les sectes.

Alors pour le coup j'avais un avis plus ou moins similaire mais je suis tombé sur un reportage qui m'a fait prendre en considération d'autres points.

En fait quand tu deviens soumis/ esclave, tu te prives certes de la liberté de choix mais derrière tu n'as pas plus "l'angoisse" de faire des choix. Tu ne t'inquiètes plus de devoir te débrouiller parce qu'on te dit quoi faire.
Tu redeviens un enfant dépendant de ses parents en fait. Ça un côté rassurant.


Ma première histoire à 4 mains : L'Odyssée des glands 🐿
Inernev
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Néron :

Hellangel :

A titre personnel (puisqu'on demande notre avis) je trouve ce genre de relations extrêmement malsain. Le fait d'abandonner consciemment une part de son identité, de son autonomie, à quelqu'un d'autre; je ne vois pas en quoi cela peut être profitable à son développement.

C'est ce que font les sectes.

Alors pour le coup j'avais un avis plus ou moins similaire mais je suis tombé sur un reportage qui m'a fait prendre en considération d'autres points.

En fait quand tu deviens soumis/ esclave, tu te prives certes de la liberté de choix mais derrière tu n'as pas plus "l'angoisse" de faire des choix. Tu ne t'inquiètes plus de devoir te débrouiller parce qu'on te dit quoi faire.
Tu redeviens un enfant dépendant de ses parents en fait. Ça un côté rassurant.

Exactement comme les sectes. CQFD. Mais bon, tant que chacun fait son affaire tranquille dans son coin, que ça vient pas relâcher du gaz sarin dans le métro ou faire du trafic d'êtres humains, pourquoi pas. Cette discussion me laisse songeur. Même s'il n'y a plus de safeword, j'imagine, quand même, que des limites sont posées d'une manière que je dois ignorer ? Sinon, ça va bien au delà de la « relation malsaine » (pas d'avis figé là-dessus par ailleurs. En théorie, tant que chacun y trouve son compte... mais en pratique ?)

Dernière modification par Inernev (Le 04-11-2021 à 14h43)

Hellangel
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Hellangel :

A titre personnel (puisqu'on demande notre avis) je trouve ce genre de relations extrêmement malsain. Le fait d'abandonner consciemment une part de son identité, de son autonomie, à quelqu'un d'autre; je ne vois pas en quoi cela peut être profitable à son développement.

C'est ce que font les sectes.

Alors pour le coup j'avais un avis plus ou moins similaire mais je suis tombé sur un reportage qui m'a fait prendre en considération d'autres points.

En fait quand tu deviens soumis/ esclave, tu te prives certes de la liberté de choix mais derrière tu n'as pas plus "l'angoisse" de faire des choix. Tu ne t'inquiètes plus de devoir te débrouiller parce qu'on te dit quoi faire.
Tu redeviens un enfant dépendant de ses parents en fait. Ça un côté rassurant.

J'ai pas dit que ce n'était pas rassurant. Ni que cela n'apportait rien de "positif". J'ai dit malsain

toutendouceur
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05-03-2017
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Je n'ai rien à dire sur les débats ci-dessus, mais en ce qui concerne un projet de vie, j'ai une règle personnelle. On ne change pas de vie sans savoir où et avec qui aller. Pour ne rien regretter, il faut pouvoir se dire qu'il y a quelque chose qui mérite ce bouleversement. Et ce quelque chose sans savoir qui, ça me semble un très mauvais départ.

Je prolonge. Tu as pris ton envol, tu cherches et tu as l'impression avoir trouvé cette maîtresse qui partagerait ton projet. Dans quelle mesure, ta décision prise et ta situation ne vont pas lui servir à tes dépens ? Parce que ta précarité et ton exposition, lui permettent de jouer un peu le jeu, mais sans partager fondamentalement tous les enjeux et avec d'autres vues, sans mauvaises intentons.
Sans compter que ce projet n'est qu'une projection idéale pour toi ; à ce stade, tu n'es certain de rien.
Niveau motivation et implication, il y a une grosse différence entre les projet qu'on fait pour soi et ceux qu'on fait à 2. Rejoindre le projet d'une seule personne, ce n'est pas un projet commun.

Tout quitter et devenir soumis à demeure / Devenir soumis à demeure et tout quitter s'il le faut.
La différence ressemble à du formalisme, mais ...
Démissionner et chercher un nouveau job.
Vendre ma maison et en acheter une nouvelle

Dernière modification par toutendouceur (Le 04-11-2021 à 21h44)

Sensuelle Emilie
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Ne confondez pas soumission / esclavage / soumission à demeure.

