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- Animal_75013
- Conteuse
- Lioubov
- SYL30
- 07-02-2013
- 9111 Messages
Buenas,
C'est dans le titre.
Des idées, des suggestions, des retours d'expérience peut-être ?
Cay pas pour moi, cay pour un ami.
- 08-11-2020
- 12947 Messages
Son corps ses choix.
A elle de vivre ensuite avec l'hypothétique traumatisme physique et/ou psychologique qu'un avortement peut s'avérer être. Donc il n'y a pas à essayer de l'influencer. Ca serait de la manipulation. Elle doit pouvoir réfléchir sereine dans son propre intérêt et en marge de l'influence d'une personne souhaitant lui faire prendre une décision qu'iel n'aura pas à assumer.
Vos droits à vous ( les porteurs de têtards procréateurs ) se situent en amont de la grossesse. Imposer le port du préservatif, utiliser les anneaux contraceptifs ou les slips chauffants...
Dernière modification par Duchesse (Le 12-12-2021 à 19h00)
Les mauvaises langues parlent, les bonnes donnent des orgasmes.
- 02-09-2017
- 1681 Messages
Duchesse :
Son corps ses choix.
A elle de vivre ensuite avec l'hypothétique traumatisme physique et/ou psychologique qu'un avortement peut s'avérer être. Donc il n'y a pas à essayer de l'influencer. Ca serait de la manipulation. Elle doit pouvoir réfléchir sereine dans son propre intérêt et en marge de l'influence d'une personne souhaitant lui faire prendre une décision qu'iel n'aura pas à assumer.
Vos droits à vous ( les porteurs de têtards procréateurs ) se situent en amont de la grossesse. Imposer le port du préservatif, utiliser les anneaux contraceptifs ou les slips chauffants...
De préciser que la décision refléchie d'une femme de maintenir une grossesse, si effectuée durant le délai légal d'avortement, ne doit pas contraindre l'homme à la paternité. Je maintiens très fermement que la femme a pleine disposition de son corps et doit pouvoir avorter en toutes circonstances, mais je trouve révoltant qu'il ne soit pas possible pour un homme de rejeter toute éventuelle paternité, de manière préventive, si lui ne désire pas avoir cet enfant.
Si la conception d'un enfant implique deux personnes, la décision de le garder aussi. Il est, selon moi, injuste que la décision d'une femme impacte l'homme sans que celui-ci n'ait aucune échappatoire.
Je précise que ceci ne devrait bien entendu être possible que lorsque la grossesse a été connue à temps et que les délais de réflexion et d'action, ainsi que l'accès pratique à l'IVG étaient garantis.
J'vais pas me faire des copains sur ce coup je crois.
Dernière modification par Hellangel (Le 12-12-2021 à 19h22)
- 10-08-2021
- 355 Messages
c'est sa décision si elle décide de ne pas avorter cest son choix son consentement. si pour elle avorter signifie tuer un enfant et que c'est trop dur pour elle rien que l'idée de le faire alors il faut respecter son choix
- 07-02-2013
- 9111 Messages
@Duchesse: Tout le monde est sous influence, même le silence d'une personne peut générer de l'influence. Comme le dit Hellangel, la conception se fait à 2, la décision doit se faire à deux également. Avec un minimum d'influence extérieure (famille, religion ...), mais il faut que le couple en discute.
- 10-08-2021
- 355 Messages
mon ex m'a fait une blague une fois en me disant qu'elle était enceinte. je pensais que cétait vrai et ayant 20ans j'ai naturellement pen sé à l'avortement. j'en ai discuté avec elle mais il était inconcevable pour elle d'avorter. pour elle avorter était synonime de meurtre. j'étais pas d'accord avec elle mais je me suis dis qu'il était probablement plus simple pour moi et nous d'avoir cet enfant que pour elle d'avoir un meurtre sur la conscience toute sa vie. je sais aussi quelle influence peut avoir une personne ce genre d'evenement, sans parler du potentiel transfert sur ses futurs enfants
- 02-09-2017
- 1681 Messages
Tilia TV :
@Duchesse: Tout le monde est sous influence, même le silence d'une personne peut générer de l'influence. Comme le dit Hellangel, la conception se fait à 2, la décision doit se faire à deux également. Avec un minimum d'influence extérieure (famille, religion ...), mais il faut que le couple en discute.
