Non Tilia on devrait dire Les droits de la Femme et de la citoyenne . Non parce qu’on nous appose sans cesse que « c’est Homme avec un grand H et que donc ça inclus la femme. Donc on mettrait un grand F à femmes pour que les messieurs ne se sentent pas exclus, of course. Oh putain de l’anglais, le Wokistan nous guette !

KamikaBombe :

Duchesse :

eux ne sont très certainement pas l’avenir !

Quand je vois toutes ces conneries, je me dis que la réflexion s'applique à la France entière. J'en viens à regretter que Lioubov ne puisse participer à ce topic. De toute manière, son point de vue sur la chose est connu et rejoint le mien.

Son point de vue sur toute chose est connu et  n’est pas le problème. Je vous en prie ne vous privez pas de donner le vôtre.

Clothilde092 :

En revanche les Demoiselles, elles sont passées à la trappe! Comme quoi...
Enfin, tout ça passera comme toutes les modes!
Bonsoir Mesdames, Mesdemoiselles, Messieurs!

C’est vrai.
Je trouve dommage qu’elles aient disparu. Je trouvais ça charmant et pas du tout condescendant comme certains le prétendent.

Matt Demon :

Le gros problème du français, c'est... l'Académie Française elle-même. Peuplée de (vieux) croûtons sûrs d'eux au point de faire de la flatulence intellectuelle.

C'est très bien qu'un dico prestigieux avance un pion, mais in fine c'est les Immortels qui décideront (de ne rien changer).
J'ai beau (belle ?) être contre l'écriture inclusive, il faut faire évoluer la langue clairement. Le iels appliqué aux groupes mixtes est une bonne idée, selon moi.

J'ai constaté hier que "relais" peut s'écrire "relai", ce depuis une trentaine d'années ; qui le sait ?

Perso j'utilise le iel/ielle, l'épicène et/ou l'inclusif :
- Quand je parle d'une personne non-binaire
- Quand je parle d'une personne dont j'ai suffisamment de doutes sur le genre pour pas vouloir me viander
- Quand je rédige un papier officiel et/ou visant à être lu dans un contexte officiel/politique. J'estime qu'ici, la représentation est importante (car c'est cela l'enjeu de tout cela au final : la représentation).

Le reste du temps j'ai la flemme.

Mais assez d'accord avec ce que tu dis au final. C'est pas pour rien que les anglo-saxons n'ont pas ce problème.

Dernière modification par Hellangel (Le 17-11-2021 à 21h15)

sets :

Duchesse :

sets :

Hé bien ce monsieur a tort car il est tout a fait autorisé dans la langue française d'utiliser le féminin quand dans un groupe la majorité est féminine.
C'es une règle ancienne qui n'a jamais été abrogée mais qui n'est plus utilisée.

Pas d’ironie là-dedans Sets, je veux bien un lien, une source STP. Y a pas si longtemps j’ai regardé quand et comment le masculin s’est mis à prendre le pas sur le féminin et je ne suis jamais tombée sur cette anecdote.

J'ai trouvé celui-ci : usbeketrica.com/fr/article/feminin-masculin-langue-francaise

Je viens de lire l’article qui clairement abonde dans mon sens. Je passe mon temps à vous dire que les mots formatent la pensée. Les études rapportées ici disent exactement la même chose et également que la culture y met son grain de sel et que les deux s’auto-influencent.
Il expliquent bien comment le masculin a fini par l’emporter sur le féminin, de la même manière que ce que j’avais lu jusqu’ici, avec moins de détails dans cet article mais c’est on ne peut plus en accord avec tout ce que j’ai lu jusque là. Mais je ne vois sincèrement pas à quel moment ils disent que ça n’a pas été entériné. Ils expliquent juste que ça n’a pas toujours été le cas. Ce que j’ai moi-même mainte fois répété sur le forum. A l’échelle de l’histoire de l’écriture c’est une nouveauté qui n’a réellement  pu être entérinée  par l’Académie qu’une fois que l’école a été rendue obligatoire pour les petits garçons, avant ça c’était un combat mascu vain puisque les lettrés étaient une minorité. L’Académie l’a justifié parce que le masculin est le sexe fort et qu’il doit en être dans la langue comme dans la société ; point.
Les plus conservateurs d’entre nous devraient justement voir dans l’accord de proximité un juste retour à la normal. C’est bien plus logique, simple pour les petits dyslexiques qui semblent être une véritable cause nationale dès lors qu’on parle écriture épicène, et équitable. Et ça évite de formater la pensée de la jeunesse avec la bledine.