Il y a différentes façons de vivre une relation D/s :

- Beaucoup de "couples" D/s ne se retrouvent que le week-end car ils ne vivent pas forcément ensemble; après, il peut y avoir des jeux +/- imposés par le/la Maître/sse (M) pour la personne soumise (PS); La PS vit une vie "normale" en dehors des séances. Elle ne vit pas forcément 24h/24, 7 jours/7 avec son/sa M. La PS a, je le rappelle, toujours son libre-arbitre.

- Dans le cas de l'esclavage versus soumission à demeure, la seule différence est le libre arbitre de la PS. Là, en effet, elle décide de se consacrer entièrement à son/ sa M.

J'avoue que, pour ma part, l'idée d'une soumission à demeure ou de la situation d'esclave me choque énormément, car contrairement à la relation D/s simple, en effet, la PS abandonne sa vie sociale, professionnelle, voire son identité.
Se lancer d'emblée dans une telle relation est inconcevable à mes yeux : il est déjà compliqué de trouve un/e M fiable (un vrai, pas un pseudo qui joue à panpancucul ou pire encore un pervers narcissique).

Là où la situation devient malsaine et ce quel que soit le type de relation, c'est une sorte d'état de dépendance de la PS envers son/ sa M.


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Patcage
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09-09-2021
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De mon point de vue un.e soumis.e ne se fait pas entretenir par sa Maîtresse ou son Maître. Il est bien préférable que chacun s'assume, ça permet ensuite de discuter de façon saine et de créer une relation bdsm sérieuse, éventuellement en choisissant d'établir une relation de soumission à demeure. Je respecte cette envie, mais je crains que demander à rentrer d'emblée dans la soumission à demeure décrite ne soit pas viable.

Alice.H
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19-09-2021
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Romainsoumis :

Bonjour à tous et toutes,

Comme l'indique le titre je pense de plus en plus à tout quitter de ma vie pour devenir le soumis à demeure d'une maîtresse. Pas un esclave, je cherche une relation de complicité, de confiance.
Mais m'éloigner du monde, plus de travail... Être une sorte d'homme au foyer et soumis sexuellement.
Mais ça me semble hyper difficile à trouver pour une relation sérieuse, j'ai 31 ans, j'aimerais trouver une femme dominatrice pour ça.
Avez vous déjà vécu cela ? Qu'en pensez vous ?

Hello, personnellement j'adore la soumission mais de là à la pratiquer "Ad vitam eternam" serait vraiment trop pour moi. J'aime la pratiquer en séance, ou plusieurs jours voir 1 ou 2 semaines consécutives max. Mais on reste tous différents et le tout est de trouver son équilibre. Trouver une telle relation me semble compliqué si tu n'est pas déjà soumis à une femme depuis quelques temps qui par la suite déboucherait sur la relation que tu souhaites.

Dante67
Compte Supprimé

@SensuelleEmilie : J'ai pratiqué le BDSM pendant près de 15 ans, 15 ans pendant lesquels j'ai échangé de façon assidue sur les forums, participé à des munch, et rencontres, rencontré des soums, des Doms, des esclaves etc. Je ne parle pas de simplement pratiquer un pseudo BDSM perso dans son coin, je parle de lire la littérature qui a influencé le genre, voir les premiers films, lire les livres qui ont fait avancer la cause etc. J'étais un militant en quelque sorte. Ce n'est pas parce que quelqu'un écrit une définition selon un point de vue sur le net qu'elle sera vraie pour tout le monde. D'ailleurs si ma mémoire est bonne j'avais accueilli lafilledemars qui a écrit la définition que tu as utilisé sur un autre forum. L'utilisation même d'un safeword ne fait absolument pas l'unanimité, pas plus qu'un contrat de soumission ou qu'une liste de pratiques avec lesquelles on est consentant (pour plein de raisons mais je ne reviendrai pas dessus ici, ce n'est pas le sujet).

La relation Dom/soum est basée sur une relation de couple dans laquelle il y a une exclusivité dans 95% des cas. C'est l'équivalant d'une relation vanille mais version kink/BDSM. La relation M/e en revanche est moins portée sur l'aspect sentimental. Ce n'est pas forcément un degré de soumission extrême parce que soyons réalistes : l'esclave façon "je ne m'appartiens plus je n'aucune limite et je fais tout ce qu'on me demande comme un robot" c'est pour le moins rare.
La différence essentielle est selon moi l'origine de la soumission : pour le soum, la soumission se fait pour quelqu'un de spécifique (et on n'accepterait pas de soumission à quelqu'un d'autre) là où pour l'esclave, la soumission se fait par volonté interne de servir "quelqu'un" (que ce soit le M habituel ou toute autre personne désignée, ce n'est pas important. L'important, c'est d'être utilisé).


