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  •  » Comment convaincre sa copine d'avorter ?

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megalosex
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Sharhajar 7.0 :

Alors que le cintre soit ça marche soit elle est plus là pour se plaindre.

Il fut une époque où celles qu'on appelait les "faiseuses d'anges", utilisaient, entre autre, une aiguille à tricoter...


Penser est difficile, c'est pourquoi la plupart se font juges.  (Carl Gustav Jung)
The Punisher
Compte Supprimé

Il n'avait qu'à se faire une vasectomie.
Avantage, c'est réversible et pas de risque d'être papa.

Dernière modification par Max80 (Le 12-12-2021 à 20h34)

Duchesse
Super Autrice
08-11-2020
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Tilia TV :

Duchesse :

J'ai avorté deux fois, les deux fois ça s'est passé comme ça.

Les medecins disent quoi deja sur le nombre d'avortement ? Plus de 2 ça craint ?

Je vois pas où tu veux en venir. J’ai même jamais entendu que ça devenait dangereux au-delà d’un certain nombre.
J’ai gardé les deux suivants parce que j’étais dans une relation de couple stable et que j’avais envie d’être mère depuis toujours.

Là je suis célibataire depuis fin août, j’ai eu deux partenaires différents. Capotes à tous les coups. Sur les deux, y en a un qui s’en serait passé si j’avais pas été à l’initiative ; clairement. Il ne m’a pas demandé si je prenais la pilule et m’a fait confiance sur le fait que je suis clean de toutes les IST. Pourtant je ne prends pas la pilule. Ma belle-sœur de 22 ans et morte de ces saloperies de pilule 3 ème génération quand j’étais enceinte. Ça m’a guerie.

Là au printemps, je me fais un week-end avec un mec avec qui j’échange depuis des mois. Il se comporte comme un adulte responsable. J’ai le HPV moi. Comme beaucoup de gens. Ben y a deux jours si j’étais chez le gynéco c’était pour voir où ça en est, avoir une ordo pour la syphilis, le HIV, la ghonorée et accessoirement avoir la pilule pour pas avoir mes règles ce week-end là et se passer de capotes.

Je fais tout pour pas tomber enceinte mais si ça m’arrivait je subirais un troisième avortement sans y réfléchir ! Je comprends pas trop ton sous-entendu.


Les mauvaises langues parlent, les bonnes donnent des orgasmes.
Hellangel
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02-09-2017
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"C'est réversible"

Merci Jean-Mi de nous éclairer de ta grande sagesse.

Dernière modification par Hellangel (Le 12-12-2021 à 20h40)

Alex et Laetitia
Super Auteur
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20-02-2021
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Bonsoir,

Pour ma part, avec Laetitia, c'est le problème inverse que nous rencontrons. Étant frère et sœur, il m'est impossible d'apparaître en tant que père légitime sur l'acte de naissance de nos enfants. Mais ceci est un autre débat qui ne concerne pas le sujet.

Pour ce qui est de l'avortement, j'ai lu certains qui parlent des filles qui cherchent juste un homme pour les mettre enceintes. En général, l'homme ne court aucun risque avec ces femmes. La loi n'autorisant pas encore à adopter en étant célibataire et sans problème de fertilité, la femme ne va pas aller rappeler le gars qui l'aura mise enceinte (sauf si le bébé a un problème de santé).

Pour les autres cas, être en couple, c'est aussi se parler. On peut parler de sujet "d'avenirs" comme une éventuelle grossesse. Que chacun dise ce qu'il pense de l'avortement par exemple. Si déjà les deux sont en opposition, autant arrêter les frais dès le début de la relation. Si la femme tombe enceinte, l'un des deux se sentira pris au piège de l'autre (soit parce que la fille avorte sous la pression de l'homme, soit parce que la fille garde le bébé que l'homme ne désire pas). Donc mieux vaut aborder ce type de sujet dès le début de la relation pour éviter les mauvaises surprises.

Si le sujet n'a jamais été abordé et que la femme tombe enceinte sans savoir si l'homme sera d'accord pour le garder, la responsabilité vient aux deux parties d'avoir pris une décision sans avoir pris en considération le point de vue de l'autre. Garder l'enfant ou avorter sera quoi qu'il arrive, un conflit au sein du couple qui risque d'aboutir à la rupture.