Dernière modification par Duchesse (Le 17-11-2021 à 21h32)

GuiGui82200 :

Duchesse :

Information de la première importance

Le pronom iel, ainsi que ses déclinaisons, iels et ielles sont entrés dans Le Robert 🦾 Au nom du fait que le dictionnaire est là pour rendre compte de l’usage.

Dans le cul du ministre de l’éducation nationale et des députés  qui se sont empressés d’écrire à la prestigieuse poussiéreuse Académie Française, et dénoncent la culture Wok.
Tiens, tiens, tiens, ça me rappelle quelque chose. Il paraîtrait que l’écriture inclusive n’est pas l’avenir de la langue française. Dieu merci les immortels ne le sont pas et, au vu de leur âge, eux ne sont très certainement pas l’avenir !

Un petit pas pour la langue, un grand pas pour La Cause 🎊🦾 🍾 🥳

Bravo à toutes celles et ceux qui ont rendu possible l’entrée de ce pronom dans le dico en l’utilisant, tout simplement 🥰

Vous êtes un danger pour l'humanité avec vos idéologies à la con...

C'est pas très gentil d'être méchant avec des propos à la con

sets :

Duchesse :

sets :

J'ai trouvé celui-ci : usbeketrica.com/fr/article/feminin-masculin-langue-francaise

Je viens de lire l’article qui clairement abonde dans mon sens. Je passe mon temps à vous dire que les mots formatent la pensée. Les études rapportées ici disent exactement la même chose et également que la culture y met son grain de sel et que les deux s’auto-influencent.
Il expliquent bien comment le masculin a fini par l’emporter sur le féminin, de la même manière que ce que j’avais lu jusqu’ici, avec moins de détails dans cet article mais c’est on ne peut plus en accord avec tout ce que j’ai lu jusque là. Mais je ne vois sincèrement pas à quel moment ils disent que ça n’a pas été entériné. Ils expliquent juste que ça n’a pas toujours été le cas. Ce que j’ai moi-même mainte fois répété sur le forum. A l’échelle de l’histoire de l’écriture c’est une nouveauté qui n’a réellement  pu être entérinée  par l’Académie qu’une fois que l’école a été rendue obligatoire pour les petits garçons, avant ça c’était un combat mascu vain puisque les lettrés étaient une minorité. L’Académie l’a justifié parce que le masculin est le sexe fort et qu’il doit en être dans la langue comme dans la société ; point.
Les plus conservateurs d’entre nous devraient justement voir dans l’accord de proximité un juste retour à la normal. C’est bien plus logique, simple pour les petits dyslexiques qui semblent être une véritable cause nationale dès lors qu’on parle écriture épicène, et équitable. Et ça évite de formater la pensée de la jeunesse avec la bledine.

Il suffit donc d’appliquer des règles existantes et pas besoin de rajouter des nouvelles règles (à la con) qui compliquent tout.
C’est ce que je dis depuis toujours.

Mais la règle de l’accord de proximité n’existe plus !! On accorde au masculin parce que c’est le sexe fort et qu’il doit en être de même dans la langue et dans la société ; dixit les immortels ! Quand on applique l’accord de proximité c’est considéré comme de l’écriture inclusive ! On se fait pointer du doigt ! Y a des pétitions en cours pour avoir le droit de revenir aux fondamentaux. Rends une copie du bac avec un accord de proximité tiens ! Tu vas voir si c’est la règle 😁

Change.org hein pour la pétition pour que la règle de l’accord de proximité soit en vigueur À vot’ bon cœur c’est pour les petits dyslexiques 🤪

Dernière modification par Duchesse (Le 17-11-2021 à 21h52)