Le site de l'histoire érotique
Lioubov
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Néron :

J'aurais tendance à dire "Nana" pour le féminin de mec

Peut-être "gonzesse", ou bien "poule", voire "greluche" aussi ?


Un loup qui ne se laissera pas déconstruire !
Néron
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Lioubov :

Néron :

J'aurais tendance à dire "Nana" pour le féminin de mec

Peut-être "gonzesse", ou bien "poule", voire "greluche" aussi ?

À ce compte là, autant reprendre la chanson "Ma gonzesse" de Renaud et reprendre tous les termes 🤔


Ma première histoire à 4 mains : L'Odyssée des glands 🐿
lea51
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Cherryy :

Le féminin de "mec" C'est "meuf"

Et non, malheureusement, même si c'est son site, il n'est pas libre dessus. De la même manière que chez toi, tu n'es pas libre de tout non plus.

il est bien sur libre d'accepter ou de refuser quelque texte qu'il soit

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Quand j'écris, la majeure partie du temps, je m'efforce et ce même si c'est fictif, à faire en sorte paraisse la plus crédible possible. J'essaie de l'imprégner le plus possible dans la réalité. Pour cela, je fais des recherches sur des lieux, la psychologie, de la lingerie, des vêtements, des cosmétiques, de musique etc.
Après... Je reste dans mon style à savoir la sensualité et la complicité, la tendresse et la patience, l'érotisme et le plaisir mutuel.

Sucette.stories
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(prends sa voix de Père Fourras, ou Père Fourreras) Quand j'étais ado dans les années 90, les dictionnaires "vieux -jeune" (écrits par des vieux, certainement) disaient que mec était le verlan d'homme, ce qui n'avait pas de sens. Qui plus est, pas d'internet, pas d'entrée dans le Larousse, donc on ne pouvait qu'y croire...

Et de ce fait, comme il n'y avait pas beaucoup de synonymes argotiques, grosso modo y avait que "mec" et "meuf" (et nana, dit plus haut) pour désigner un homme ou une femme.

Paradoxalement, on en a fait de verlans : keum (ce qui a donné l'émission Minikeums) et femeu. C'est donc ironique de se dire que le verlan du verlan de femme, n'est pas femme mais femeu.

Sucette.stories
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Quand j'écris, la majeure partie du temps, je m'efforce et ce même si c'est fictif, à faire en sorte paraisse la plus crédible possible. J'essaie de l'imprégner le plus possible dans la réalité. Pour cela, je fais des recherches sur des lieux, la psychologie, de la lingerie, des vêtements, des cosmétiques, de musique etc.
Après... Je reste dans mon style à savoir la sensualité et la complicité, la tendresse et la patience, l'érotisme et le plaisir mutuel.

C'est intéressant, ce que tu dis là, cela dit les histoires sur le net sont souvent assez courtes (très clairement j'ai pas envie de lire une histoire érotique aussi longue que le temps perdu) donc l'avancée de l'histoire est aussi rocambolesque : vingt lignes plus tard, les protagonistes copulent à même le sol (ou dans une montgolfière, ou sur la Tour Eiffel, ou sur la table du dîner de Noël devant les invités). Perso, cela ne me dérange pas quand je veux lire une histoire cru : à l'inverse, comme ça reste bien dans la sphère de l'imaginaire, je fais bien la distinction réalité et fiction (sinon les hommes viendraient à réclamer des pipes à une inconnue qui passe dans la rue... Comment ça cela se fait déjà, malheureusement ?)

A l'inverse une histoire érotique qui prend en son temps pour monter, même si elle termine par un banal plan missionnaire, ça dérange pas. C'est encore mieux si la température monte à 200 degrés et que tout le kama sutra y passe ^^

Animus.Anima
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C'est ce qui fait la différence entre porno et érotisme. L'érotisme détaille davantage la psychologie des personnages car il faut suggérer dans un premier temps.

Porno = Bonjour je suis le réparateur de tv, je viens brancher la prise mâle dans la prise femelle
Femme = Owiiiii ma prise femelle à besoin d'être comblée

sets
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Ho ouiiii mon gros loup, rebranche moi la box, sors ta grosse fibre et balance moi tes uploads

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Après... Je reste dans mon style à savoir la sensualité et la complicité, la tendresse et la patience, l'érotisme et le plaisir mutuel.

C'est intéressant, ce que tu dis là, cela dit les histoires sur le net sont souvent assez courtes (très clairement j'ai pas envie de lire une histoire érotique aussi longue que le temps perdu) donc l'avancée de l'histoire est aussi rocambolesque : vingt lignes plus tard, les protagonistes copulent à même le sol (ou dans une montgolfière, ou sur la Tour Eiffel, ou sur la table du dîner de Noël devant les invités). Perso, cela ne me dérange pas quand je veux lire une histoire cru : à l'inverse, comme ça reste bien dans la sphère de l'imaginaire, je fais bien la distinction réalité et fiction (sinon les hommes viendraient à réclamer des pipes à une inconnue qui passe dans la rue... Comment ça cela se fait déjà, malheureusement ?)