Mais nous pourrions aussi prendre le problème dans l'autre sens. Si la fille veut avorter mais que l'homme tient à devenir père et refuse que la femme avorte.

Pour ma part, même si Laetitia arrêtait définitivement la pilule et qu'elle tombe enceinte dix fois, je ne lui demanderais jamais d'avorter. Un enfant, c'est beaucoup de contraintes, mais c'est aussi beaucoup de bonheur. Et le bonheur apporté (pour moi) pèsera toujours plus lourd dans la balance que toutes les contraintes réunies.

Et pour les hommes qui ne veulent pas d'enfant, il faut aussi penser à l'avenir. Arrivés à la cinquantaine et sans enfant, ne regretterez-vous jamais d'avoir poussé une femme à avorter et vous retrouver ainsi sans enfant et sans descendance ?

Hellangel
Super Auteur
02-09-2017
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Alex et Laetitia :

Bonsoir,

Pour ma part, avec Laetitia, c'est le problème inverse que nous rencontrons. Étant frère et sœur, il m'est impossible d'apparaître en tant que père légitime sur l'acte de naissance de nos enfants. Mais ceci est un autre débat qui ne concerne pas le sujet.

Pour ce qui est de l'avortement, j'ai lu certains qui parlent des filles qui cherchent juste un homme pour les mettre enceintes. En général, l'homme ne court aucun risque avec ces femmes. La loi n'autorisant pas encore à adopter en étant célibataire et sans problème de fertilité, la femme ne va pas aller rappeler le gars qui l'aura mise enceinte (sauf si le bébé a un problème de santé).

Pour les autres cas, être en couple, c'est aussi se parler. On peut parler de sujet "d'avenirs" comme une éventuelle grossesse. Que chacun dise ce qu'il pense de l'avortement par exemple. Si déjà les deux sont en opposition, autant arrêter les frais dès le début de la relation. Si la femme tombe enceinte, l'un des deux se sentira pris au piège de l'autre (soit parce que la fille avorte sous la pression de l'homme, soit parce que la fille garde le bébé que l'homme ne désire pas). Donc mieux vaut aborder ce type de sujet dès le début de la relation pour éviter les mauvaises surprises.

Si le sujet n'a jamais été abordé et que la femme tombe enceinte sans savoir si l'homme sera d'accord pour le garder, la responsabilité vient aux deux parties d'avoir pris une décision sans avoir pris en considération le point de vue de l'autre. Garder l'enfant ou avorter sera quoi qu'il arrive, un conflit au sein du couple qui risque d'aboutir à la rupture.

Mais nous pourrions aussi prendre le problème dans l'autre sens. Si la fille veut avorter mais que l'homme tient à devenir père et refuse que la femme avorte.

Pour ma part, même si Laetitia arrêtait définitivement la pilule et qu'elle tombe enceinte dix fois, je ne lui demanderais jamais d'avorter. Un enfant, c'est beaucoup de contraintes, mais c'est aussi beaucoup de bonheur. Et le bonheur apporté (pour moi) pèsera toujours plus lourd dans la balance que toutes les contraintes réunies.

Et pour les hommes qui ne veulent pas d'enfant, il faut aussi penser à l'avenir. Arrivés à la cinquantaine et sans enfant, ne regretterez-vous jamais d'avoir poussé une femme à avorter et vous retrouver ainsi sans enfant et sans descendance ?

Pas besoin d'être parent pour avoir de la descendance, hehehe.

Blague à part : beaucoup de gens n'ont pas d'enfants et ne le regrettent jamais. Je pense qu'il faut arrêter de véhiculer cette idée (et donc la pression qui en découle) qu'il faut avoir des enfants.

Cela amène à des gens de 30-35 ans qui ne veulent pas d'enfants au temps T0, mais en font parce qu'ils sont persuadés de le regretter plus tard. Résultat des courses : en fait ils voulaient vraiment pas d'enfant, regrettent silencieusement d'en avoir eu, et leur apportent une éducation de merde. Ou bien ils sont juste malheureux et frustrés.

Chacun et chacune fait ce qu'il veut. Qu'on veuille en avoir 0 ou 14 en fait.

Duchesse
Super Autrice
08-11-2020
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Alex et Laetitia :

Bonsoir,

Pour ma part, avec Laetitia, c'est le problème inverse que nous rencontrons. Étant frère et sœur, il m'est impossible d'apparaître en tant que père légitime sur l'acte de naissance de nos enfants. Mais ceci est un autre débat qui ne concerne pas le sujet.