Par contre ne tente pas de me rallier à ta cause. J'en doute fortement, mais si ton sujet est premier degré, c'est abject et je refuse d'être associé à ce genre d'idées nauséabondes, merci.
- 10-08-2021
- 355 Messages
Hellangel :
Duchesse :
Son corps ses choix.
A elle de vivre ensuite avec l'hypothétique traumatisme physique et/ou psychologique qu'un avortement peut s'avérer être. Donc il n'y a pas à essayer de l'influencer. Ca serait de la manipulation. Elle doit pouvoir réfléchir sereine dans son propre intérêt et en marge de l'influence d'une personne souhaitant lui faire prendre une décision qu'iel n'aura pas à assumer.
Vos droits à vous ( les porteurs de têtards procréateurs ) se situent en amont de la grossesse. Imposer le port du préservatif, utiliser les anneaux contraceptifs ou les slips chauffants...De préciser que la décision refléchie d'une femme de maintenir une grossesse, si effectuée durant le délai légal d'avortement, ne doit pas contraindre l'homme à la paternité. Je maintiens très fermement que la femme a pleine disposition de son corps et doit pouvoir avorter en toutes circonstances, mais je trouve révoltant qu'il ne soit pas possible pour un homme de rejeter toute éventuelle paternité, de manière préventive, si lui ne désire pas avoir cet enfant.
Si la conception d'un enfant implique deux personnes, la décision de le garder aussi. Il est, selon moi, injuste que la décision d'une femme impacte l'homme sans que celui-ci n'ait aucune échappatoire.
Je précise que ceci ne devrait bien entendu être possible que lorsque la grossesse a été connue à temps et que les délais de réflexion et d'action, ainsi que l'accès pratique à l'IVG étaient garantis.
J'vais pas me faire des copains sur ce coup je crois.
il avait qu'à mettre une capote ou faire attention l'homme comme tu dis. c'est facile de dire à une femme d'avorter aprés avoir tiré sous coup alors que la personne en face sera traumatisé toute sa vie
- 08-11-2020
- 12947 Messages
Hellangel :
Duchesse :
Son corps ses choix.
A elle de vivre ensuite avec l'hypothétique traumatisme physique et/ou psychologique qu'un avortement peut s'avérer être. Donc il n'y a pas à essayer de l'influencer. Ca serait de la manipulation. Elle doit pouvoir réfléchir sereine dans son propre intérêt et en marge de l'influence d'une personne souhaitant lui faire prendre une décision qu'iel n'aura pas à assumer.
Vos droits à vous ( les porteurs de têtards procréateurs ) se situent en amont de la grossesse. Imposer le port du préservatif, utiliser les anneaux contraceptifs ou les slips chauffants...De préciser que la décision refléchie d'une femme de maintenir une grossesse, si effectuée durant le délai légal d'avortement, ne doit pas contraindre l'homme à la paternité. Je maintiens très fermement que la femme a pleine disposition de son corps et doit pouvoir avorter en toutes circonstances, mais je trouve révoltant qu'il ne soit pas possible pour un homme de rejeter toute éventuelle paternité, de manière préventive, si lui ne désire pas avoir cet enfant.
Si la conception d'un enfant implique deux personnes, la décision de le garder aussi. Il est, selon moi, injuste que la décision d'une femme impacte l'homme sans que celui-ci n'ait aucune échappatoire.
Je précise que ceci ne devrait bien entendu être possible que lorsque la grossesse a été connue à temps et que les délais de réflexion et d'action, ainsi que l'accès pratique à l'IVG étaient garantis.
J'vais pas me faire des copains sur ce coup je crois.
Non mais dans l'absolu, je suis plutôt d'accord avec toi. Un géniteur ne devrait pas se retrouver à de voir assumer financièrement un enfant qui a été gardé contre son gré ; soit. Mais c'est simplement un débat tout autre.
