J'ai pensé comme Yvaune sur la façon d'agir de Ludovic.
Le récit a le mérite de faire réagir et j'aime le côté très cru des remarques limites borderline. Tu fais limite dans le trash sur le coup haha.
Mais comme dit kaoru, elle était consentante.

Le style est alerte et le récit bien rythmé. Le tout peut s'apparenter à un viol, mais j'ai pour habitude de ne pas juger le fond des histoires. Encore qu'il s'agisse de vécu dans le cas présent...

Récit surprenant et décrivant bien le "profit" d'un mec qui se fait passer pour ce qu'il n'est pas. La fille, jeune et inexpérimentée, est séduite par ce "prédateur" et par amour elle lui fait plaisir. La fin est excellente !

Yvaune :

Kaoru Dono :

A partir du moment où le personnage est consentant, et c'est le cas ici, je ne considère pas qu'il s'agit d'un viol. Je suis assez bien placée pour le savoir il me semble. J'ai manqué de clairvoyance sur cet homme, c'est certain. Il a profité de mon inexpérience, mais j'aurai pu partir à n'importe quel moment. J'ai écrit cette histoire vraie pour mettre en garde les parents de jeunes filles et les jeunes filles aussi.

Sauf que mis à part un encart au début et à la fin, tout le texte est constitué soit de passages où le mec se justifie, soit où il décrit son plaisir à passer les résistances de la fille, à la manipuler et à la forcer.

Je fantasmerais sur le viol ou je voudrais partager mes expériences abusives que je ne m'y prendrais pas autrement :

Un simple "bonjour c'est le point de vue du mec, moi je suis la fille, au fait, me jugez pas, j'étais consentante, et au fait c'est un avertissement pour éveiller les esprits. (Sinon bonne branlette pour ceux qui aiment les scènes de viols)" ne suffit pas.

Parce que même si c'est vrai (ce dont on peut, sans offense, se permettre de douter, sur ce genre se site), ça ne change rien concernant la charte. Sinon c'est beaucoup trop facile de passer outre : il suffit d'écrire avant son histoire que tout le monde il est consentant et que les passages choquants sont là pour éveiller les consciences et tu peux te permettre tout ce que tu veux ensuite.

Effectivement, j'ai voulu partager mon expérience, pour qu'elle serve. Tout est vrai, mais je ne peux vous obliger à me croire.
J'ai eu l'occasion de lire des récits bien plus trash et dégradants sur le site. Chacune ses limites.
Si l'administrateur me sanctionne je ne m'y opposerai pas, mais pour le moment je n'ai pas eu de retour en ce sens. Je répète que j'étais majeure et consentante. Naïve aussi.
Attendez donc la version de Florine...

Yvaune :

« de toute façon, la première fois, ça fait toujours mal chez les filles. »

Oui, car beaucoup de premières fois chez les filles sont des viols, et ce genre de phrase banalise et entérine ce fait, en fait.

>> C'est le point de vue du mec là...et une idée très largement répandue que la première fois est douloureuse chez les filles...dans beaucoup de récit de première fois cette douleur est évoquée...mais je n'emploie jamais le mot viol, car ce n'est pas comme ça que je l'ai vécu.

« Je rentre un peu le bout de ma bite et dès que je sens une résistance, je pousse à fond. Elle hurle et m'étouffe avec ses bras mais je tiens bon et continue de m'enfoncer dans sa chatte, jusqu'aux couilles. »

Si elle montre un premier signe de sa volonté d'arrêter, et que le mec force, c’est du viol. Si elle hurle, et qu'à priori la femme ne connait encore rien de sa sexualité, et que le mec continue, c’est du viol.

>> la résistance dont je parle est l'hymen en fait...je n'ai pas écrit que je voulais arrêter en plus...

« Elle hurle et m'étouffe avec ses bras mais je tiens bon et continue de m’enfoncer jusqu'aux couilles. Puis je me redresse tout en restant bien au fond d’elle et je lui dis dans un sourire : ça y est, tu es une femme maintenant. »

Donc le mec félicite la femme de s'être faite violée ?

« Puis je la retourne, en profite pour enlever la capote et je la prends en levrette. »

Si la personne a consenti pour du sexe protégé et que le mec enlève sa capote dans son dos, ça s’appelle encore du viol.

>> Je ne considère pas ce geste comme un viol... c'est immoral, irrespectueux et dangereux pour moi mais c'est tout. Heureusement il ne m'a rien refilé et je prenais la pilule. Cela aurait pu être bien pire.