A l'inverse une histoire érotique qui prend en son temps pour monter, même si elle termine par un banal plan missionnaire, ça dérange pas. C'est encore mieux si la température monte à 200 degrés et que tout le kama sutra y passe ^^

Pour ma part, je décris tout un contexte sur un couple. Je glisse des anecdotes dans le passé. Cela sert à étayer et à renforcer l'esprit de complicité et de sensualité. Ça peut m'arriver de faire usage de flashbacks.
Tout ça, je le prépare toujours en amont d'une histoire, dans ce que j'appelle le 'cahier des charges' de l'histoire.

Je fais monter la température petite touche par petite touche.
En ce qui concerne le sexe, j'utilise plutôt des ellipses pour suggérer plutôt que pour décrire explicitement.
En général, l'avant et l'après sont davantage décrits.
C'est mon style. Tout simplement.

Cherryy
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Quand j'écris, la majeure partie du temps, je m'efforce et ce même si c'est fictif, à faire en sorte paraisse la plus crédible possible. J'essaie de l'imprégner le plus possible dans la réalité. Pour cela, je fais des recherches sur des lieux, la psychologie, de la lingerie, des vêtements, des cosmétiques, de musique etc.
Après... Je reste dans mon style à savoir la sensualité et la complicité, la tendresse et la patience, l'érotisme et le plaisir mutuel.

C'est intéressant, ce que tu dis là, cela dit les histoires sur le net sont souvent assez courtes (très clairement j'ai pas envie de lire une histoire érotique aussi longue que le temps perdu) donc l'avancée de l'histoire est aussi rocambolesque : vingt lignes plus tard, les protagonistes copulent à même le sol (ou dans une montgolfière, ou sur la Tour Eiffel, ou sur la table du dîner de Noël devant les invités). Perso, cela ne me dérange pas quand je veux lire une histoire cru : à l'inverse, comme ça reste bien dans la sphère de l'imaginaire, je fais bien la distinction réalité et fiction (sinon les hommes viendraient à réclamer des pipes à une inconnue qui passe dans la rue... Comment ça cela se fait déjà, malheureusement ?)

A l'inverse une histoire érotique qui prend en son temps pour monter, même si elle termine par un banal plan missionnaire, ça dérange pas. C'est encore mieux si la température monte à 200 degrés et que tout le kama sutra y passe ^^

Pour ma part, je décris tout un contexte sur un couple. Je glisse des anecdotes dans le passé. Cela sert à étayer et à renforcer l'esprit de complicité et de sensualité. Ça peut m'arriver de faire usage de flashbacks.
Tout ça, je le prépare toujours en amont d'une histoire, dans ce que j'appelle le 'cahier des charges' de l'histoire.

Je fais monter la température petite touche par petite touche.
En ce qui concerne le sexe, j'utilise plutôt des ellipses pour suggérer plutôt que pour décrire explicitement.
En général, l'avant et l'après sont davantage décrits.
C'est mon style. Tout simplement.

Oh bah j'irai lire tes histoires alors wink

Sucette.stories
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10-11-2021
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Vous avez demandé le haut débit ? Vous l'aurez dans quelques instants, mais je n'ai qu'un(e) seul(e) giga-bit(e). Par contre, qu'est-ce qu'il pin(g)e par seconde !

Sucette.stories
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10-11-2021
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En réalité, j'aile autant l'érotisme quebla pornographie. J'avoue que voir une femme faire un strip tease lent m'emoustille, mais parfoiss j'aime bien mater une scène bien hard.

Cela dépend également pour les histoires, mais je préfère à 90% quand ça va droit au but, un peu vulgaire et cash

Malkuth
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03-08-2021
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Vroom :

Bonjour,

Je vois passer plusieurs textes qui mettent en scène certaines situations que je ne crois pas crédibles. Mesdames, qu’en pensez vous ?

1. La femme qui subit un chantage odieux pour un rapport sexuel mais qui finalement « prend un pied pas possible « ;
2. La nana qui prend son pied du fait de la présence de son mari mais sans que celui-ci ne soit consentant;
3. La personne de sexe féminin qui se fait menacée pour avoir des rapports mais qui finalement atteint un orgasme très puissant.

Je sais que c’est peine perdue mais… messieurs, je pose la question à ces dames. Pourriez-vous vous abstenir d’intervenir ici? D’avance merci ( même si c’est grossier).

Non, ce n'est pas crédible. Et dans tous les cas si une situation comme 1 ou 3 se passait dans la vraie vie, ça serait un viol (que la femme prenne son pied ou pas).
La situation 2 pourrait arriver je pense, mais elle serait vraiment malsaine et poserait de grosses questions sur la toxicité de la dame.

Maintenant, on est sur un site de fictions, et les fictions sont très rarement crédibles ou réalistes quand on creuse vraiment. A fortiori quand on parle de fictions érotiques et pornographiques.