En l'occurrence on nous demande juste de l'aide pour influencer l'opinion d'une femme qui porte une vie et devra assumer les hypothétiques conséquences de l'avortement. Juste, je ne mange pas de ce pain-là. Le géniteur doit pouvoir s’exprimer, naturellement.
@Tilia, tu dis que le couple doit pouvoir en parler. Je suis d'accord. J'ai avorté deux fois, les deux fois ça s'est passé comme ça. Sauf qu'une fois que t'as donné ton avis et tes arguments et qu'elle ne souhaite toujours pas avorter mais que tu persistes à vouloir changer d'avis, recueillir des conseils pour influencer sa décision et que tu n'entends pas lâcher l'affaire tant qu'elle ne fera pas ce que toi tu souhaites ; là on dépasse la discussion. Tu risques de basculer vers le harcèlement et la manipulation.
Faut pouvoir exprimer son opinion mais faut aussi être capable d'entendre la réponse qui nous est faite.
Dernière modification par Duchesse (Le 12-12-2021 à 19h57)
Les mauvaises langues parlent, les bonnes donnent des orgasmes.
- 10-08-2021
- 355 Messages
mmm le bon harcelement, comme technique tu peut aussi lui mettre la pression chaques jours avec des arguments differents, humilier son avis devant sa famille pour la faire plier c'est pas mal
autrement tu lui plante un couteau dans le bide
- 02-09-2017
- 1681 Messages
Cataclope :
Hellangel :
Duchesse :
Son corps ses choix.
A elle de vivre ensuite avec l'hypothétique traumatisme physique et/ou psychologique qu'un avortement peut s'avérer être. Donc il n'y a pas à essayer de l'influencer. Ca serait de la manipulation. Elle doit pouvoir réfléchir sereine dans son propre intérêt et en marge de l'influence d'une personne souhaitant lui faire prendre une décision qu'iel n'aura pas à assumer.
Vos droits à vous ( les porteurs de têtards procréateurs ) se situent en amont de la grossesse. Imposer le port du préservatif, utiliser les anneaux contraceptifs ou les slips chauffants...De préciser que la décision refléchie d'une femme de maintenir une grossesse, si effectuée durant le délai légal d'avortement, ne doit pas contraindre l'homme à la paternité. Je maintiens très fermement que la femme a pleine disposition de son corps et doit pouvoir avorter en toutes circonstances, mais je trouve révoltant qu'il ne soit pas possible pour un homme de rejeter toute éventuelle paternité, de manière préventive, si lui ne désire pas avoir cet enfant.
Si la conception d'un enfant implique deux personnes, la décision de le garder aussi. Il est, selon moi, injuste que la décision d'une femme impacte l'homme sans que celui-ci n'ait aucune échappatoire.
Je précise que ceci ne devrait bien entendu être possible que lorsque la grossesse a été connue à temps et que les délais de réflexion et d'action, ainsi que l'accès pratique à l'IVG étaient garantis.
J'vais pas me faire des copains sur ce coup je crois.il avait qu'à mettre une capote ou faire attention l'homme comme tu dis. c'est facile de dire à une femme d'avorter aprés avoir tiré sous coup alors que la personne en face sera traumatisé toute sa vie
1) Qui a dit que l'homme en question n'avait pas mis de capote et voulait "juste tirer son coup"?
2) La femme n'était pas d'accord pour un rapport sans capote, elle? Pourquoi la décision impliquant deux personnes ne revient qu'à elle?
3) Je l'ai précisé : la décision d'avorter ou non ne revient qu'à la femme, sans concession. Je dis juste qu'elle ne doit pas impliquer l'homme si celui-ci décide de récuser sa paternité. Voir le concept de géniteur sous X et de projet parental.
4) Est-ce que j'ai parlé d'influence? De menace? De contrainte? De pression?
Merci de ne pas m'affubler d'intentions et d'étiquettes à ta guise et d'utiliser le vilain homme de paille, ça me gonfle. Faut apprendre à lire d'abord.
Dernière modification par Hellangel (Le 12-12-2021 à 19h56)
- 07-02-2013
- 9111 Messages
Hellangel :
Tilia TV :
@Duchesse: Tout le monde est sous influence, même le silence d'une personne peut générer de l'influence. Comme le dit Hellangel, la conception se fait à 2, la décision doit se faire à deux également. Avec un minimum d'influence extérieure (famille, religion ...), mais il faut que le couple en discute.
