Il y a un âge à tout. Dans la puberté on veut tout avoir au plus vite possible, quelque soit le trou où mettre sa teub. Ensuit la sélection allait au bénéfice des matures, on se laisse volontairement séduire, avoir des relations secrètes, souvent par des amies de sa mère. Et si la dernière est porte sur la chose, la parole se libère. On quête des instants s’il faut se contenter du fantasme incestueux, ou foncer ? Elle ou une autre de la famille ? Ma marraine et sœur cadette de ma mère m’a facilité grandement la tâche, fraichement divorcée. Après avoir réussi de l’avoir fait jouir sur la piste de danse lors un tango, les choses se sont faites aussi naturellement. D’avoir passé sur ma nièce fut une erreur et m’a redirigé sur sa mère éminemment plus expérimentée. Quand celle-ci ajouta une copine, là, ce fut carrément l’accomplissement. Je ne remercie jamais assez ces quelques années passé à en profiter chaque instant. Je n’ai ressenti aucune culpabilité envers leurs maris, habitués les besogner pour leurs seuls plaisirs une ou deux fois par mois.
Plus tard j’épousais une femme (coup de foudre) de onze ans plus âgés que moi. Nous avons partagé 35 ans de plénitudes jusqu’à la maladie me l’a pris. Depuis je vie en abstinence et j’ai découvert les écrits érotiques. À celles qui se sont approchées à moi par messages privés semblent très contentes de notre relation virtuelle. La maturité nous guide à s’entre exciter, ne faisant mal à personne. C’est une fin de vie qui m’enchante. J’en compte de profiter encore quelques années.