Pour en revenir au sujet d'origine, je pense que ce qui heurte le plus quand je lis les réponses, c'est la perte d'autonomie due au fait de ne pas avoir de travail. On oublie que ce n'est que depuis 50 ans qu'il y a du bashing pro "tous au travail" alors qu'avant il était normal d'avoir une personne à la maison (oui c'est de la femme que je parle). Je ne prône pas que les femmes restent au foyer, chacun fait ce qu'il veut, cela peut-être inversé ou non et peu importe. Je pense que choisir de rester à la maison pour quelque raison que ce soit ne devrait pas être mal vu. La perte d'autonomie est un choix, c'est aussi choisir un gain de temps pour toute autre chose.
Dans notre société, il est mal vu de ne pas être utile à autrui et il n'existe aucun mot positif pour se rattacher à une situation où l'on ne fait quelque chose d'utile que pour soi-même. Freud le décrit très bien dans malaise dans la civilisation.
Si mon plaisir consiste à prendre ma retraite à 30 ans, à ensuite reprendre les études juste pour apprendre, pas pour en faire un métier, puis ensuite changer totalement de filière, puis ensuite prendre des cours de cuisine ou de danse ou d'informatique ou de langue etc... je vais kiffer grave et je ne m'ennuierais pas une seule seconde. Certains pourraient presque trouver ça à peu près acceptable parce que ce sont des loisirs où je me cultive moi-même.
En revanche, si je dis que je prendrai à ce moment là une esclave à demeure pour m'occuper d'elle et vivre le BDSM en 24/7, là ce sera de 1 vu comme de la mollesse en ce qui me concerne (et peut-être même me considèrera-t-on comme un individu dangereux), et 2, pour l'esclave, ce serait une décision de nature à foutre sa vie en l'air. Au nom de quoi ?
Si le kiff de quelqu'un c'est une activité et que cette activité est servie sur un plateau alors pourquoi travailler ? Le travail vient de Tripalium qui était un instrument de torture. Pourquoi travailler si l'on n'en a plus besoin ? Par habitude ? productivisme ?

La seule et unique chose que l'on peut éventuellement m'objecter c'est la question de la retraite (éventuellement). J'aurais tendance à dire que dans ce genre de situation, il serait bon que le M donne au soum une somme d'argent mensuelle qui serait bloquée et utilisable uniquement en cas de séparation. Une sorte d'assurance qui permettrait de se remettre sur pied en cas de rupture et surtout un "dédommagement" pour les années non cotisées pour la retraite etc (si tant est qu'on en aura une un jour). C'est plus ou moins bancal comme solution mais la vérité c'est qu'il existe tellement de couples vanille qui choisissent de ne pas forcément travailler tous les deux et il n'y a pas mort d'homme. Oui en cas de séparation il n'y aura pas la même retraite, d'un autre côté c'est parce que pendant x dizaines d'années de ta vie tu n'as pas travaillé donc y'a une explication...
J'imaginais cela ainsi : un compte joint nécessitant les deux autorisations pour débloquer de l'argent si c'est M qui retire et accessible directement si c'est le soum qui retire et un virement permanent.  A voir si cela peut se faire.

J'ai un ami extrêmement riche (des millions par dizaines) qui a énormément de difficultés à trouver quelqu'un pour partager sa vie. Certes, y'a pas mal de mannequins qui ne passent pas là et elles sont superbes. Mais peu sont prêtes à arrêter de travailler pour pouvoir avoir le même rythme de vie que lui. Et quand il y en a, on peut aussi parfois s'interroger sur leurs motivations.

Romainsoumis
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Dans ma recherche et par mon expérience, soumis même à demeure ne veut pas dire abandonner sa personnalité, ni toute vie sociale. Il est tout à fait possible d'être soumis dans le quotidien de la vie de couple, tout en ayant la possibilité de continuer à voir des amis.

Mais en effet ça libère du poids des responsabilités professionnelles ou autre en laissant une grande partie du pouvoir de décision a la dominatrice. Mais bien évidemment que ça ne se fait pas avec une inconnue ni jour au lendemain.
De toute manière une relation BDSM ça exige de la complicité, de la confiance, du dialogue, de l'écoute de part et d'autre.
Le BDSM avec un ou une partenaire inconnu c'est une absurdité

Dernière modification par Romainsoumis (Le 06-11-2021 à 14h15)


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megalosex
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Rien à voir avec le sujet, mais je viens de me rendre compte qu'en séparant en deux le pseudo "Romainsoumis" et au bon endroit, on obtient : Roma insoumis...  Étonnant ,non ?   tongue         Je... peux sortir ?


Penser est difficile, c'est pourquoi la plupart se font juges.  (Carl Gustav Jung)