Par contre ne tente pas de me rallier à ta cause. J'en doute fortement, mais si ton sujet est premier degré, c'est abject et je refuse d'être associé à ce genre d'idées nauséabondes, merci.
euh? Quelle cause ? J'ai plutôt l'impression que l'on dit la même chose, que c'est une décision qui doit se faire à deux. Ou peut être que je n'ai absolument pas compris ton intervention.
A aucun moment il faut lire dans le titre de ce sujet "je veux que ma copine avorte, ou se trouve le vendeur d'aiguille le plus proche ?". Je n'ai pas trop détaillé la situation car je ne souhaite pas que mon ami tombe sur ce sujet par hasard, cela a peut être pu entrainer un quiproquo, déso.
sur les 30 derniers jours
depuis toujours
- 20-01-2021
- 7302 Messages
La décision d'avorter doit revenir à cette femme. Pas à cet homme. C'est son corps, elle en fait ce qu'elle veut. S'il ne veut pas qu'elle garde l'enfant, elle largue ce con et elle le remplace.
Elle ne serait ni la première ni la dernière mère célibataire.
Lui doit accepter d'être père et doit assumer.
Si elle avorte, des années plus tard elle risque de pleurer l'enfant perdu.
Elle finira bien par rencontrer un homme bien qui acceptera l'enfant comme si c'était le sien.
Dernière modification par Max80 (Le 12-12-2021 à 19h59)
Membre de la Bibliothèque de l'impossible
Chatterton disponible. 🤐🔇🔕📵🚭🔞. 🤣🤣🤣
Dynamiteur de forumeux. Headshots 11. Barjo asocial.
À paraître prochainement, Slaanesh offre son petit trou.
- 10-08-2021
- 355 Messages
Hellangel :
Cataclope :
Hellangel :
De préciser que la décision refléchie d'une femme de maintenir une grossesse, si effectuée durant le délai légal d'avortement, ne doit pas contraindre l'homme à la paternité. Je maintiens très fermement que la femme a pleine disposition de son corps et doit pouvoir avorter en toutes circonstances, mais je trouve révoltant qu'il ne soit pas possible pour un homme de rejeter toute éventuelle paternité, de manière préventive, si lui ne désire pas avoir cet enfant.
Si la conception d'un enfant implique deux personnes, la décision de le garder aussi. Il est, selon moi, injuste que la décision d'une femme impacte l'homme sans que celui-ci n'ait aucune échappatoire.
Je précise que ceci ne devrait bien entendu être possible que lorsque la grossesse a été connue à temps et que les délais de réflexion et d'action, ainsi que l'accès pratique à l'IVG étaient garantis.
J'vais pas me faire des copains sur ce coup je crois.il avait qu'à mettre une capote ou faire attention l'homme comme tu dis. c'est facile de dire à une femme d'avorter aprés avoir tiré sous coup alors que la personne en face sera traumatisé toute sa vie
1) Qui a dit que l'homme en question n'avait pas mis de capote et voulait "juste tirer son coup"?
2) La femme n'était pas d'accord pour un rapport sans capote, elle? Pourquoi la décision impliquant deux personnes ne revient qu'à elle?
3) Je l'ai précisé : la décision d'avorter ou non ne revient qu'à la femme, sans concession. Je dis juste qu'elle ne doit pas impliquer l'homme si celui-ci décide de récuser sa paternité. Voir le concept de géniteur sous X et de projet parental.
Merci de ne pas m'affubler d'intentions et d'étiquettes à ta guise et d'utiliser le vilain homme de paille, ça me gonfle. Faut apprendre à lire d'abord.
j'ai pas dis que la décision ne revenait qu'à la femme seulementc'est elle qui porte la décision final et les certaines conséquences. ensuite admettons qu'il portait une capotte, si elle est enceinte c'est qu'elle ne prenait pas la pilule donc si il ne savait pas il aurait du demander, le risque zero avec une capote n'existe pas, il aurait du annuler relation en sachant ça