Pour ce qui est de l'avortement, j'ai lu certains qui parlent des filles qui cherchent juste un homme pour les mettre enceintes. En général, l'homme ne court aucun risque avec ces femmes. La loi n'autorisant pas encore à adopter en étant célibataire et sans problème de fertilité, la femme ne va pas aller rappeler le gars qui l'aura mise enceinte (sauf si le bébé a un problème de santé).

Pour les autres cas, être en couple, c'est aussi se parler. On peut parler de sujet "d'avenirs" comme une éventuelle grossesse. Que chacun dise ce qu'il pense de l'avortement par exemple. Si déjà les deux sont en opposition, autant arrêter les frais dès le début de la relation. Si la femme tombe enceinte, l'un des deux se sentira pris au piège de l'autre (soit parce que la fille avorte sous la pression de l'homme, soit parce que la fille garde le bébé que l'homme ne désire pas). Donc mieux vaut aborder ce type de sujet dès le début de la relation pour éviter les mauvaises surprises.

Si le sujet n'a jamais été abordé et que la femme tombe enceinte sans savoir si l'homme sera d'accord pour le garder, la responsabilité vient aux deux parties d'avoir pris une décision sans avoir pris en considération le point de vue de l'autre. Garder l'enfant ou avorter sera quoi qu'il arrive, un conflit au sein du couple qui risque d'aboutir à la rupture.

Mais nous pourrions aussi prendre le problème dans l'autre sens. Si la fille veut avorter mais que l'homme tient à devenir père et refuse que la femme avorte.

Pour ma part, même si Laetitia arrêtait définitivement la pilule et qu'elle tombe enceinte dix fois, je ne lui demanderais jamais d'avorter. Un enfant, c'est beaucoup de contraintes, mais c'est aussi beaucoup de bonheur. Et le bonheur apporté (pour moi) pèsera toujours plus lourd dans la balance que toutes les contraintes réunies.

Et pour les hommes qui ne veulent pas d'enfant, il faut aussi penser à l'avenir. Arrivés à la cinquantaine et sans enfant, ne regretterez-vous jamais d'avoir poussé une femme à avorter et vous retrouver ainsi sans enfant et sans descendance ?

Salut Alex
Vous avez des enfants ou vous aimeriez en avoir ?


Les mauvaises langues parlent, les bonnes donnent des orgasmes.
Sensuelle Emilie
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Tilia TV :

Buenas,
C'est dans le titre.
Des idées, des suggestions, des retours d'expérience peut-être ?
Cay pas pour moi, cay pour un ami.

Je n'ai pas tut lu, mais je pense que ça a dû être déjà écrit : la décision doit être prise par ton amie et le père de l'enfant.
Après, il peut y avoir besoin d'une interruption médicale de grossesse. J'imagine que ce n'est pas une décision facile à prendre quelles que soient les circonstances.
Je me demande, si c'est pas trop indiscret, pourquoi toi tu voudrais la convaincre d'avorter ? (peut-être que ça a été écrit plus haut, mais je n'ai pas eu le courage de lire les 3 pages de commentaires, à moins que tu ne souhaites pas le dire en public). ^_^


Pour mes histoires, suivant la guide ->
Quand l'élève est prête, le Maître apparaît
Sensualité japonaise
Si vous les aimez, n'hésitez pas à laisser 1 commentaire. <3
Alex et Laetitia
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Duchesse :

Salut Alex
Vous avez des enfants ou vous aimeriez en avoir ?

Nous avons la chance d'être déjà parents à deux reprises.

Sarah<3
Membre
18-06-2020
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Lieu: Belgique

Hellangel :

Duchesse :

Son corps ses choix.

A elle de vivre ensuite avec l'hypothétique traumatisme physique et/ou psychologique qu'un avortement peut s'avérer être. Donc il n'y a pas à essayer de l'influencer. Ca serait de la manipulation. Elle doit pouvoir réfléchir sereine dans son propre intérêt et en marge de l'influence d'une personne souhaitant lui faire prendre une décision qu'iel n'aura pas à assumer.

Vos droits à vous ( les porteurs de têtards procréateurs ) se situent en amont de la grossesse. Imposer le port du préservatif, utiliser les anneaux contraceptifs ou les slips chauffants...

De préciser que la décision refléchie d'une femme de maintenir une grossesse, si effectuée durant le délai légal d'avortement, ne doit pas contraindre l'homme à la paternité. Je maintiens très fermement que la femme a pleine disposition de son corps et doit pouvoir avorter en toutes circonstances, mais je trouve révoltant qu'il ne soit pas possible pour un homme de rejeter toute éventuelle paternité, de manière préventive, si lui ne désire pas avoir cet enfant.

Si la conception d'un enfant implique deux personnes, la décision de le garder aussi. Il est, selon moi, injuste que la décision d'une femme impacte l'homme sans que celui-ci n'ait aucune échappatoire.

Je précise que ceci ne devrait bien entendu être possible que lorsque la grossesse a été connue à temps et que les délais de réflexion et d'action, ainsi que l'accès pratique à l'IVG étaient garantis.

J'vais pas me faire des copains sur ce coup je crois.

parfaitement d'accord avec toi smile


Jeune bisexuelle en recherche d'histoire pour la faire frémir le soir :3

Petite précision, je suis en couple ! Donc non je ne veux pas vous épouser !  Voilà c'est dit ^^'
Tilia TV
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07-02-2013
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Duchesse :

Je vois pas où tu veux en venir. J’ai même jamais entendu que ça devenait dangereux au-delà d’un certain nombre.
[...]
Je comprends pas trop ton sous-entendu.

Aucun sous entendu, c'etait une question d'ordre médical. J'avais entendu dire que les avortements à répétition pouvaient entrainer baisse de fertilité et stérilisation complete de la femme.

Sensuelle Emilie :

Je me demande, si c'est pas trop indiscret, pourquoi toi tu voudrais la convaincre d'avorter ?

Oui, déso, j'ai pas été très clair dans l'énoncé du problème. C'est un ami a moi qui cherche des "arguments" pour sa copine. Je ne voulais pas lancé un débat, juste des trucs comme "faire un enfant dans ce monde déjà surpeuplé" ou "nous n'avons pas encore une situation stable"

Elisa M
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Tilia TV :

Oui, déso, j'ai pas été très clair dans l'énoncé du problème. C'est un ami a moi qui cherche des "arguments" pour sa copine. Je ne voulais pas lancé un débat, juste des trucs comme "faire un enfant dans ce monde déjà surpeuplé" ou "nous n'avons pas encore une situation stable"

Oui mais c'est déjà rentrer dans le registre de la culpailisation je trouve. Je suis à 100% d'accord avec hellangel sur les choix qu'il a mentionné : c'est une décision qui se prend à deux dans l'idéal, mais en dernière instance ce sera le choix de la mère qui primera. Pour elle en tout cas, parce que le père doit pouvoir refuser de son côté.

Que le choix de la mère soit moral ou pas (l'élever seule ou avorter par exemple), il n'y a qu'elle qui peut en juger. Moi si ça m'arrivait et que je voulais le garder, je demanderais au père : s'il veut le garder on le garderait, sinon j'avorterais. On pourrait croire que du coup c'est lui qui décide, mais non : c'est MOI qui déciderait de ne pas le garder, parce que je ne voudrais pas l'élever seule. C'est subtil mais important !

Docsevere
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Hellangel :

"C'est réversible"

Merci Jean-Mi de nous éclairer de ta grande sagesse.

Non la vasectomie est rarement réversible. Il est malhonnête de la vendre comme une méthode réversible.
Maintenant il y a aussi la possibilité de faire congeler son sperme avant.


"Douleur et douceur se tiennent l'une par l'autre."

François Cheng
Tilia TV
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07-02-2013
9171 Messages

Docsevere :

Hellangel :

"C'est réversible"

Merci Jean-Mi de nous éclairer de ta grande sagesse.

Non la vasectomie est rarement réversible. Il est malhonnête de la vendre comme une méthode réversible.
Maintenant il y a aussi la possibilité de faire congeler son sperme avant.

Wikipédia :

La vasectomie n'est souvent considérée que comme une méthode de stérilisation2. Elle est cependant réversible dans 70 % à 90 % des cas2, mais l'opération inverse (vasovasostomie) n'aboutit à une grossesse que dans 40 % à 50 % des cas3. C'est pourquoi la vasectomie n'est en général indiquée qu'à des adultes qui n'ont pas ou plus de désir d'enfants4.